Les histoires érotiques

Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 09:01

J’aime être sa chienne soumise

Baillon_Os.jpg

Quand il me dit « à quatre pattes chienne » il se passe quelque chose dans ma tête et en moi. Je suis métamorphosée, plus rien d’autre ne compte alors pour moi que d’être ce qu’il veut. Tous mes sens sont en ébullition et ne rigolez pas, je me sens chienne en chaleur en quelques secondes. Pourquoi ? Je ne sais pas, il n’y a que dans ces moments là où les mots crus, les insultes ne me touchent pas, au contraire, elles me galvanisent.

Nous sommes des Hommes, dans l’histoire, les Hommes sont issus des animaux, du singe mais avons-nous réellement encore une part animale en nous ?

Si je pose cette question saugrenue, c’est parce que dans c’est moment là, je suis capable d’accepter, presque de souhaiter être obligée de tirer la langue, d’haleter et de remuer de la queue que je n’ai pas. (Bien que nous ayons un plug queue de chien à la maison et qu’il lui arrive de me l’imposer).

Hier soir, lorsque nous sommes rentrés d’une soirée chez des amis, il m’a serrée dans ses bras, m’a embrassée et dévêtue avec douceur. Je m’attendais à une soirée câline quand l’ordre tant aimé est tombé : à quatre patte chienne !

Max pousse maintenant le vice à jeter un jouet de chiot sur le lit. Je dois aller le chercher à quatre pattes et le lui rapporter avec les dents. Débile allez-vous penser ou il lui manque de respect mais pour moi, il n’en est rien. Je m’amuse comme un chiot et refuse de lui donner du premier coup quand il tend la main. Si avant il a posé le collier BDSM autour de mon cou, quand il attrape la laisse, je suis dans un état d’excitation difficilement descriptible. Je m’égare…

Il m’a ordonnée de me mettre en position, c'est-à-dire à quatre pattes au bord du lit, fesses tendues vers lui, fesses que j’agite doucement de droite à gauche sans pudeur en me cambrant au maximum pour mieux m’offrir à son glaive. ET LA il m’a fait une sacrée surprise ! Il m’a demandé d’ouvrir la bouche et de fermer les yeux. J’ai senti un truc droit et dur comme un bâillon, mais il était droit. Il l’a attaché derrière ma tête en le serrant un peu, j’ai cru que c’était le mors d’un cheval mais non, c’était un bâillon os rose. Je l’ai découvert quand il m’a demandée d’ouvrir les yeux. Le miroir qui est à la tête du lit m’a renvoyée mon image, une chienne humaine nue, seins pendants avec un os rose en travers de la bouche.

Ni une ni deux, il a guidé son sexe entre mes lèvres intimes, trouvé la faille si désireuse de lui et pénétrée sans plus de préliminaire.

- Tu es déjà trempée chienne, tu mouilles comme une salope en manque !

Ses mots vulgaires que je n’aime pas dans la vie, m’ont fait tourner la tête. Instinctivement j’ai agité mes reins pour mieux le sentir en moi, pour qu’il commence à me prendre, à sauter sa chienne sans plus tarder. Il n’a pas tardé à me saillir, le plaisir généré par son coït viril m’a rapidement submergée. Sa main a attrapé ma queue de cheval pour tirer ma tête en arrière et m’empêcher de fuir sous ses coups de glaive de plus en plus puissants. Je commençais à m’approcher du nirvana quand soudain, il s’est retiré de moi en me laissant sur ma faim de lui. Il a jeté une paire de menottes sur le lit et ordonnée de les poser à mes poignets. Pendant ce temps il est aller chercher un préservatif et du lubrifiant dans le tiroir de la table de nuit. J’ai tout de suite compris ce qu’il allait faire : me sodomiser.

En temps normal, je n’apprécie pas vraiment la sodomie, cela me fait plus de mal que de bien mais je n’ai rien dit, d’abord à cause du bâillon, ensuite parce qu’il fait ce qu’il veut de sa chienne soumise. Quand après m’avoir lubrifiée et avoir enfilé le préservatif il a fait jouer ses doigts dans mon petit orifice, je me suis sentie prête, j’ai eu envie de lui en moi au creux de mes reins. Cela est paradoxal pour quelqu’un qui n’aime pas la sodomie. Et pourtant !

Avec douceur il s’est positionné à l’entrée de ma petite grotte grandement exposée, il a commencé à pousser la porte avant d’attraper ma queue de cheval et de me tirer les cheveux pour que je m’offre encore plus.

- Ouvre les yeux salope, regarde la petite chienne qui va se faire enculer. Regarde comme elle est belle dans son plaisir.

Quand il a commencé à glisser en moi en imposant sa présence en mon étroit anneau culier, pendant une petite seconde j’ai eu un peu mal, puis une forme de plénitude m’a submergée au moment où il s’est enfoncé totalement. J’étais « pleine » de lui, dilatée, empalée mais bien. La sodomie est immédiatement devenue magique, ensorcelante, je n’étais plus moi mais seulement un orifice, un cul, disons les choses comme elles le sont. La totalité de mes neurones s’est focalisée sur les divines sensations d’être pleine, prise, défoncée à en perdre la raison. Au bout d’un moment il s’est retiré, il a retiré son préservatif et prise à nouveau par devant. C’était bon mais j’ai presque regretté qu’il n’ait pas continué à me sodomiser, encore un paradoxe pour quelqu’un qui n’aime pas la sodomie.

Quelques secondes plus tard il m’a prise comme un fou, j’ai mordu le bâillon os comme une folle en atteignant le nirvana quand il a éclaté en moi.

Epuisés mais repus, nous n’avons pas tardé à nous coucher, deux petits bisous plus tard, il ma serrée dans ses bras en me mettant contre lui en chien de fusil et s’est endormi.

…………………………….

Le lendemain, je me suis réveillée vers 8 heures, il était déjà parti travailler. Etant en RTT, j’avais décidé de faire le ménage à fond. Après ma douche, j’étais en train de prendre mon café quand mon téléphone a sonné. Max venait de m’envoyer un texto.

« Ma petite chienne a prévu de faire le ménage à fond, c’est très bien. Elle le fera nue en n’ayant sur elle que son collier, son nouveau bâillon et sa queue de chienne. Elle m’adressera une photo d’elle dans cette tenue en faisant un selfie quand elle aura terminé. A la suite de quoi, elle rédigera une histoire érotique qu’elle postera sur Fessestivites pour raconter notre soirée sans rien cacher ».

C’est ce que je viens de faire en postant ce texte.

Ecrivaillon

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Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 08:56

Notre Maître est très pervers

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Voilà, nous sommes un couple adeptes des rencontres BDSM, mais nous sommes soumis tous les deux. Switcher pour se faire plaisir l’un à l’autre ne nous amusait qu’à moitié, c’est ce qui nous a motivé pour chercher un Maître. Au départ, nous avions cherché des rencontres libertines mais cela ne nous a pas vraiment plus car le sexe pour le sexe n’est pas notre truc. Nous avons rencontré Maître DocS sur fessestivites, le mot DocS signifiant docteur des Sens et là tout a changé.


La première fois, il a joué le jeu de nous dominer tous les deux et s’est imposé à nous dans tous les sens du terme. Après nous avoir imposé la nudité et un interrogatoire en règle, il nous a fessé tous les deux avec une cravache BDSM. Nous devions nous accompagner psychologiquement et nous tenir les mains pour éviter toute rébellion. Ce fut assez dur, car nous n’étions ni l’un ni l’autre habitué à ce niveau de pratique. A la suite de quoi, il nous a imposé de nous comporter comme des chiens puis de nous sentir les fesses et même de nous les lécher. En bons toutous, nous avions comme ordre de lui faire des fêtes et de laper son sexe de belle taille tendu à rompre.

- Une bite comme ça, cela ne se refuse pas ! Nous a t’il indiqué en sortant un préservatif de sa poche.

Et là, il a demandé à ma femme de m’écarter les fesses pour qu’il puisse m’essayer puis de bien lécher mon trou. Ravie que quelqu’un s’occupe de moi et d’assister à ça, elle y a mis tout son coeur pour me bouffer le cul. Même si je suis habitué à porter des plugs, son sexe m’a fait mal quand il m’a pris et défoncé sous les yeux de ma femme qui me tenait les mains. J’avais honte d’être pris devant elle mais en même temps, c’était bien, c’était bon, je devenais une véritable femelle en manque sous ses coups de buttoir. Après m’être fait laminer le fion, j’ai du lécher la chatte de ma femme qui était trempée comme jamais. Il l’a baisée avec un autre préservatif sans nous demander si nous étions candaulistes, il s’en moquait, il était sûr de lui et le roi de la soirée. Elle était allongée sur le lit et sur le dos. J’avais comme ordre de lui donner ma bite à sucer pour qu’elle se taise et de lui maintenir les jambes écartées. Il ne l’a pas épargnée non plus..... ni moi d’ailleurs avec des tirades du style, « regarde comme il faut baiser ta salope, tu as une belle tête de cocu, si tu veux gicler dans sa bouche ne te gêne pas » et bien d’autres choses toutes aussi délicates.


Cette rencontre nous a énormément plus, après son départ nous avons fait l’amour comme des bêtes et le lui avons dit par email le lendemain. Nous nous sommes fait engueuler pour ne pas lui avoir demandé la permission ! La réponse à cette « erreur » de soumis ne s’est pas faite attendre, il nous a imposé d’acheter une cage de chasteté chez ABCplaisir, parce qu’il estimais que ma birdlocked n’était pas une vraie cage.

Cage_de_chastete_Cobra.jpg

Il nous a fait acheter, cette cage de chasteté Cobra avec des pointes qui « m’apprendraient » à ne plus bander sans autorisation. La vache, cela a marché sans souci dès le premier soir. J’ai du me la mettre en webcam pour qu’il assiste à mon encagement par ma femme qui devait garder les clés cachées. Pour me permettre de la tester en temps réel, il m’a demandé d’essayer de me libérer. Impossible cela fait trop mal ! Nous avons du à nouveau faire les chiens pour lui, si ma femme mouillait comme la fontaine du Vaucluse, mon sexe lui, n’était pas fier ! A chaque érection la punition tombait avec les pointes acérées qui s’enfonçaient dans mes chairs.


La semaine suivante, il a débarqué le lundi soir de sa propre initiative en nous imposant sa venue. Un repas léger devait lui être servi par nos soins avec un verre de bon vin rouge en guise d’apéritif. Lorsque je lui ai demandé s’il désirait que je m’habille en soubrette, il m’a répondu qu’il préférait que nous soyons nus et rasés de près de partout tout comme ma femme puis que tout poil oublié serait sanctionné. A son arrivé vers 18 heures, nous étions à quatre pattes derrière la porte comme demandé. Cette idée ne nous plaisait pas trop sauf qu’une fois qu’il est entré, nous étions dans le trip, son trip. Nous sommes devenu en un claquement de porte ses soumis dévoués, allez donc savoir pourquoi cela a été si rapide.


Pendant son verre de vin en guise d’apéritif, nous avons du nous coucher sur la table basse du salon pour lui présenter notre épilation complète. Nous avons du nous retirer lentement à la pince à épiler tous les poils oubliés en nous faisant engueuler. A tour de rôle nous avons été fessé à en pleurer car sa main est un véritable battoir. Il m’a demandé d’aller cherche son sac pendant que ma femme lui taillait une pipe pour le mettre en forme.

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- J’ai une surprise pour vous, regardez ce que je vous ai acheté ! Nous a t’il indiqué en nous montrant deux plugs queue de chien.


Pendant que ma femme le suçait, j’ai du lui mettre la sienne dans les fesses, avec le recul j’ai trouvé ça très beau et que cela lui allait à merveille. J’étais tellement obnubilé que j’en ai oublié la mienne que ma femme a du lécher avant de me l’enfoncer dans le creux de mes reins. C’est donc nus avec un plug queue de chien dans les fesses comme seul vêtement que nous avons du assurer le service de table. Pour le service du café au salon, il a posé des pinces à sein équipées de grelots qui tintaient à chacun de nos pas.

Maître DocS nous a indiqué être fatigué et que j’allais devoir travailler comme un grand avec l’aide de ma femme. Il s’est allongé sur le dos sur le tapis du salon et m’a ordonné de le sucer correctement sous peine de représailles. A la suite de quoi, ma femme a reçu comme ordre de retirer ma queue et de me faire m’empaler sur son énorme bite, je n’avais pas le droit de l’aider pour la guider en moi.

- Tiens-le par les oreilles et fait le bouger à ta guise ! N’hésite pas à commenter avec tous les mots qui te passeront par la tête, surtout ne m’épargne pas. Lui a t’il ordonné.

Ma femme ne m’a pas épargné les oreilles ni les fesses parce qu’elle trouvait que le bruit des clochettes était très amusant. Pour les mots crus, elle n’y arrivait pas trop jusqu’au moment où il lui a demandé d’aller chercher son sac pour lui poser des pinces à sein japonaises. Là, sous la douleur elle a trouvé des mots crus plus facilement surtout quand il tirait sur ses pinces. J’ai eu aussi ma part de mots crus imposés en leur expliquant à tous les deux ce que cela me faisait de me faire casser le cul. En guise de récompense, après m’avoir explosé les fesses, Maître DocS m’a libéré de ma cage de chasteté. Ce fut un véritable soulagement que de tout retirer.


Il est parti dans notre chambre comme s’il était chez lui en nous demandant de lui apporter son sac dont il a sorti des menottes. Attaché sur une chaise avec un gros plug dans les fesses, j’ai eu le droit de le regarder baiser ma femme dans tous les sens et de « prendre un cours de baise » en règle. Elle devait m’expliquer en même temps, qu’il était meilleur que moi au lit et qu’elle me remettrait ma cage de chasteté tant que je ne me serai pas amélioré !!!!! Enfin, elle essayait de me dire tout ça entre deux cris n’étant pas des cris de douleur.....


Comme nous avions tous les trois fait un test HIV, Maître DocS l’a prise sans préservatif avec son vocabulaire habituel sous mes yeux étonnés de la voir tant décoller. Après avoir éjaculé en elle, il m’a libéré de la chaise et a menotté à nouveau mes mains dans mon dos. Quand le plug est tombé j’ai pris une gifle, c’était la première d’une longue série depuis qu’il est devenu notre Maître. Et là, il a attrapé mon sexe pour me guider à ma femme couchée sur le dos.


- L’expression d’emmener la vache au taureau n’est pas adaptée vu la taille de ta bite, mais bon, on va faire avec. Baise ta femme j’ai préparé le passage !


Il a inséré mon sexe bandé en elle puis m’a attrapé par la taille pour me donner le mouvement avant de récupérer les pinces à sein japonaises qu’il a posé sur mes tétons. AIE ! Il en a pris une autre paire pour faire une rallonge qu’il a donné à ma femme pour quelle puisse faire ses réglage de vitesse !

- Toi salope, si tu veux qu’il accélère tu tires sur les pinces, tu verras qu’il va faire des efforts ! Et toi petit soumis cocu, tu aimes passer après moi et tremper ta queue dans mon jus ? Aller travaille un peu avant que je parte avec les clés de ta cage. A t-il ajouté avant de me mettre une grande claque sur les fesses.

A genoux aux pieds du lit avec les mains menottées dans le dos, ce n’est pas très pratique de prendre sa femme et c’est d’autant plus dur quand elle tire sur vos pinces en vous criant « plus vite » ! Au bout d’un moment et avec un peu de concentration, cela a finir par venir, j’ai éclaté comme jamais en m’écroulant sur elle deux secondes après.


- C’est bien, tu progresses, allez nettoies tout ça correctement ! M’a ordonné Maître DocS en m’attrapant par le cou pour plaquer mon visage sur le sexe baveux de ma femme.


Devant mes réfutations, il m’a promis une semaine de cage de chasteté de plus et donné deux méchante claques sur les fesses à les déformer pour la semaine. Accompagné de mot crus et de quelques claques je me suis exécuté sous ses commentaires du type, « un jus comme le mien c’est du champagne pour soumis et soumises, ne t’avises plus à refuser ».


Comme cela l’avait excité, il m’a fait m’allonger sur le dos avant de positionner ma femme au dessus de moi pour une levrette. Et là, au lieu de la prendre « là où je l’avais polluée » il l’a sodomisée sans plus de précaution. Ses couilles frottaient mon visage pendant que je lui léchais le clitoris. Accrochée à ma verge qu’elle devait sucer correctement, elle a fini par se mettre à gémir puis pleurer de plaisir en se faisant exploser le « fion » que j’ai du lécher ensuite si je ne voulais pas me faire démonter les couilles qu’il tenait fermement avec sa main ferme comme un étau.


Un quart d’heure plus tard, il est parti avec les clés de ma cage de chasteté en nous laissant tous les deux épuisés mais heureux de cette soirée très particulière. Ceci est le compte-rendu de nos débuts qu’il nous a imposé de publier sur Fessestivites.

Maître DocS a maintenant les clés de la maison, il vient quand il veut sans prévenir pour se vider les couilles ou s’amuser avec nous. Il lui est même arrivé de passer en journée s’occuper que de moi, ma femme étant absente. ce fut très dur !

Ecrivaillon

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Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 08:53

Sa Maîtresse lui réserve une sacrée surprise

Sa_Maitresse_lui_reserve_une_sacree_surprise.jpg

Maîtresse Lucia ne décolérait pas, mais en bonne dominatrice, elle avait su gérer ses pulsions et mijotait une punition aussi sévère que pédagogique à son soumis. SPaul est sous cage de chasteté depuis plus d’une semaine, et pas n’importe laquelle, elle lui imposé la cage de chasteté Monster d’ABCplaisir. Ce dernier assume et pense que c’est sa punition mais il n’en est rien, ce n’est qu’un biscuit d’apéritif comparé à ce qu’il l’attend.


Les instructions étaient claire pour ce samedi soir, il devait préparer un bon repas pour cinq personnes et être parfaitement propre pour 19h. Parfaitement propre il l’est, la dernière fois qu’il s’est loupé, elle lui a collé le gode sale dans la bouche, depuis, il utilise la pompe à lavement pendant une heure minimum pour que cela n’arrive plus. A 19h précise, Maîtresse Lucia convoque son soumis au salon pour une inspection en règle. Elle approche son nez de dessous les bras de SPaul, vérifie l’épilation et lui enfonce un doigt dans les fesses avant de le lui loger dans la bouche.


- Bien, tu es propre. Tu vas te mettre en position 6 dans l’entrée. Lorsque l’on sonnera, tu ouvriras aux personnes qui arrivent, les guideras vers le salon mais n’y entrera pas. Interdiction de regarder ce que je prépare, c’est une surprise pour toi.


Nu, avec comme seuls vêtements sa cage de chasteté et son collier de soumis, SPaul s’exécute donc en se posant mille questions. Ce n’est que vers 19h30 que l’on sonne à la porte. Habitué aux idées de sa Maîtresse, il ouvre sans se poser de question et accueille deux hommes qu’il guide vers le salon avant de reprendre sa position. C’est aux alentours des 20h qu’il est appelé par sa Maîtresse. Lorsqu’il entre dans le salon, il s’étonne que la table soit mise mais pas du vieux coffre équipée de cordes et menottes BDSM installé sous la poutre, il y a déjà séjourné à quatre pattes pour des séances SM assez poussées. Maîtresse Lucia l’attrape aussitôt par l’oreille pour le guider vers le dit coffre où il prend place et se laisse entraver en commençant à se poser des questions.

- SPaul, je te présente mon ami Maître Dan et son soumis CTB13. Ils sont gays, je subodore que cela ne te dérange pas, ce qui de toi à moi ne change rien à ce qu’il va se passer ce soir.


A ces mots, SPaul commence à s’inquiéter, pratiquer le BDSM en couple et qu’il y ait des contacts avec les hommes ne le gêne pas, mais que sa Maîtresse ait invité un couple Gay lui donne la chair de poule.


- Cher Maître Dan, je vous remercie vivement d’avoir accepté mon invitation et de participer à la punition puis à l’éducation de mon soumis.

- C’est un plaisir ma chère, nous agirons au mieux pour vous être agréable, je dirai même que le plaisir sera pour nous. Lui répond Maître Dan.

A quatre pattes, pieds et mains entravés au coffre avec les fesses offertes SPaul s’affole. Il commence même à imaginer des choses horribles et à comprendre pourquoi sa Maîtresse a ajouté des cordes de shibari pour l’obliger à rester offert.

- Je vais commencer par vous expliquer pourquoi mon soumis est sous cage de chasteté puis par vous exposer la raison de ma demande d’aide. Expose Maîtresse Lucia. Dimanche dernier, aux alentours des 7h, prise d’une envie pressante je me suis levée pour aller aux toilettes avec comme désir de me soulager et d’aller me recoucher. Ma grasse matinée a été grandement perturbée.


- Ah, que c’est-il passé ? Demande Maître Dan.

- Mon soumis était assis devant l’ordinateur. Il visionnait des vidéos sur Fessestivites et se masturbait sans ma permission. Voilà pourquoi il est sous cage de chasteté depuis ce jour là, et il n’est pas prêt de retrouver sa liberté.

- Cette punition est tout à fait légitime, si mon soumis osait s’aventurer à faire ça, je ne pense pas me limiter à lui imposer trois mois de cage de chasteté ! Répond Maître Dan.

- C’est justement la raison de ma demande d’aide. Il se trouve que ce trou du cul était donc en train de se branler sur une vidéo gay avec un soumis attaché en train de se faire défoncer le cul en même temps qu’il suçait un autre homme. Comme vous me connaissez bien, vous savez que l’homosexualité ne me pose aucun problème, je dirai même que croquer une fille de temps en temps ne me déplait pas. Là où j’ai un gros problème, c’est que mon propre soumis soit excité par ce genre de vidéo, surtout......, qu’il vient de demander sa Maîtresse en mariage !

- Effectivement, je comprends totalement votre stupeur et votre étonnement ! Un gay qui demande en mariage sa Maîtresse est assez surprenant ! Ajoute Maître Dan lui aussi étonné. Vous a t’il déjà parlé d’aventure avec les hommes ou de ses envies d’homosexualité ?

- Jamais, il m’a toujours indiqué qu’il acceptait ce genre de relation uniquement pour moi ce qui me laisse à penser qu’il m’a mentie.

- NON MAITRESSE hurle aussitôt SPaul. Je ne vous ai jamais mentie. Je vous aime, j’aimerai tant être votre mari soumis et pas seulement votre soumis. Oui, j’ai fauté en me masturbant sans votre autorisation mais c’était juste un fantasme et ...

- STOP, ça suffit tais-toi, je ne t’ai pas autorisé à parler ! Crie Maîtresse Lucia en portant un coup de son fouet signal whip très bien porté sur les fesses de son soumis.

- Pardon Maîtresse ! Répond aussitôt SPaul avec les larmes aux yeux.

Ce n’est pas la douleur fulgurante qui provient de ses fesses qui le fait pleurer, mais la peur d’avoir déçue sa Maîtresse et qu’elle refuse sa demande en mariage pour une branlette débile dans un moment d’égarement.

- J’ai donc fait appel à vous pour vraiment tester sa bisexualité et sa soumission envers moi car ce petit con de soumis, je l’aime. Il est à vous pour la soirée, faites-en ce que vous voulez comme vous voulez. Ma seule demande est l’usage de préservatif pour la pénétration. Après vous avez carte blanche et s’il rechigne ou résiste, n’hésitez pas à sévir.


A ces mots, SPaul se décompose. Il est d’autant plus mal quand il aperçoit sa Maîtresse en train de s’installer face à lui dans son fauteuil avec une flute de champagne à la main. Elle va vraiment le livrer à deux gays.


- Maîtresse je vous aime, j’accepterai tout ce que vous désirez comme punition et vous demande humblement pardon. Lui indique SPaul en pleurant comme un bébé. Ne me rejetez pas je vous en supplie.

Il a à peine terminé sa phrase avec un sanglot dans la voix que Maître Dan ordonne à son soumis de préparer le cul qui lui est offert. CTB13 se précipite aussitôt pour lécher l’orifice au coeur du pertuis offert en essayant même d’y faire pénétrer sa langue. Son Maître ouvre sa braguette pour en sortir un sexe mou mais d’une taille à faire pâlir les adeptes du fist.


- Suce moi petit pédé !

- Je ne suis pas pédé ! Aboie presque SPaul dans un cri de désespoir qui lui vaut une gifle immédiate.


En voyant sa Maîtresse tendre un paddle à son ami, SPaul se décompose, s’excuse et ouvre immédiatement la bouche. L’énorme verge molle trouve sa place en cet antre soudain très accueillante et pour cause, le paddle tendu est un modèle de 90mm en chêne. Le genre de paddle qui démonte un fessier en un rien de temps. Le Popaul mou ne tarde pas à prendre son aise et de l’ampleur. Il semble même apprécier l’accueil qui lui est réservé au point qu’il atteint toute sa plénitude en un temps record et vient titiller le fond de la gorge du soumis désespéré par l’ouverture titanesque imposée à sa petite bouche.


De l’autre côté de son tube digestif, le soumis n’en démord pas avec l’anus qui lui est proposé à déguster. Il se plait même à espérer pouvoir l’essayer si son Maître lui accorde, un cul encore serré cela s’apprécie !

La suite serait délectable,

Malheureusement, je ne peux

Pas la dire, et c'est regrettable,

Ça nous aurait fait rire un peu ;

Car le juge, au moment suprême,

Criait : "Maman !", pleurait beaucoup,

Comme l'homme auquel, le jour même,

Il avait fait trancher le cou.

Gare au gorille !...


EPILOGUE

Comme le dit si bien Brassens la suite serait délectable, mais votre imaginaire saura faire le reste. Venons-en plutôt à la conclusion de cette rencontre où beaucoup de larmes furent versées.


Devant les larmes et cris sans aucune supplique de la part de SPaul, Maîtresse Lucia comprit qu’elle avait peut-être été un peu trop sévère et que son soumis n’avait fait que fantasmer. Après le départ de son ami, elle fut très émue et versa elle aussi quelques larmes quand son soumis la remercia de l’avoir puni en réitérant sa demande de mariage et sa promesse de ne plus jamais tricher.

Ecrivaillon

Note de l’auteur

Maure Alité (ou moralité, le Maure n’est pas malade pardon)

Entre fantasme et réalité, alité ou non, il y a parfois un pas qui n’est jamais franchi.

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Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 08:51

Piégé en couche et cage de chasteté dans un hôtel par une Maîtresse ultra perverse

Cage_de_chastete_de_luxe_L_3.jpg

Soumis Pierre a rencontré Maîtresse Sand, de son prénom Georges sur Fessestivites. Dans un premier temps, elle l’a testé en lui imposant des exhibitions en webcam sur le tchat. A chaque fois il était ponctuel, sérieux, respectueux ce qui l’a poussée à lui imposer des selfies dans des lieux public comme les jardins, le métro, .... Une forme d’amitié virtuelle a vu le jour.

Pour la période estivale, soumis Pierre lui a demandé ce qu’elle préférait qu’il prenne comme congés, juillet, août, quatre semaine ou moins et cela en fonction de ses désirs. Un tel engagement motiva une envie de rencontre réelle de la part Maîtresse Sand. Autant dire que Pierre apprécia grandement le message ci-dessous :

................................

Cher soumis,

Pour tes congés, je souhaite que tu prennes 15 jours en juillet, du 14 au 30, nous verrons ensuite pour d’autres dates car j’ai décidé de te rencontrer. Nous allons procéder de la sorte :

Tu réserveras deux nuits à l’hôtel des oiseaux au Castelet. Les dates sont les suivantes : 14 et 15 juillets. Demande la chambre 2C. je la connais, elle est très bien.

Tu dois acheter deux paires de menottes chez mon ami d’ABCplaisir.com ainsi qu’un bâillon ouvert + deux bracelets de chevilles et deux cordes de shibari.

Tu viendras avec le matériel demandé + tes effets personnels pour deux semaines + tes pinces à seins et plugs.

Les 14 et 15 juillet, je vais te tester en réel. Si tu es à la hauteur de mes espérances, et réciproquement, tu seras mon invité jusqu’à la fin du mois. Ne rêve pas, cela ne sera pas tout à fait des vacances pour toi.......

Si tu acceptes mes conditions, je veux que tu entres dans la chambre 2C le 14 juillet 2016 à 17 heures. Entre temps, je t’adresserai un enveloppe par la poste avec des instructions. Tu ne dois pas ouvrir cette enveloppe avant que je t’y autorise. Comme ils sont équipé Wifi tu le feras en webcam le 14 juillet à 17h30. A ce moment là, si toutes mes consignes sont respectées à la lettre, je te rejoindrai dans cette chambre qui sera le théâtre de notre première rencontre réelle.

Ta Maîtresse

...............

Soumis Pierre était aux anges à la lecture de cet email particulier. Sans s’imaginer le piège qui lui était tendu, il effectua sur le champ la réservation de la fameuse chambre 2C à l’hôtel des oiseaux au Castelet et en informa sa Maîtresse. Trois jours plus tard, il reçut la mystérieuse enveloppe dont le dos comportait une signature sous un morceau de scotch en guise de scellés ainsi qu’un petit cadenas.

Pendant deux mois, Maîtresse Sand continua de le dominer en webcam sur le tchat, peu lui importe qu’il y ait des voyeurs ou pas, un soumis se devant d’être fier de réaliser toutes les lubies de sa Maîtresse. Quinze jours avant la rencontre, elle lui imposa de mettre sa cage de chasteté en webcam et de lui adresser les clés du petit cadenas en poste restante au village du Castelet.


LE 14 JUILLET A 17 HEURES PRECISES

Soumis Pierre pénétra dans la mystérieuse chambre 2C, décorée d’un style ancien très campagnard, avec un grand lit en fer à barreaux et de grosses poutres au plafond, elle eut pour lui l’effet d’un véritable donjon ! Il jeta ses affaires pour rapidement se connecter sur le chat de Fessestivites avec son ordinateur portable où il ouvrit un salon à son nom comme à chaque rendez-vous virtuel.

Maîtresse Sand n’étant pas encore connectée, il entreprit de ranger un peu ses affaires et de sortir les accessoires BDSM demandés. Avec la ponctualité d’une horloge Suisse, le rêve de sa vie apparut à l’écran. Maîtresse Sand rentra immédiatement dans le vif du sujet en lui demandant d’ouvrir l’enveloppe mystérieuse et de la faire voir aux membres connectés pour qu’ils lissent ses instructions :

- Bloquer la mise en veille de ton ordinateur, je veux que ta nuit de soumission soit vue par les membres de Fessestivites.

- Tu dois te mettre intégralement nu en faisant un streptease, il parait que les hommes aiment ça, alors fait des efforts.

- Poser les menottes à la tête du lit comme si tu allais dormir à côté d’une personne, donc d’un côté du lit mais avec les deux paires séparées de 30 centimètres environs au-dessus de ta tête.

- Tu dois te mettre les pinces à sein puis ton plug en verre de 40mm.

- Tu dois te mettre ton bâillon bouche ouverte.

- Tu dois vérifier que la porte de la chambre n’est pas fermée à clé pour que je puisse venir m’occuper de toi.

- Tu dois ensuite poser les clés de tes menottes sur la commode qui est en face le lit puis te menotter couché sur le dos.

Quand et uniquement quand tu auras fait tout cela, je viendrai te rejoindre.

.......................................

Soumis Pierre n’en mène pas large car, entre ses fantasmes et cette dure réalité, le pas est grand. Là, il ne sera pas libre d’interrompre la séance comme il aurait pu le faire lors des séances de dominations virtuelle. Il sera donc totalement à la merci d’une Maîtresse qu’il n’a jamais vue. Bien décidé à ne pas la décevoir il exécuta toutes les consignes devant une dizaine de membres dont certains très envieux.

Dix minutes plus tard, Soumis Pierre est donc entravé nu dans un hôtel avec comme seul vêtement sa cage de chasteté, ses pinces à sein, son bâillon bouche ouverte et un plug dans les fesses. Dans sa cage, l’excitation est grande, son sexe essaye même de pousser les bords en vain.


20 MINUTES PLUS TARD

20 minutes c’est long quand on a peur d’être laissé ainsi entravé jusqu’au passage de la femme de ménage ! Les minutes s’égrainent lentement et semblent pour lui durer des heures. Soudain, la porte de la cambre s’ouvre et le fait sursauter. Maîtresse Sand apparaît dans l’entrebâillement avec un sourire ensorceleur posé sur les lèvres. Grande, légèrement ronde avec de longs cheveux blond et un sourire à faire fondre les moines d’un monastère entier, elle s’avance comme si tout était normal et jette un sac sur le lit. Elle entreprend aussitôt de s’amuser avec son jouet. D’une main taquine, elle agite la cage de chasteté en tirant sur les pinces à sein. Les gémissements ne se font pas attendre car elle y va gaiement.

Très perverse et pour la circonstance, Maîtresse Sand a mis une culotte sous sa robe d’été lui arrivant à mi-cuisse. Elle la retire lentement sous les yeux effarés des internautes avant de la promener sur le visage de soumis entravé.

- Sens ta Maîtresse, elle a gardé cette culotte deux jours pour toi, apprécie ses effluves, tire la langue pour les goûter. Oui, c’est bien petit soumis, je suis sûre que tu aimerais lécher le petit minou qu’elle protégeait.

- choui chuoi y vous plait ! répond Soumis Pierre comme il le peut pour cause de bâillon ouvert.


Ni une ni deux, Maîtresse Sand monte sur le lit, enjambe son soumis puis soulève sa robe de façon à se faire lécher. De dos, les internautes ne voient rien, même pas ses délicieuses fesses mais se plaisent à rêver de pouvoir un jour faire de même. Soumis Pierre est aux anges, il déguste au sens propre du terme la délicieuse minette bien proportionnée dont le capuchon du clitoris se soulève déjà. La mouille de sa Maîtresse est douce, c’est un nectar qu’il lape avec un plaisir non dissimulé. La chose coquine ne dure pas, Maîtresse Sand se lève et se tourne pour lui offrir son pertuis à lécher. En s’asseyant sur son visage, elle écarte les fesses pour offrir sa petite fleur à la bouche gourmande d’elle. Assise sur son visage, elle joue avec les pinces à sein comme d’un accélérateur de langue, au plus elle tire, au plus il doit accélérer. Prise par les sensations, elle n’hésite pas à masser sa poitrine généreuse à travers sa robe.

Toujours aussi imprévisible, Maîtresse Sand se lève puis entreprend de poser les bracelets de contrainte aux cheville de son soumis. A l’aide des cordes de shibari, elle l’oblige à relever ses jambes et les positionne en V, offrant ainsi aux internautes une vue imprenable sur sa cage de chasteté et le plug en verre logé en bonne place. De son sac, elle extrait une canne anglaise qu’elle fait siffler trois fois en fendant l’air.


- N’avions-nous pas une punition en attente ?


Avec les pieds entravés au-dessus de sa tête, le fessier comblé n’a aucune chance d’éviter les coups à venir. Le visage soudain sévère de Maîtresse Sand ne laisse aucun doute sur ses projets immédiats. Les coups de canne anglaise peuvent être très douloureux, en position diaper c’est bien pire, la chair des rondeurs étant tendue. Pour une première rencontre réelle, sa Maîtresse ne l’épargna pas, elle fit en sorte qu’il ait de belles marques presque parallèles, des cuisses jusqu’au bas du dos. Au plus soumis Pierre se tordait de douleur, au plus il s’exposait, risquant d’offrir ses testicules à la canne.

La punition terminée, les fesses striées firent comme de l’oeil à Maîtresse Sand, qui, se rendit à l’ordinateur portable pour aller chercher sur youtube la valse du petit chien de Chopin.

- Cette valse, Chopin la créée au château de Nohant lors d’un week-end très coquin avec ses amis musicien. Le petit chien de Gorges Sand avait une puce sur sa queue. Il tournait en rond sur lui-même, Frédéric s’est alors amusé à reproduire au piano le petit chien tournant en rond. (Véridique) Tu vas faire le petit chien à ton tour en tirant la langue pendant que je t’enculerai ! Lui indiqua Maîtresse Sand en lui retirant son plug.

Elle enfila par dessus sa robe d’été un gros gode-ceinture puis lança la musique avant de grimper sur le lit, puis de « grimper » son soumis dont l’orifice était déjà préparé par le plug. Encore une fois, les internautes sur le chat assistèrent à la chose sans ne rien pouvoir voir, la robe cachant le principal de la chose.

- Tire la langue, ne t’inquiète pas, je vais t’aider à trouver le rythme à grand coup de gode.


Soumis Pierre délira au sens propre du terme, Maîtresse Sand ayant une main accrochée à sa cage de chasteté pour s’aider dans un ramonage digne de Roco Sifredi. Dix minutes plus tard, elle se retira laissant le trou béant prendre le frais le temps nécessaire pour y reloger un plug ouvert tunel ouvert, acheté pour la circonstance avec un lot de couches Crinklz et une culotte en plastique sur ABCplaisir.

Soumis Pierre n’ayant pas vu le plug ouvert, ne comprit pas que sa Maîtresse lui mette une couche et encore moins la culotte en plastique après lui avoir libéré les jambes qu’elle entrava cette fois aux pieds du lit. Dans sa bienveillance, presque comme le ferait une mère, elle l’invita avec douceur en tirant sur les pinces à sein à boire une bouteille d’eau.


- Je suis fière de toi mais j’ai une surprise pour toi. Lui indiqua Maîtresse Sand en entreprenant de récupérer toutes les affaires de Soumis Pierre.

Elle prit également son sac et ses clés de voiture sous ses yeux affolés de Pierre plus du tout soumis qui titrait comme un malade sur les menottes.

- Je te laisse, j’ai à faire, fait de beaux rêves, mais ne t’inquiète pas, je surveillerai de chez moi via la webcam. Bonne nuit ! Lui dit Maîtresse Sand en quittant les lieux.

Fou de rage et comprenant qu’il venait d’être volé, Soumis Pierre s’acharna sur les menottes et les entraves de ses chevilles. Hormis se faire mal et se maudire de s’être fait piéger, il ne put rien faire. L’idée d’être découvert ainsi le lendemain par la femme de ménage le traumatisa tout autant que le vol de tous ses effets personnels.

Trois heures plus tard, ni tenant plus, il n’eut pas d’autre choix que d’uriner dans sa couche, le seul « vêtements » lui restant pour protéger sa pudeur.

Si sa nuit fut torride, inconfortable et peuplée de cauchemars, le lendemain allait lui réserver bien d’autres surprises.


A suivre ICI Piégé  en couche dans un hôtel par une Maîtresse ultra perverse

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Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 08:45

Je rêvais de plan BDSM uro avec une Maîtresse

ATTENTION texte hard


A chacun ses fantasmes, les miens portaient sur des plans uro avec une Maîtresse. Je me voyais obligé de lécher sa chatte et ses fesses pendant des heures et surtout d’être obligé de la lécher après qu’elle soit allée faire pipi. Combien de fois me suis-je caressé devant les vidéos et photos de ce style ? Des centaines et toujours en rêvant d’être à la place des soumis transformés en latrine.

Chaise_facesitting_uro_3.jpg

La chaise facesitting uro me faisait rêver. L’idée d’être allongé là dessous, menotté et sous cage de chasteté me rendait fou. J’imaginais ma Maîtresse assise sur cet accessoire profitant de ma bouche. La vue de dessous de son intimité sublimerait mes sens. Laper son minou épilé pendant des heures ne pouvait qu’être sublime. Telles étaient mes pensées et fantasmes. J’ailai été servi au delà de mes espérances !

J’ai donc erré pendant des mois, que dis-je des années sur des forums et sites de rencontres BDSM en recherchant la déesse de tous mes rêves et fantasmes. J’y ai appris à communiquer avec les Maîtresses, à les appeler Madame et non pas Maîtresse, à ne pas être trop demandeur, à faire une belle annonce. Au départ j’avais écrit « ch maitresse », on m’a expliqué, et pas toujours avec élégance, que lorsque l’on est demandeur on fait des efforts d’écriture et de présentation.... Et puis un jour, après avoir fait des progrès sur ma façon de me présenter, c’est sur Fessestivites qu’une lueur d’espoir est apparue.


Maîtresse Katia m’a testé deux fois via en webcam via chat.


Elle me faisait faire des trucs humiliants comme lécher mon slip ou mettre mes chaussettes sales dans ma bouche. J’ai eu droit aux pinces à linge sur les seins, sur les testicules et la langue à en baver pendant une demi-heure. Lorsqu’elle a constaté que je n’étais pas qu’un fantasmeur, elle m’a demandé mon adresse pour me faire un cadeau. Je pleurais de joie quand le colis est arrivé. Elle m’avait offert une de ses culottes portées ! Je l’ai sentie, touchée avec une trique d’enfer. Le soir même j’ai du dormir en cam avec sa culotte dans ma bouche maintenue par du scotch. J’avais installé mon ordinateur portable sur une chaise et bloqué la mise en veille. J’ai bien mis une heure à trouver le sommeil.


Pour le premier rendez-vous, elle m’a imposé d’acheter un cadenas pour cage de chasteté à combinaison chez ABCplaisir en demandant au webmaster de lui adresser le code. Ce cadenas m’a servi à me mettre sous cage de chasteté et à lui confier ma sexualité.


Lors de ce test, toujours en chat webcam, Maîtresse Katia m’a demandé quel cadeau je comptais lui offrir. Là j’ai commencé à me poser des questions. Etait-elle vénale ? Sa réponse a été claire :


- Quand un homme cherche a séduire une femme, il lui offre des fleurs et l’invite à dîner dans un restaurent. Moi je préfère qu’il m’offre un accessoire que je choisis avec lui et en fonction de ses fantasmes puis des miens. Ainsi, il n’arrive pas les mains vides, me fait plaisir et se fait plaisir aussi puisque j’utiliserai l’accessoire de ses désirs. Si cela ne te convient pas, on arrête là.

Cagoule_uro_sexe_hard.jpg

Je me suis platement excusé d’avoir douté, il est vrai qu’elle ne m’avait jamais parlé de relation tarifée et ce n’était présentement pas le cas. J’ai donc commandé une cagoule uro sexe dans les trois accessoires qu’elle m’avait proposé.


Nous étions le lundi, la cagoule uro sexe est arrivée le mercredi, je devais la tester pour voir si je la supporterai, sa crainte était que je sois claustrophobe et gâche sa soirée. Rien que de la mettre m’a rendu fou ! ! ! Je bandais comme un âne dans ma cage de chasteté à m’en arracher les testicules. Si j’avais pu me caresser, j’aurai projeté un litre se sperme au plafond ! J’exagère ok, mais c’est pour essayer de vous décrire l’état dans lequel j’étais.


Je me suis donc pointé au rendez-vous fixé sur le parking d’un MacDo le vendredi soir avec une heure d’avance. Le deal était que si j’étais à la hauteur de ses espoirs, je reste en son logis pour la servir tout le week-end. Le moindre retard risquant de tout compromettre, vous comprenez sûrement pourquoi je suis arrivé avec une heure d’avance. Cette heure fut longue, surtout que Maîtresse Katia est arrivée avec une demi-heure de retard. Grande, fine sans être maigre, cette femme âgée de quarante-sept ans en paraît trente-cinq. Ses longs cheveux noirs soyeux en font une délicieuse panthère.


Lorsque j’ai pris place dans son véhicule, Maîtresse Katia a découvert qu’en plus de la cagoule uro j’avais décidé de lui offrir un bouquet de fleurs et une bouteille de champagne. Ce m’a valu un remerciement de principe et de me faire gronder puisque je m’étais autorisé à lui offrir plus qu’elle ne l’avait demandé. Une fois ma ceinture de sécurité posée, elle m’a bandé les yeux avec des lingettes démaquillantes et une bande médicale m’interdisant ainsi de savoir où nous allions. Même pour un homme montant en voiture avec une femme, j’avoue que ne pas savoir est un peu angoissant. Arrivés à son domicile s’avérant être une magnifique villa isolée, Maîtresse Katia a libéré ma vue et invité à porter les courses rangées dans son coffre ainsi que mon sac d’effets personnels.

- Alors comme ça petit soumis, tu rêves de me servir ?

- Oui Madame.

- Tu rêves aussi de mater ma chatte et mon cul puis pourquoi pas celui d’autres Maîtresses ?

- .....

- En clair tu es un voyeur ?

- Si je peux me permettre Madame, le corps d’une femme est un chef d’oeuvre de Mère Nature, comment ne pas apprécier d’y poser les yeux ?

- Tu ressembles bien au beau parleur du site, si j’aime bien la répartie, il ne faudra pas en a b u s e r. Voici les règles de la maison. Si tu oses toucher une femme sans sa permission, je te massacre au fouet et te jette nu au milieu d’un parking de supermarché. Tu ne parles à aucune femme sans sa permission sauf en cas d’extrême urgence. Tu devras veiller à mon bien être et à celui de mes invités si tu réussis à rester jusqu’à demain. Faire preuve d’initiatives est une bonne chose, exemple remplir des carafes d’eau, desservir la table, ..... Toutefois, mesures bien tes initiatives, certaines peuvent te coûter très cher. Je vais te montrer ta chambre ! Conclue Maîtresse Katia en partant dans la maison.

Ma chambre s’est avérée être un cagibi fermé par une grille avec un matelas et un seau comme seul mobilier !

- Mets tes affaires dans ta chambre et met-toi à poil !

Je me suis exécuté sur le champ avant de recevoir l’ordre de me mettre à genoux devant elle. Maîtresse Katia m’a posé un collier de soumis en fer qu’elle a cadenassé puis la fameuse cagoule uro que je venais de lui offrir. A la suite de quoi elle m’a conduit à quatre pattes avec une laisse dans son logis pour me mettre en attente dans son salon en position six. Sous la cagoule serrée, j’avais chaud et n’entendais rien d’autre que ma respiration si bien que j’ai eu peur, lorsqu’elle est revenue et a tiré sur ma laisse. Invité à m’étendre sur le sol à même le carrelage froid, j’ai senti quelque chose toucher mes lèvrespar le trou de la cagoule. J’ai donc ouvert ma bouche pour le laisser entrer.


- C’est un entonnoir ! Là j’ai envie de t’offrir un peu de mon champagne. Si tu en fais couler par terre tu devras lécher et sera fouetté !


Et là, la belle m’a enjambé et s’est positionnée au dessus de ma tête. Son champagne a ruisselé dans l’entonnoir. Par chance elle a dosé, je ne me suis pas « noyé ». Il était assez fort en goût mais j’ai fait l’impossible pour tout prendre. Quand elle a retiré l’entonnoir, j’ai été complimenté et j’ai eu droit à une sublime récompense : tirer la langue par le trou de la cagoule pour essuyer ses délicieuses lèvres intimes que je ne pouvais hélas voir.


Abandonné là, étendu à même le carrelage, je planais sur un petit nuage, avais-je trouvé la Maîtresse de mes rêves ? Lorsqu’elle est revenue me chercher, elle m’a fait retirer la cagoule pour me conduire à la cuisine pour une découverte et la prise de mes fonctions de « boniche ». Equipé d’un petite tablier ouvert sur l’arrière, j’ai du mémoriser où se trouvaient les choses pour le service de table du soir et prendre toutes les consignes. J’attendais patiemment en cuisine lorsque la sonnette a retenti me faisant un peu angoisser. Madame Maryna une Maîtresse exceptionnelle et son soumis soumickey étaient invités. Ils sont beaux à voir tous les deux de par l’amour et la fusion BDSM qu’ils dégagent.


J’ai surtout découvert soumickey au départ qui fut délégué comme aide en cuisine, nous avons pu échanger autour de nos passions BDSM. Rappelé à l’ordre par nos Maîtresses, nous avons pu leur servir l’apéritif et les amuses bouches. Comme il n’y avait que deux assiettes, nous en avons déduit que le repas se déroulerait d’une façon différente qu’une soirée conventionnelle entre amis. Ce fut le cas, après les avoir servi, nous avons découvert que Maîtresse Katia nous avait prévu deux gamelles de chien. Il est difficile de manger proprement sans les mains. C’est entre la poire te le fromage qu’elle s’est décidée à me présenter puis, sans aucune pudeur pour moi à parler de mes inspirations et fantasmes. J’étais très gêné qu’elle dévoile ainsi à des inconnus les pratiques qui m’attirent. Madame Maryna ne s’est pas privée de commenter et de m’interroger avant d’ordonner à soumickey de se présenter lui même. Les cafés servis, nous faisions la vaisselle quand les belles sont arrivées par surprise. Madame Maryna tenait en ses mains deux magnifiques fouets me terrorisant. Invités à les suivre, nous avons du présenter nos fesses nues aux lanières cinglantes. N’étant pas habitué, j’ai un peu couiné, un peu trop d’après Maîtresse Katia qui lui a demandé de me punir de deux coups appuyés. Deux marques que j’ai portées avec fierté pendant plus d’une semaine. En frère de soumission nous avons du nous embrasser (pas vraiment mon truc) pendant qu’elles se distrayaient un peu sur nous, Maîtresse Katia avec un énorme martinet, Madame Maryna avec ses fouets.


- Que penses-tu de ce soumis ? Demanda Maîtresse Katia.

- Pas très endurant mais il a l’air de savoir ce qu’il veut. Où sont les toilettes s’il te plait ?

- Devant toi ma belle ! Lui a répondu Maîtresse Katia avant de m’ordonner d’aller chercher la cagoule uro que je lui ai offerte. Vois-tu ce soumis est un gros coquins voyeur, il apprécie autant le champagne doré que de mater l’intimité de la donneuse. J’ai donc opté avec lui de le mettre sous cagoule pour lui apprendre à nous respecter.

- Excellent idée, de toute façon, ils rêvent tous de nos chatons.

- Si tu désires te retirer pour te soulager, tu peux le conduire à la salle de bain.

- Non, ta présence ne me gêne en rien, d’ailleurs c’est soumickey qui va l’installer comme j’aime et tenir l’entonnoir qu’il vient d’emmener avec cette cagoule qu’il va lui mettre.

 

Soumickey m’a demandé de me mettre à genoux pour me poser la cagoule qu’il a serré fortement. Il a ensuite tiré ma tête en arrière et fait asseoir sur mes talons avant de mettre l’entonnoir dans ma bouche via le trou de la cagoule. Madame Maryna m’a prévenu que si j’en mettais sur le sol et en gâchais, elle me le ferait regretter au fouet. Même si mes fantasmes se réalisaient, chose me comblant de bonheur, je n’étais pas fier et avait peur car elle n’a pas l’air d’une Maîtresse qui ne tient pas ses promesses !!!!! Le flot est arrivé d’un coup, même dosé j’avais du mal à tout avaler. J’étais tellement inquiet et désireux de ne pas décevoir ma Maîtresse que je n’ai pas vraiment savouré l’instant tellement j’étais concentré sur le fait d’avaler rapidement sans m’étouffer. Ce n’est pas moi qui ait eu l’honneur de la goutte mais soumickey, quel veinard, il n’était pas cagoulé !


La soirée se déroula ensuite comme une soirée entre amis, jusqu’au moment où j’ai été apprêté pour la nuit. Invité à me pencher en avant sur le canapé pour bien présenter mes fesses, je m’attendais à recevoir des coups de martinet. Il n’en fut rien, Maîtresse Katia m’écarta les fesses avant de lubrifier mon anus pour y introduire un gros plug muni d’un anneau. Le passage fut difficile, mes couinement furent ponctués de claques sur mes fesses et d’une grande claque sur mes testicules pour « m’aider à me décontracter »..... Quand il a fini par passer, j’avais vraiment l’impression d’être « plein » et d’avoir la « rondelle en feu ». Sans plus de considération, elle mit une chaînette dans l’anneau du plug puis en fit un string quelle verrouilla avec un cadenas. Je dus baiser les pieds de Madame Maryna et de Maîtresse Katia avant d’être invité à me rendre à ma chambre dont la porte de la grille fut cadenassée.


Si la nuit fut difficile, dormir dans une cage en étant plugué et sous cage de chasteté, n’est pas des plus confortable, j’étais ravi. Maîtresse Katia avait décidé de me garder pour le week-end, j’avais donc réussi mon examen d’entrée. Le lendemain, j’avais mal partout ! Après avoir été libéré de ma chambre, avoir déjeuner et avoir pris une douche, j’ai fait du ménage et le service de table du midi puis, l’après-midi du jardinage en restant intégralement nu.


J’AI UNE SURPRISE POUR TOI

- J’ai une surprise pour toi ! M’a annoncé Maîtresse Katia aux alentours des 18 heures. Tu es effectivement fan d’uro, tu sembles être un bon soumis, je vais donc faire deux choses. La première te faire plaisir, la deuxième te tester encore avant de décider si oui ou non je te prends à mon service. Regarde ce que j’ai pour toi !

Cagoule_entonnoir_BDSM_pisse_uro.jpg

Maîtresse Katia agitait sous mes yeux une cagoule entonnoir BDSM avec un sourire jusqu’au oreille.

- Désires-tu vraiment entrer à mon service et porter mon collier ?

- Oui Madame, ce serait un honneur et un bonheur pour moi.

- Alors passe tes dernières épreuves sans rechigner et nous verrons ça sans trop tarder.

- Allonge-toi sur le canapé. Il faut que je te mette une couche.

- Pourquoi faire Madame ?

- Parce qu’il est hors de question que tu souilles ma terrasse. Fut la seule indication qu’elle me donna.

Les jambes en l’air tel un bébé, je lui ai offert une vue imprenable sur mes fesses. Elle en profita pour me remettre le gros plug (aie) avant de fermer la couche dont elle consolida les attaches avec du gros scotch d’emballage. J’avais honte, j’étais blême mais je n’ai rien dit. C’est donc avec une grosse couche comme seul vêtement que j’ai été conduit sur la terrasse où m’attendait effectivement une grosse surprise pour la soirée.


Du matériel de bondage était posé en vrac devant un des piliers de la terrasse. Elle m’invita à m’asseoir le dos contre le piler avant de bloquer mes poignets derrière avec des menottes. Elle serra mes jambes avant de les entraver avec des bracelets de cheville. A la suite de quoi elle me mit la cagoule entonnoir BDSM permettant de « voir venir les choses et la donneuse ». Rien que d’y penser, dans ma cage de chasteté mon sexe fut pris de convulsion. Là où je me suis inquiété c’est quand elle a rajouté une sangle sur mon front qu’elle a serré fortement pour que je ne puisse pas bouger ma tête bloquée contre le piler.


Abandonné là avec mes inquiétudes et mes folles pensés, j’ai vu le soleil se coucher puis arriver des voitures. Entravé au pilier, j’étais blême lorsque les couples passaient devant moi. Si être vu entravé ne me gênait pas plus que ça, l’être en couche avec une cagoule uro dont le tube entrait dans ma bouche était quand même hard. La suite le fut bien plus !!!!!!!!!!!!!!!!


Je trouvais le temps long entravé tout seul sur la terrasse. Lorsque Maîtresse Katia divinement vêtue d’une robe de soirée lui arrivant au genoux est arrivée dans la pénombre, mon coeur s’est mis à battre. Elle s’est approchée de moi et a soulevé sa robe pour enjamber l’entonnoir. Entre la pénombre et avec la tête sa robe je ne voyais rien, par contre, l’arrivée de son champagne doré a électrisé mes sens. Son nectar galvanisa les ardeurs de ma verge qui, de son côté, goutta l’étroitesse de ma cage de chasteté. A mon plus grand regret, elle ne put m’offrir la goutte à lécher et s’essuya avec une lingette qu’elle jeta dans la petite poubelle à côté de moi. J’allais donc être réduit à l’urinoir de ces dames pendant toute la soirée, du moins le pensais-je. Un petit moment plus tard, une autre dame vint soulager sa vessie sans aucune considération pour le pauvre soumis qui peina fortement pour avaler son « litron » vitesse grand V.


L’HORREUR !


Conduit en laisse par une dominatrice cruelle, un soumis fut obligé d’uriner dans mon entonnoir, invité....... à grands coups de cravache pour qu’il se presse. J’ai cru vomir, j’avais une rage monstre et envie de tout arrêter mais on ne me laissa pas le temps de formuler mes pensés, chose qui plus est, difficile à faire avec un bâillon uro et le tube d’un entonnoir dans la bouche. L’horreur continua quelques minutes plus tard avec une autre Maîtresse qui avait du se retenir depuis le matin avec comme but de me noyer ! Si bien qu’après son départ, ce fut ma vessie qui rendit l’âme dans la couche. Cette nuit là, j’ai réellement servi de toilettes à huit personne qui n’avaient pas plus de considération pour moi que celles que l’on peut avoir pour des vespasiennes. Le comble de l’humiliation à été d’être obligé de soulager ma vessie dans une couche !!!!!!!

Les invités partis, Maîtresse Katia est venue délivrer mes jambes avant de soulager sa vessie en me félicitant. Après m’avoir offert son champagne elle m’a retiré la cagoule et m’a confié son chaton à lécher. Au lieu de se faire juste laper la goutte, elle s’est offerte à ma langue un bon moment avant de se décider à me libérer.

- Vient avec moi, tu as droit à ta récompense mais avant, va te laver les mains et la bouche sans tarder, j’ai envie de toi.


Même avec une couche pleine, j’ai fait du footing jusqu’à la salle de bain. A mon retour au salon, elle était allongée sur le canapé. Un petit coussin posé sur le sol entre ses jambes désignait la place qui m’attendait. J’ai enfin pu savourer sa tendre intimité qu’elle a fort belle et lui donner du plaisir. Et là, elle m’a indiqué que j’avais réussi toutes les épreuves et m’a proposé le collier que je porte aujourd’hui avec fierté.

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