Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 19:08

Télé portation infernale une histoire érotique hard

« Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu ».

Cet email, Max l’envoie à tous ses amis d’Abkingdom et même sa famille en priant le ciel pour que l’on vienne le sauver. Le « windaube 10 » de son ordinateur a planté au plus mauvais moment. Si personne n’intervient dans les heures qui suivent, il risque fort d’être électrocuté.

Il a beau se battre avec son ordinateur, il n’y a qu’une infime partie des programmes qui fonctionne. Il a pu envoyer un email bien trop court. Il aurait voulu donner des informations supplémentaires mais, au moment où il voulait aller à la ligne pour expliquer sa situation, l’ordinateur a commencé à faire des bips. Max a donc fait partir son message incomplet en priant le seigneur pour que cela marche, que l’on vienne tant qu’il est encore temps.

Bloqué dans le microprocesseur, sa vessie a rendu l’âme, sa couche commence à fuir, il sait pertinemment qu’il ne pourra pas se retenir indéfiniment. Si son urine coule sur la carte mère, il y aura un arc électrique, ses molécules brûleront instantanément, sa vie s’arrêtera de la pire des façons : grillé !

Mais comment en est-il arrivé là ?

En 2021, les ingénieurs informatiques sont parvenus à téléporter un rat à travers la France. Envoyé de Marseille à Paris en quelques secondes, il n’a eu aucune séquelle de cette expérience.

En 2022, le gouvernement français et l’Europe débloquent des fonds colossaux, si la téléportation fonctionne, ce sera la fin de la crise pétrolière, de la pollution, des embouteillages et de bon nombre des accidents de la route.

En 2024, les premiers systèmes sont en vente sur le marché. Max ayant un gros salaire fait parti des premiers à s’équiper. Six mois plus tard, 20 % de la population a acheté la cabine et le système. En quelques minutes, on va de Londres à Paris, de Bruxelles à Marseille, des familles de retrouvent sans prendre l’avion, le train ou la voiture.

Dans le monde des rencontres, les choses évoluent également à vitesse grand V. On peut aller chez son amant vers 23 heures pendant que monsieur dort et revenir vers 1 heure du matin après avoir fait des galipettes. Ces évolutions touchent beaucoup de fétichistes comme le monde de la fessée, avec des fesseurs qui convoquent les « vilaines filles » en 3 clics, les Maîtresses qui convoquent leur soumis pour leur ménage et quelques punitions.

Les ABDL se retrouvent aussi en quelques clics, et c’est ce que Max a fait en fin de journée. Il s’est téléporté chez des amis DL qui le « dominent » par jeux. Lorsqu’il était chez eux, ils l’ont mis en couche et l’on fait boire deux énormes biberons d’eau avec un diurétique. Ils l’ont ensuite renvoyé chez lui avec son pantalon refermé par une chaînette et un cadenas à combinaison. Louise devait lui adresser la combinaison du dit cadenas vers 8 heures le lendemain.

Le soucis est, qu’arrivé chez lui, au coeur même de son ordinateur, au moment de reconstruire son corps molécule par molécule, son « windaube 10 » a planté. Il est donc virtuellement bloqué en couche dans son processeur. Etant en phase de reconstitution, ses organes et son cerveau fonctionnent, il ne restait plus au logiciel, qu’à lui redonner sa taille réelle dans le « décompresseur » installé dans son salon.

Sa couche commence vraiment à fuir, et, comme il n’y a pas de toilettes dans les ordinateurs, il risque d’être électrocuté.

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- C’est quoi cet email de ton ami d’enfance ? Demande Sam à sa femme ?

- Fais voir ?

Lorsque Mirabelle lit : « Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu », elle s’inquiète car son frère a encore du « déconner » avec son PC et sa nouvelle machine.

Pour s’assurer que ce n’est pas une blague, elle essaye de l’appeler sur son mobile puis sur son téléphone fixe. En vain, elle n’obtient aucune réponse. Elle lui adresse un email qui, lui aussi reste sans réponse.

- Qu’est-ce qu’on fait ? demande Sam ?

- On va aller voir ce qu’il lui arrive ! Répond Mirabelle.

- Je suis sûr que c’est une blague, ton « potos » nous ennuie.

- Peut-être mais je vais quand même aller voir.

La voiture de Mirabelle roule sans encombre, à onze heure du soir, les rues sont désertes. Lorsqu’elle arrive une heure plus tard devant chez son ami, sa voiture est garée dans son jardin. Elle sonne mais n’obtient aucune réponse. Elle tente encore en vain de téléphoner mais n’obtient aucune réponse. Elle prend son double de clés et entre chez son ami d’e n f a n c e, en criant « Coucou Max, c’est moi ».

Aucune réponse. Elle s’affole un peu, l’appelle encore en commençant à visiter sa maison en craignant le pire, qu’un accident soit arrivé. Il n’y a personne mais son sac est accroché dans l’entrée à côté de son téléphone mobile en charge.

- Max ne part jamais sans son téléphone ! Dit-elle à haute voix pour elle même avant de crier « putain tu es où, qu’est-ce qu’il t’arrive » ?

Affolée, elle retourne au salon et s’étonne de voir un paquet de couche posé à côté d’un pantalon et d’un slip puis un tee-shirt jetés sur le canapé. Par acquis de conscience, elle refait le tour de la maison, la salle de bain et les toilettes puis même sous son lit. Rien !

Mirabelle rappelle son mari, lui raconte que quelque chose ne tourne pas rond et lui demande de lui relire son email de détresse.

« Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu ».

- Ben écoute, redémarre son ordinateur, il y a peut-être un message qui s’affichera. Lui répond Sam pressé de retourner voir son film.

Elle redémarre donc l’ordinateur sans en comprendre l’intérêt. Après tout, que risque t’elle a le faire. Lorsque l’espèce de cage en métal se met à clignoter, Mirabelle s’affole et part se protéger derrière le mur de l’entrée. De la fumée commence à sortir de l’ordinateur, elle se bouche les oreilles et ferme les yeux quand des éclairs de lumière illuminent le salon.

- Oh putain de windaube 10 ! Crie soudain son ami dans le salon.

Mirabelle passe alors la tête par la porte pour voir ce qu’il se passe. Max est assis par terre à moitié nu, il semble mal en point. Oubliant sa peur, elle se précipite pour lui porter secours, il la rassure en lui disant qu’il va bien en lui tendant la main pour qu’elle l’aide à se relever.

- Tu te travestis maintenant ?

- Quoi ? Demande Max.

- Ben sauf erreur, le brésilien en dentelle que tu portes ne fait pas très viril.

Max se regarde et constate avec stupeur qu’elle a raison. Pire encore, que ce n’est pas ses jambes et que ses ongles de pieds sont vernis ! ! !

- Oh mon dieu, qu’est-ce qu’il m’arrive ?

Mirabelle ne comprenant pas est pliée de rire, pour elle, son ami s’est amusé et s’est travesti. Elle se moque de lui en lui disant qu’elle est « belle » comme ça.

Max ne rigole pas, il est même particulièrement affolé. Il n’a plus son sexe ! ! ! ! ! Son sexe a disparu !!!!!!!!!!!! Il plonge sans hésiter ni gêne sa main dans le brésilien et découvre avec stupeur qu’il a un vagin à la place de son sexe. Mirabelle toujours pliée de rire lui dit qu’il pourrait attendre qu’elle soit partie pour se masturber. Pour l’arrêter dans ses moqueries et son fou rire, il baisse le brésilien pour lui faire voir son entrejambe dépourvu de sexe masculin.

- Mais qu’est-ce que tu as fait ? Tu veux devenir une femme ?

- Mais non putain, je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Regarde mes jambes, ce ne sont pas les miennes ! J’ai une tronche de nana, franchement ?

- Eh non, mais qu’est-ce qu’il t’est arrivé en bas ?

- Je ne sais pas. J’ai fait de la téléportation pour aller me faire une nana que j’ai rencontrée sur le net ! Ment Max pour ne pas avouer la vérité. Et mon windaube 10 a planté quand je revenais à la maison. J’étais bloqué dans l’ordinateur et c’est pour ça que j’ai envoyé des emails de l’intérieur.

- Désolée mais je ne comprends pas tout de ton histoire. Tu me prends pour une conne ou quoi ?

Max explique à son ami qu’il s’est acheté le « téléporteur connecté » et qu’il a commencé à voyager comme ça. Il a même pu rencontrer des filles habitants à 500 kilomètres de chez lui avec cette nouvelle invention et revenir en moins d’une minute.

- Cela te fait quand même un très joli petit cul cette histoire !

-Arrête de te moquer de moi. C’est une vraie catastrophe. Je ne sais pas comment je vais pouvoir faire pour retrouver le bas de mon corps. Regarde de mon nombril jusqu’aux pieds, ce n’est pas mon corps. Il y a eu un bug, les molécules se sont mélangées avec celles d’une fille qui devait voyager comme moi. Elle doit avec mon sexe et mes jambes.

- Pour sûr, se retrouver avec une bite à la place de sa choune, cela va lui faire drôle LOL ! Cela doit être une expérience amusante ! Conclue Mirabelle en se remettant à rire.

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Mirabelle repartie en son logis, Max passe une partie de la nuit à essayer de résoudre son problème, mais en vain, il ne trouve rien sur le net mentionnant ce genre d’incident. Devoir attendre le lundi pour prendre contact avec le SAV le traumatise. Anéanti, les yeux rouges, il va se coucher sans même penser à se tripoter ou mettre une couche. La situation horrible qu’il vit ne lui donne aucune envie de jouer à quoi que ce soit. Épuisé par toutes ces émotions, il finit par trouver le sommeil.

La lumière du jour filtrant à travers ses volets le réveille dans un lit trempé. Son premier réflexe est de plonger sa main entre ses jambes, non, ce n’était pas un cauchemar. Il est bien dans la m.... En plus, la fille à qui appartient le bas de ce corps souffre d’énurésie. Qu’elle horreur. Entre jouer avec les couches et être réellement incontinent il y a un monde.

Son café à peine avalé, il replonge sur le net à la recherche d’informations et surtout, en espérant trouver une solution. Ses amis DL l’appellent comme convenu pour lui donner le code du cadenas du pantalon qu’il aurait du porter sur sa couche. Quand il leur raconte ce qu’il lui arrivent, ils ne le croient pas.

- C’est trop gros ton délire Max, arrête tes conneries.

- Mais je vous jure, si vous voulez, on peut même faire une cam !

Aussitôt dit, aussitôt fait, Max allume sa webcam et leur fait voir qu’il ne ment pas. Encore une fois, on se moque de lui alors qu’il est désespéré. Ils vont même jusqu’à le traiter de « pisseuse ». Fou de rage, il leur raccroche au nez et coupe la cam.

Alors qu’il poursuit ses recherches sur internet, un liquide chaud s’écoule sur son fauteuil et le dessous de ses cuisses. « Et merde, je me pisse dessus » ! S’écrit Max avant de foncer aux toilettes. Si d’habitude il secoue sa verge pour faire tomber la goutte, là il est obligé d’utiliser du papier toilette. Alors qu’il vient de finir ses mixions, pour la première fois il regarde avec un intérêt coquin son entrejambe féminin. Ses doigts s’insinuent entre les lèvres et partent à la découverte de son vagin. Plus perturbé qu’excité, il décide de prendre une douche et découvre qu’effectivement, il a un très joli petit cul. « Enfin, elle a un très joli petit cul » se corrige mentalement Max. A peine sortie de la douche, il se met une couche pour surfer tranquille en espérant que l’incontinence soit un accident. Avant de se remettre à son ordinateur, il change ses draps et aère sa chambre.

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De l’autre côté de la terre, une fille désespérée est assise au bord d’un pont. Ce sont des passants qui interviennent juste avant qu’elle ne saute dans le vide devant un TVG. Emmenée aux urgences psychiatriques par la police, elle leur raconte son histoire de téléportation et de son retour particulier. A l’hôpital, ils sont habitués à voir des choses et les folies des patients. Ils lui ont retiré son pantalon et sa couche après avoir coupé le cadenas en disant qu’elle avait de drôles de jeu.

La visite médicale confirme ses propos. Elle n’est pas folle, elle a bien le haut du corps d’une vraie femme, sauf qu’en bas ......

En bas elle a un sexe d’homme, des jambes poilues et des fesses à faire fuir un régiment de retour de mission. Lina était fière de son corps et de ses jambes à faire damner un saint. Là, elle a du emprunter les chaussures de son frère pour sortir. A 20 ans, ce qu’il, lui arrive est bien plus qu’un cauchemar, c’est la fin de sa vie de femme. Elle a, tout comme Max, réalisé une téléportation pour aller voir son petit copain, un savant partit huit jours pour gérer des conférences en Australie.

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Ce n’est que vers midi que Max interromps ses recherches. Il n’aura pas d’autres choix que d’attendre lundi pour contacter le SAV de son « téléporteur connecté ». Sans raconter toute son histoire en détail, il a ouvert des posts sur des forums informatiques. On l’a pris pour un fou, un troll, d’autres lui ont dit qu’il allait pouvoir se faire bai....

Effectivement, la fille à qui appartient le bas de son corps a des soucis d’incontinence. Lorsqu’il tousse à cause du paquet de cigarettes fumé en un rien de temps, il a de petites fuites. La curiosité du coquin prend le dessus un instant sur la sérieuses problématique qu’est la sienne. Il plonge sa main dans la couche et repart à la découverte des sensations. Petit à petit, son majeur trouve la « bonne façon » de jouer avec le petit bouton des plaisirs féminins.

La couche gênant ses mouvements, il l’ouvre pour avoir plus d’aisance et partir à la conquête de nouvelles sensations. Max apprécie grandement les caresses circulaires, son majeur s’agite de plus en plus, et dans la dernière ligne droite, ressemble à celui d’un parkinsonien. Son corps est pris de tremblements puis, en bas, d’agréables contractions qu’il ne peut contrôler et lui font tourner la tête.

Essoufflé et en nage, il vient de découvrir le plaisir féminin. Sa gourmandise l’incite à recommencer, et, chose magique, cela fonctionne encore. La deuxième fois, au moment de l’explosion des sens, un jet jaillit de son sexe, mouille son bureau et ses cuisses.

- Mon dieu que c’est bon ! Murmure Max.

Bien décidé à en découvrir plus, il bondit presque de sa chaise pour se rendre dans sa chambre. De son tiroir à malice, il sort un petit gode acheté sur ABCplaisir pour quand il s’amuse avec une de ses copines pour se le mettre en bonne place. Il se l’introduit avec d’infimes précaution par peur d’avoir mal. Il n’en est rien, c’est même très bon, son chaton trempé par sa lubrification naturelle ne demande qu’à le recevoir. Cette fois, étendu sur son lit, c’est à deux mains qu’il se donne du plaisir en agitant le gode et en s’acharnant sur le clitoris. La vague plaisir arrive, elle monte lentement comme si elle partait de ses reins avant d’exploser dans son ventre et entre ses cuisses.

A bout de souffre après cette jouissance paroxystique, il abandonne le gode et, vidé de toute énergie, reste allongé sur son lit. Le gode toujours logé en lui s’échappe naturellement, générant encore des sensations devenant trop fortes.

- Ouahou les filles, quelle chance vous avez ! Murmure Max tout seul affalé sur son lit.

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Ce n’est qu’après un petit somme réparateur qu’il se lève pour reprendre ses recherches sur internet. Même si le plaisir féminin est merveilleux, Max est bien décidé à redevenir ce qu’il était : un homme entier !

Constatant que le lit est un peu mouillé, par sécurité il remet une couche. Le souci est qu’elles sont maintenant trop grandes pour lui. Plutôt que d’ajouter du scotch pour quelle tienne bien, il enfile son pantalon lui aussi devenu trop grand. Par chance, sa ceinture lui permet de résoudre ce problème de taille. Le frigidaire ressemblant au désert de Gobi, il décide de sortir pour aller s’acheter à manger.

- Et merde, mes chaussures sont aussi trop grandes ! Crie Max fou de rage.

Pour résoudre son problème de repas, Max commande des pizzas qu’il se fait livrer. Sortir comme ça n’est pas possible, il a peur que l’on remarque quelque chose même s’il met des claquettes trop grandes.

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La pauvre Lina se désespère dans sa chambre d’hôpital. Son frère a accepté d’aller chez elle et de fouiller son ordinateur. Promis, il ne dira rien aux parents et n’ira pas voir les dossiers photos. Après avoir passé des heures sur son ordinateur, il se résout à contacter Paul son petit ami le savant. Au départ, il ne le croit pas, lui demande d’arrêter de dire des inepties et de fouiller le PC de sa chérie en l’insultant de tous les mots peu courtois. Pour lui, ce qu’il fait est ignoble.

Devant l’acharnement du frère de sa chérie, il finit par accepter de lui téléphoner. Les larmes et la voix de désespéré qu’il entend au téléphone suffisent à le convaincre qu’il y a un réel problème. N’arrivant pas à joindre sa chérie sur son mobile, il appelle l’hôpital indiqué. Lorsqu’on lui passe Lina qui n’arrive plus à parler tellement elle pleure, il lui promet de prendre le premier avion et de la rejoindre.

Avant de partir d’Australie, il passe quelques coups de téléphone à ses amis en France. Deux ingénieurs et un architecte informatique puis un de ancien pot du CNRS se lancent dans des recherches pour collecter des éléments.

TROIS JOURS PLUS TARD

Le service SAV de la société « Téléportons » a remonté l’information à sa direction. Ils ont bien deux cas de défragmentation / refragmentation qui n’ont pas fonctionné. Ces gens ne sont pas de fous, Max a accepté de recevoir un des représentants qui ne savait plus où se mettre tant il était gêné. Paul, le savant ayant remué ciel et terre, la société monopolise toutes ses compétences pour au moins, essayer de comprendre ce qu’il a bien pu se passer.

Les domiciles de Max et de Lina sont investis par les techniciens. Leurs ordinateurs et « téléporteur connecté » sont démontés et emportés au siège de la société pour une étude approfondie.

La société « Téléportons » prend en charge tous les besoins de Lina et de Max. Ils leur font livrer des repas à domicile, leur offre un ordinateur à chacun pour leur permettre de ne pas être coupé du monde. En parallèle, ils contactent tous leurs clients pour leur demander de ne pas utiliser le « téléporteur connecté » qui pourrait être dangereux et si besoin, qui sera rappelé puis transporté à leur frais.

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CINQ JOURS PLUS TARD

La société « Téléportons » a trouvé où le bug c’est produit mais ne sait pas pour l’instant comment résoudre le problème. La médecine ne peut rien pour eux, il n’est pas possible de couper les corps en deux et de recoller les moitiés à chacun.

Lorsque l’avocat de Max a demandé à la société « Téléportons d’avoir les coordonnées de l’autre personne, cela lui a été refusé. Le simple fait qu’il leur dise qu’une simple annonce dans la presse lui suffirait à les avoir, les a convaincus de coopérer.

Lina qui accepte la rencontre est donc invitée à se rendre chez Max. C’est une limousine aux vitres tintées qui la dépose vers 21 heures, sa condition était qu’il fasse nuit pour ne pas être vue dans la rue. La chauffeur et la voiture attendaient plus loin pour ne pas attirer le regard.

Elle n’a pas eu à sonner, Max guettait par la fenêtre. Il lui a ouvert la porte immédiatement et l’a refermée aussitôt ne désirant pas être vu. S’ils n’avaient pas été vêtus, un passant aurait simplement pu imaginer deux personnes se retrouvant. Là, cette rencontre avait un but bien différent : faire se rencontrer « les moitiés ».

Bien décidée à mettre tout en oeuvre pour se faire pardonner, et surtout ne pas leur donner envie de se plaindre à la presse la société « Téléportons leur a fait livrer le repas par un traiteur et un carton de bouteilles de champagne grand cru.

- Bonsoir, je suis Lina.

- Bonsoir et bienvenue, je suis Max, comment va ma moitié ?

- Et la mienne ? Répond Lina en rigolant de cette façon de faire connaissance.

- Je suis ravi de faire votre connaissance malgré ces regrettables circonstances. Je vous sers une flûte de champagne ?

- Bien volontiers, je crois que j’en ai besoin plus que je n’ai soif.

Le service fait, le silence devient pesant, en fait, ils voulaient se rencontrer mais ne savent pas quoi se dire, se raconter.

- Vous pourriez prendre soin de mes pieds, le rouge à ongle ne ressemble plus à rien et marcher pieds nu n’arrange pas la chose. Dit Lina histoire de casser le silence trop pesant.

- Désolé mais je ne sais pas marcher avec des talons et encore moins vernir mes ongles ! Je dois avouer que je vous trouve très belle, j’aurai pu tomber sur une mamie. Finalement, dans mon malheur j’ai beaucoup de chance !

- Vous êtes aussi très charmant. Bon, le matin au réveil cela surprend en bas......

- Désolé mais je suis trop loin de ma moitié pour essayer de la contrôler. Pour sûr, en vous voyant dans le miroir de la salle de bain, mon bas ne peut rester de marbre.

- Je crois qu’il me faut une autre flûte de champagne car cette situation me gêne énormément. Lui dit Lina avant de lui indiquer que normalement, elle devrait avoir ses menstrues la semaine suivante.

- Je crois que j’ai aussi besoin d’une cruche de champagne ! Lui répond Max à deux doigts de s’étranger en comprenant ce qu’elle vient de lui indiquer.

C’est en consommant du champagne sans aucune modération en guise de courage, qu’ils abordent les problèmes de cette nouvelle vie que tout deux espèrent courte. La chance est avec eux sur un point, ils s’entendent à merveille, ils aiment tous les deux l’humour et ne sont pas farouches pour parler des choses de la vie.

- Je subodore que vous n’avez pas osé essayer, comment dire, la partie du bas qui est à moi ? Demande Max un peu « pompette ».

- Mais que croyez-vous ? Que les femmes n’ont pas de sexualité ? Qu’elles n’ont pas d’envie ? Et vous, qu’avez-vous fait de mon bas petit coquin ?

- Je crois que j’ai fait comme vous, j’ai essayé pour voir.

- Juste essayé ? Ne me mentez pas ! Allez, dites-moi tout, au point où nous en sommes, nous ne pouvons pas être plus intimes ! Lui répond Lina elle aussi un peu « pompette ».

- Ben, j’ai découvert que vous avez une immense chance de pouvoir jouir autant de fois que vous voulez ou presque.

- Et moi j’ai découvert qu’après avoir éjaculé, ben cela veut réellement plus marcher. C’est assez frustrant de ne pas pouvoir recommencer de suite.

- Et si nous passions à table ? Répond Max soudain gêné en se levant pour l’inviter à la cuisine.

- J’espère que vous ne m’en voulez pas trop pour les fuites urinaires. C’est vrai qu’avec l’énorme couche que vous portez, vous devez pouvoir tenir la journée. C’est quand même assez négligé comme façon de faire.

- Je n’ai pas trop d’expérience en la matière et je n’avais que ça sous la main. Répond Max rouge comme une pivoine.

- Vous n’aviez que ça ? Vous vous servez des couches pour quoi faire ? Demande Lina.

- Heu ...... J’aime bien en mettre la nuit, cela me rassure.

- J’ai quelques doutes sur l’honnêteté de cette réponse car vous êtes très gêné alors que moi je ne le suis pas. Quand on a un souci de santé, on fait avec, on apprend à le gérer. je suis sûre que vous me cachez quelque chose.

- Bon OK, je suis ABDL, j’aime bien jouer des fois avec des couches. Ca va, vous êtes contente ?

- Il n’y a pas de mal à se faire plaisir. Mais rassurez-moi, vous ne faites quand même pas tout dans la couche ?

- Non, non, juste pipi ! Répond Max toujours aussi gêné.

Le repas tout au champagne finit par avoir raison de leur pudeur. Ils se tutoient et s’envoient des vannes portant souvent sur le dessous de la ceinture.

- S’ils n’arrivent pas à résoudre notre problème, je ne pourrai jamais aller avec un homme. Je ne suis pas bisexuel et encore moins attiré par les hommes. J’ai bien peur d’être célibataire à vie et condamné à la masturbation. Avoue Max en servant le café au salon avant de s’asseoir dans le canapé à côté d’elle.

- Je suis comme toi, il n’y a que les hommes qui m’intéressent. On est mal barré tous les deux. Lui répond Lina.

- Après il ne nous resterait plus qu’une solution.

- Ah bon, laquelle ? Demande Lina.

- Nous mettre en couple.

- Ah, c’est une idée mieux que la mienne. Lui répond Lina.

- Moi j’envisageai de me jeter du haut de la tour Effel.

- Ah non, tu n’as pas le droit de faire ça à ma moitié. Lui répond Max horrifié.

- C’est vrai que ton idée de nous mettre en couple est bien meilleure que le grand saut. D’ailleurs, si tu n’y es pas opposé, nous pourrions essayer pour voir...... Lui lance Lina qui commence à s’exciter en s’imaginant des choses comme prendre une femme comme un homme.

- Heu, j’avoue que je te trouve très attirante et qu’en d’autres circonstances... mais là.... Répond Max très perturbé.

- Tu sais que cela n’est que ton propre sexe. Pas celui d’un autre homme. Conclue Lina en happant ses lèvres.

Les « deux hauts » s’accordent sans aucun souci, leurs mains gambadent à la découverte de l’autre pendant que les langues s’enroulent comme des serpents très joueurs. Lia a vraiment très envie de vivre cela au moins une fois. Elle sait qu’il n’osera pas si elle ne prend pas les choses en mains.

- Bien, allons prendre une douche, cela nous fera du bien. Lui indique Lina en le prenant par la main.

Très motivée, elle entreprend de le dévêtir lorsqu’ils entrent dans la salle de bain. Elle le dévore de baisers pour l’empêcher de parler. Un peu comme si une sorte de masculinité l’avait envahie. Lorsqu’elle entreprend de se dévêtir à son tour, Max perçoit quelque chose en bas, entre ses cuisses. Furtivement il glisse sa main et découvre qu’il mouille. Lorsqu’elle est nue et le rejoint sous la douche, il aperçoit son sexe tendu et gorgé de désir. Lina est bien décidée à ne pas le lâcher et à vivre l’expérience. Elle le caresse plus qu’elle ne le lave pour le rendre fou.

Tout penaud, il ose à peine la toucher, il a peur de toucher son propre sexe alors que ce n’est que le sien. La différence est grande quand il est sur un autre corps que le votre. Toujours décider à le v i o l e r s’il le faut, Lina caresse « son » entrejambe féminin, cet entrejambe qu’elle connaît si bien. Max perd rapidement la tête, il se laisse faire sans aucune possibilité psychologique de fuir. Conduit à sa chambre et presque jeté sur le lit, il devient la proie d’une furie. Elle le dévore de baiser et s’aventure même à titiller de sa langue son clitoris émergeant comme un bouton de rose.

La part de la féminité cachée en chacun pousse max à écarter encore plus ses jambes, à la laisser faire. Alors qu’il s’apprête à parler quand elle remonte du confluant de ses cuisses délicatement fuselées, Lina l’embrasse pour faire taire les éventuelles réfutations. Elle guide « sa » verge entre « ses » lèvres pour chercher la faille et s’y engouffre aussitôt. En sentant « sa » verge s’enfoncer en lui, Max ne sait plus gérer ses pensés contraires. D’un côté c’est très agréable, très bon, de l’autre très perturbant, même révoltant.

Lorsqu’elle entreprend des mouvement de va et vient, Max baisse les bras et muselle ses pensés masculines pour se concentrer sur les sensations divines éprouvées. Il se prend même à relever les jambes pour mieux s’offrir à « sa verge » tyrannique. « Tyrannique » car les sensations nouvelles quelle lui procure rasent toute gêne, le poussent à relever encore ses jambes pour mieux s’offrir. Il se met à couiner, puis à ahaner des « oui » sous ses asseaux de plus en plus virils.

Soudain, sa jouissance arrive tel un tsunami balayant tout sur son passage. Il perd totalement pieds, s’envole et crie un long « oui ». Son corps est pris de tremblements, ses muscles sembles bloqués quand ils ne convulsent pas. Au dessus de son visage, le souffle de Lina s’accélère en même temps qu’elle le serre de plus en plus fort dans ses bras et que ses coups de reins s’emballent.

Lina s’arrache soudain de lui puis remonte jusqu’à son visage en présentant « sa » verge à ses lèvres. Tant il est perdu dans son lâché prise, sans même réfléchir il ouvre la bouche et prend « sa » verge entre ses lèvres. Quand il prend conscience de ce qu’il fait, il est trop tard pour reculer, Lina s’est carrément couchée sur son visage. Elle éjacule dans sa bouche en grognant de plaisir. Il avale aussitôt « sa » semence pour la première fois de sa vie et garde « sa » verge en bouche également pour la première fois.

Lorsqu’elle se retire pour s’allonger repue contre lui, la première chose que dit Max très perturbé est « je viens de sucer un homme ».

- Non, tu viens de te sucer, cette partie de ton corps est à toi. Lui répond Lina avant d’ajouter ma chatte est très bonne !

- Ma bite aussi ! Lui répond au tac au tac Max

- Mon cul n’est pas mal non plus tu sais ?

- Heu, non, là c’est trop pour moi.

- On verra ça, on verra ça ! Lui répond Lina très taquine en l’embrassant.

- Et si on congédiait le chauffeur et que tu dormes là ?

- Je l’appelle de suite, tu as raison.

TROIS HEURES PLUS TARD

« Et merde, j’avais oublié ça » ! Pense Lina en se réveillant dans les draps mouillés. « On a oublié que je, enfin qu’il, pisse au lit.

UNE SEMAINE PLUS TARD

Les techniciens de la société « Téléportons » les contactent pour leur proposer un test. Max refusant de sortir de chez lui, les techniciens viennent installer chez lui un ordinateur et un « téléporteur connecté ». Lina est au siège de la société, ils vont tenter de les téléporter tous les deux en même temps en espérant que les corps de reconstruisent comme avant. C’est donc intégralement nus qu’ils entrent en même temps dans un « téléporteur connecté ».

Un compte à rebours est programmé pour que la téléportation se fasse aux deux endroits à la même seconde. Le corps de Max arrivent à la société et celui de Lina au domicile de Max comme prévu. Il n’y a aucun changement, chacun a toujours « le bas » de l’autre.

Les techniciens effectuent la même opération dans l’autres sens. Lina se retrouve au siège de la société, et lui chez lui. Hélas, cela n’a pas fonctionné. Lina s’effondre littéralement dans le « téléporteur connecté ». Elle pleure à chaudes larmes, « combien de temps va durer cet enfer » hurle Lina.

- Nous avons encore beaucoup de tests à faire, nous n’y arriverons pas du premier coup mais rassurez-vous, nous parviendrons à vous sortir de là. Lui assure l’ingénieur en charge de la gestion de cette catastrophe. J’ai d’ailleurs une idée, elle va prendre un peu de temps à mettre en place, mais j’ai bon espoir.

....................................

La suite est pleine de rebondissements et c’est à vous de l’imaginer ou vous pouvez la lire ici en Kindel (ebock) ou version

Tous les livres de TSM sont ici

Par abcplaisir - Publié dans : L'ABDL la régression - Communauté : Shibari bondage BDSM
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