Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 19:10

La belle-fille surprise en plein selfbondage

Cette histoire érotique aborde les réactions d’un Maître découvrant que sa belle-fille fait du selfbondage puis des choses qui ne se font pas et méritent une fessée en plus d’une punition.

Suite à l’annulation d’un rendez-vous, mon après-midi de commercial était perdue. Ne pouvant rien faire de rentable de ce temps, j’ai décidé de rentrer à la maison. La voiture garée et le portail fermé, j’entre dans la maison et m’étonne que l’alarme de soit pas mise. Sur le coup, j’ai pensé que la fille de ma femme avait encore oublié.

Maud est une fille âgée de 23 ans qui se complait dans les études et qui trouve que vivre chez papa, maman est bien confortable..... Mais bon, c’est comme ça, j’ai pris la femme et la fille qui nous gêne quand même beaucoup dans nos activités intimes et BDSM.

Après avoir posé mon sac et mes clés, je me rends dans notre chambre pour me changer et enfiler une tenue adaptée au jardinage. Voir notre coffre à jouet BDSM ouvert puis une partie de nos accessoires et sextoys étalés sur le lit m’a surpris. Marie ne fait jamais ça, elle tient trop à préserver sa fille en lui cachant nos jeux ! Après réflexion, furieux, je pends les escaliers pour monter dans la chambre de Maud afin d’en savoir plus et surtout lui passer un savon car il ne pouvait y avoir qu’elle pour avoir fait ça !

Les clés de menottes récemment achetées sur ABCplaisir étaient posées dans le couloir. Elles sont facilement reconnaissables car j’ai monté un gros porte-clé dessus pour les trouver facilement dans la caisse à jouet. J’avance d’un pas décidé et les poings serrés bien décidé à incendier l’étudiante irrespectueuse. La porte de la chambre de Maud était ouverte, j’entre donc sans frapper et là, surprise !

Maud était quasiment nue, couchée sur le côté, avec un bandeau posé sur ses yeux, le bâillon bouche ouverte dans la bouche et les mains menottées dans le dos accrochées à une chaîne lui servant de string. Histoire de se donner un maximum de plaisir, cette garce avait aussi pris les pinces à sein qui faisaient un très bel effet sur sa poitrine généreuse.

Sa musique étant à fond comme d’habitude, elle ne m’a pas entendu arriver. Surpris, au lieu de l’incendier de suite, j’ai pris le temps d’apprécier ce spectacle érotique qu’elle m’offrait sans s’en rendre compte. La moquette étouffant mes pas, je l’ai contournée discrètement et, en m’approchant de son ordinateur, que vois-je ? Cette salope surfe sur Fessestivites avec notre compte !

Adieu notre intimité ! Mais ça, c’est la faute de Marie qui n’a pas fait attention et a enregistré le mot de passe sur le PC familial malgré mes mises en garde. Là, j’avoue que je suis de plus en plus furieux car elle a du voir les photos de sa mère en mauvaise posture.

La colère montant en moi a fait que je n’ai plus de remords ni ma retenue habituelle sur le respect de la discrétion et de la vie intime de la fi-fille délurée. Je consulte l’historique de son PC et constate que les photos de femmes soumises sexuelles et de selfbondage font parties de ses envies. Il n’y a pas que les photos d’ailleurs, elle a aussi regardé des vidéos y compris celle que nous avons postée et qui est réservée aux amis.

Sa putain de musique de malade crachant des insanités d’une vulgarité à faire rougir un régiment de parachutistes me cassant les oreilles, je la coupe et la regarde en me demandant ce que je dois faire. Maud a soudain peur, essaye de parler mais le bâillon ne l’aide pas. Pour commencer de la punir, je ne fais rien pour la rassurer et ne parle pas. Cette idiote tire sur les menottes comme si elle pouvait se libérer, réflexe bien inutile, les menottes d’ABCplaisir c’est du solide.

Je me lève de sa chaise de bureau pour aller chercher l’appareil photo. Maud se recroqueville et gémit en entendant mes pas en pensant sûrement que le « cambrioleur » pourrait avoir des envies.... Des envies j’en ai une oui, lui donner une bonne leçon de savoir vivre et de la punir. Une minute plus tard, quand j’entre dans sa chambre, elle n’a guère bougé, elle s’est rapproché des clés de la sortie en espérant ramper rapidement jusqu’aux clés. Sauf que les dites clés sont maintenant dans ma poche. Des photos j’en fais plein, de ses mûrs, de son bureau et surtout pas d’elle mais ça, elle ne peut le savoir. J’approche l’appareil de sa tête et le mets en mode rafale pour qu’elle entende bien le bruit.

Après avoir posé l’appareil sur son bureau, je retire le bandeau à velcro qu’elle n’a pas pu retirer en essayant de fuir. Ses yeux mouillés de larmes grands ouverts me fixent, je peux y lire l’angoisse et la honte.

- Alors salope comme ça, tu fouilles dans nos affaires ? Le respect de l’intimité des autres tu ne connais pas ?

Maud bouge les épaules en essayent de s’excuser mais avec le bâillon, si je comprends le sens de ce qu’elle veut dire, cela reste du yaourt.

- Et ça c’est quoi salope ? Tu fouilles le PC de la maison pour aller voir nos surfs et le navigateur pour aller y chercher nos mots de passe ?

La fautive se désespère et continue de pleurer. N’osant plus me regarder dans les yeux elle regarde la moquette, lui trouvant sûrement un grand intérêt. Je reprends l’appareil photo et lui fait croire que je prends quelques clichés de l’écran de son ordinateur.

- Que tu ais une vie sexuelle est normal. Que tu ais envie de faire du selfbondage je m’en tape, c’est ta vie et ton corps. Que tu fouilles dans nos affaires et notre intimité est un scandale. Je vais te laisser deux choix. Soit je te punis comme tu le mérites et crois moi tu t’en rappelleras toute ta vie, soit je dis tout à ta mère et lui fait voir les photos. J’ai fait aussi des photos de notre chambre avec tous nos jouets intimes posés sur le lit. Je vais te retirer le bâillon, cela te laisse le temps de réfléchir.

- Je suis désolée, j’ai honte, je suis une grosse conne, pardonne-moi s’il te plait ! Me demande Maud dès que je lui ai retiré le bâillon.

- Je te donne la punition que tu mérites et je garde ça pour moi en effaçant les photos ou je dis tout à ta mère et lui fait voir ce que sa fille a fait ?

- J’accepte mais ne lui dit pas, s’il te plait.

- Tu acceptes quoi ?

- Que tu me punisses....

- Que je punisse la vilaine fille ! Répète !

- Que tu punisses la vilaine fille ! Répond Maud d’une toute petite voix en baissant les yeux.

- Je vais te donner la fessée que tu mérites pour commencer !

- Nonnnn, pas ça..... supplie Maud.

Je l’attrape pas le bras et la soulève quasiment pour la coucher sur mes genoux pour lui donner la fessée méritée.

- Oh mais que vois-je tu t’es aussi mis le rosebud coeur de maman dans les fesses ! Mais putain, la gêne ne t’étouffe pas toi !

Et là, ma main et partie naturellement à la rencontre de son petit cul magnifiquement dessiné. Ce n’est pas une fessée plaisir ou érotique, non, ce sont de vraies claques appuyées qui s’abattent sur son fessier. Maud crie et essaye de mettre ses mains que je bloque aisément avant de continuer. En voyant la couleur de ses fesses devenir rouge foncé, je prends conscience qu’il est temps d’arrêter. C’est vraie que j’ai bien laissé aller ma colère sur le joufflu aussi joli soit-il. Maud pleure mais ne réagit plus. Aucune supplique et aucune demande de pardon ne vient conclure cette correction mais je ne peux lui expliquer qu’il est de tradition de remercier le Maître....

Comme elle ne me remercie pas,.... et ne s’excuse plus, l’envie de rajouter une petite touche de sadisme me vient. Je la fais glisser de mes genoux pour la déposer sur le sol. Son regard apeuré cherche à me sonder quand elle comprend que j’en ai pas terminé avec elle.

- Ne bouge pas je reviens !

Une idée m’a traversé l’esprit, compléter son selfbondage et rendre sa libération un peu douloureuse. Pour cela, j’ai besoin d’une chaînette et d’un cadenas que je vais chercher dans notre chambre. A mon retour, Maud n’a pas bougé, elle attend le verdict comme une condamnée. A la vue de la chaînette que je passe dans celle de ses pinces à sein, elle se met à supplier mais je n’en ai que faire. Je l’oblige à se pencher en avant et la fixe aux menottes de chevilles.

- Regarde, je vais être gentil avec toi, je vais remettre les clés où tu les avais mises et te laisser te libérer toute seule. Quand tu seras libre, tu prendras une douche parce que là tu pues la femelle, tu t’habilleras, tu iras tout ranger et viendra me faire un câlin. A partir de là, tout sera oublié. Amuse-toi bien !

Dans ses yeux, je peux lire la haine, mais la peur d’une autre punition lui interdit de formuler tout ce qu’il lui passe par la tête. Je la laisse donc en mauvaise posture en sachant qu’elle va déguster pour ramper jusqu’aux clés et qu’à chaque mouvement elle tirera plus ou moins sur les pinces accrochées à ses tétons.

Une heure plus tard Maud débarque dans le salon, ses yeux sont encore rouges, à mon avis pas autant que ses fesses que je n’ai pas épargnées.

- Je suis vraiment désolée, ce que j’ai fait est lamentable, je te demande de me pardonner. Murmure Maud les yeux baissés.

- Viens t’asseoir sur mes genoux, je crois qu’un gros câlin nous fera du bien à tous les deux.

- Tu me pardonnes ? Me demande Maud en appuyant sa tête contre mon épaule.

- Je pardonne quoi ? Il s’est passé quelque chose ?

- Ben je crois que tu as des photos qui le prouvent.

- Ah bon ? Je ne crois pas. Regarde toi-même !

Maud attrape aussitôt l’appareil et visionne les photos des murs de sa chambre.

- Mais tu ne m’as pas photographiée ?

- Non, te punir est une chose, t’humilier aux yeux de ta mère en est une autre que je ne ferai jamais !

- Pardon................... Crie ma belle-fille en se lovant dans mes bras pour me faire un câlin comme si j’étais son vrai père.

EPILOGUE

Maud et moi sommes devenus plus proches dans notre relation mais en tout bien tout honneur que l’on se rassure. Je lui ai proposé de me parler librement de sa sexualité que je pouvais comprendre en lui expliquant que mon but était de lui éviter les pièges et éventuellement de mauvaises rencontres. Elle était très gênée mais comme j’ai insisté sur le fait que je voulais juste être un garde-fou pas un censeur et encore moins quelqu’un qui la juge, elle a fini par accepter de me parler un peu.

Pour le selfbondage, je lui ai aussi proposé de m’adresser un texto codé quand elle en fait puis le même texto quand elle est libérée pour lui servir de sécurité. Ce qui m’a surpris le plus, c’est qu’elle le fasse et je me demande si elle n’a pas envie d’appeler à l’aide..... chose qui, finalement, me gênerait terriblement car c’est la fille de ma femme.

TSM

Scénario et idée de selfbondage

500 vidéos de selfbondage

Rencontres BDSM

Forum selfbondage

Matériel de selfbondage

Par abcplaisir - Publié dans : Le monde de la fessée - Communauté : La fessée
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