Les histoires érotiques

Mardi 15 janvier 2 15 /01 /Jan 08:51

Piégé et humilié à cause du plus gros site de selfbondage du monde

Rêvant que sa femme le domine, un homme se féminise et fait du selfbondage avec des sextoys et une couche. Piégé suite à une erreur fatale, il sera humilié et va vivre bien plus que ses fantasmes.

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Je me suis fait piéger et humilier à cause du plus gros site de selfbondage du monde. Il y a tellement de vidéos, de photos, d’histoires érotiques et de scénarios en plus du forum sur Fessestivites.com que je n’ai pas pu résister à l’envie d’essayer.

Ci-dessous mon histoire

Ma femme étant partie à Londres pour deux jours, J’ai décidé de réaliser mes fantasmes sur la durée. Comme je n’envisage pas de tromper ma femme même si sexuellement elle est plutôt du style « bloquée », la seule solution est donc de m’amuser tout seul et en cachette. J’avoue que ma timidité et la peur de la perdre sont aussi des freins à l’envie d’aller voir une professionnelle ou ailleurs.

J’ai donc commencé par mettre de la lingerie féminine. Je me lançais comme défi d’aller acheter quelque chose avec des sous-vêtements féminins. A mon retour, c’était la fête à Popaul…. A la suite de quoi, j’ai aussi testé la cage de chasteté. Toutes ces photos et vidéos puis histoires érotiques de Fessestivites m’avaient donné envie de tester pour voir. Je n’ai jamais été capable de tenir plus d’une soirée avec la cage. Je me suis donc commandé un coffre électronique sur ABCplaisir pour parvenir à tenir 36 heures. La première fois que j’ai mis les clés dedans, j’ai plus regardé le compteur que les films....

Grâce à lui, j’ai quand même pu découvrir les sensations de frustrations éprouvées puis les sensations physiques. Je n’ai retirée la cage de chasteté qu’une demi-heure avant l’arrivé de l’avion de ma femme à Orly. Cette demi-heure est le temps qu’il me faut pour aller la chercher. J’ai donc été chaste jusqu’au soir où nous avons fait l’amour. J’ai honte de l’avouer, mais ce soir là, je l’imaginais en Maîtresse m’obligeant à lui lécher le chaton en plus des caresses avant de la prendre. Un goujat oui un peu, mais si elle était moins bloquée, je ne l’aurais pas été.

Au fil du temps et de ses voyages professionnels réguliers, je suis devenu bon client chez ABCplaisir. Je fais tout livrer en poste restante par sécurité, ce serait un véritable drame si elle ouvrait un colis à mon nom avec des sextoys. Rien que d’imaginer sa tête avec un plug et des pinces à sein dans les mains, j’ai peur !

Voir des vidéos et photos de mecs attachés en couche m’a aussi titillé. Je trouve que pour humilier un soumis, lui imposer de se faire dessus dans une couche est le top. Internet est mon ami, car aller acheter des couches dans un magasin était pour moi impossible. Là aussi j’ai testé pour voir. Sans un jeu de contrainte, je ne suis jamais parvenu à faire pipi dans la couche.

Pour parvenir à m’obliger à… j’ai donc fait une ceinture de chaîne à mon pantalon et j’ai mis les clés dans le coffre électronique. Là, je n’ai pas eu d’autres choix que de dire « amen » à ma timidité, ma pudeur, ma gêne aussi ! C’est ma vessie qui a gagné un combat qui fut rude, mais à l’impossible nul n’est tenu. Après deux jeux de ce style, comme j’ai bien aimé les sensations, je mets parfois des couches et une culotte en plastique sans faire de selfbondage. Une fois j’ai bien failli me faire piéger. J’avais jeté la couche dans la poubelle (logique) mais rien dessus pour la cacher. Elle aurait pu la voir quand elle a débarrassé la table. OUF !

La problématique du selfbondage, est que c’est comme une d r o g u e. Quand on y a goûté, on a envie de recommencer, de faire de plus en plus long et compliqué. On a envie d’ajouter des choses pour avoir toujours plus de plaisir. Des fois cela fait un peu mal, mais le fantasme aidant, la douleur n’est rien à côté des plaisirs éprouvés.

Pour corser les difficultés, j’ai commencé par additionner les sextoys et les conditions d’auto libération. Des ice-timer ( blog de glace emprisonnant les clés), j’en ai fait des tonnes en plus du coffre électronique contenant les clés de ma cage de chasteté. Pourquoi en faire plusieurs ?

En fait c’est simple et logique. Un exemple :

- Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient les menottes bloquées au lit.

- Un pour les clés des menottes que j’ai dans le dos

- Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient mes chevilles et qui m’empêche de marcher normalement. Quand on a une cagoule et que les clés du cadenas sont dans le garage, le déplacement est amusant. (Surtout quand on a envie d’aller faire pipi...)

ET, quand on est enfin libre, on va voir le coffre électronique qui affiche encore 12 heures d’attente pour pouvoir récupérer les clés de la cage de chasteté.

Au fil du temps, j’ai aussi ajouté des sextoys vibrants. Une paire d’œufs vibrants dans la couche sont attachés à ma cage de chasteté, des fois j’ajoute un plug vibrant derrière par exemple. Vibrer pendant l’attente cruelle est…. Hummm tout comme pendant que vous rampez comme un vers pour aller chercher des clés. Faire pipi couche attaché avec des trucs qui vibrent de partout est bien bon en terme de sensations, je vous recommande d’essayer.

J’ai joué aussi une fois avec le lavement. J’en fais toujours un avant de me mettre des trucs dans les fesses. J’ai lu une histoire érotique de selfbondage sur un mec qui s’était amusé avec ça. Après mon lavement, j’en ai fait un deuxième que je n’ai pas rejeté avant de mettre une couche et de faire un selfbondage. Si la sensation a été énorme quand j’ai craqué en rampant vers les clés, je n’ai pas aimé le résultat !!!! J’ai lu quelques temps plus tard sur le forum qu’il faut en faire plein avant de jouer comme ça, mais je n’ose plus.

LE DRAME DE LA SEMAINE DERNIERE

- Oui chérie, pas de problème, je serai à Orly au point de rendez-vous habituel. Tu m’envoies un texto en partant de Londres s’il y a un retard !

- Promis chéri, en plus, j’ai une surprise pour toi que j’ai trouvé dans un magasin informatique ! M’a répondu ma femme.

Après cet échange téléphonique, l’envie de profiter de ma dernière nuit et journée de liberté me taraudait. C’était son dernier voyage avant l’été, deux mois sans jouer…. : un de vacances + un où elle rentre tous les soirs puisque en août, il ne se passe rien d’important dans le monde de la finance.

Je voulais, avant cette pause, me faire une grosse compilation de délires. Un œuf vibrant dans les fesses en plus de mon dernier plug, une couche sous des sous-vêtements féminins et des collants et, dans la couche, un petit magic wand à pile qui titillerait ma cage de chasteté. Pour jouer un peu sur la douleur/plaisir, j’ai bloqué des pinces à sein dans le soutien-gorge avant de sortir les blocs de glace. Il était 22h30 quand j’ai arrêté de surfer les vidéos de selfbondage de Fessestivites.

Je ne sais pas si c’est la douleur aux tétons qui est la cause de mon erreur, mais c’est en plaçant les blocs de glace que j’ai « « merdé » » grave !!!!!!! Ne voulant pas tricher, je me suis donc pressé en me disant que la douleur allait s’atténuer.

Ci-dessous mon plan :

- Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à attendre couché dans le salon était accroché à la chaîne du pilier. Une fois fondu, j’allais pouvoir ramper.

- Les clés de mes menottes étaient dans la chambre d’amis. Une fois les mains libres, je pourrai chercher celles du cadenas de ma cagoule que j’avais suspendues au lustre du salon.

- Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à garder les pieds liés étaient dans le garage.

- Le cadenas électronique, (ma dernière acquisition) maintenait la chaîne utilisée en guise de ceinture à mon short. Même libre, j’allais devoir attendre presque mon heure de départ pour pouvoir retirer la couche et prendre une douche.

- Les clés de ma cage de chasteté étaient dans le coffre électronique, il ne s’ouvrirait qu’à l’heure de départ pour aller à l’aéroport.

Le plan était long et compliqué certes mais allait être grisant. Je pensais m’offrir trois heures de délire pour parvenir à me libérer de tout sauf de la couche et de la cage dans la dernière ligne droite c'est-à-dire midi.

Au début, grisant cela l’a été. J’ai du jouir dans ma cage de chasteté tant c’était fort quand j’ai fait pipi dans la couche avec le magic wand qui vibrait contre elle. Les vibrations de l’œuf dans mes fesses en même temps que les contractions sur le plug, sont sûrement la cause de cette jouissance qui m’a terrassé.

Le problème est que les sextoys n’ont pas d’intelligence artificielle ! Les vibrations ne se sont pas arrêtées et les pinces sur mes tétons sont restées en place après ma jouissance titanesque qui a généré des contractions et des spasmes pendant longtemps.

Tout cela commençait à devenir douloureux. J’ai donc envoyé les mains vers le glaçon, il n’avait pas fini de fondre. GRRRR. En me gelant les doigts, j’ai réussi à diminuer son temps de fonte. J’ai galéré un moment pour essayer d’ouvrir le cadenas de la chaîne. Impossible de faire rentrer les clés dans la serrure.

L’HORREUR

Après une heure de vaines tentatives j’ai compris mon erreur. Ce n’étaient pas les clés de ce cadenas. Elles étaient beaucoup trop grosses ! ! ! ! La première chose que j’ai fait, c’est de tirer sur mes entraves comme un malade. Sauf que les chaînes, c’est du solide et à part me faire mal, je ne suis arrivé à rien.

J’en ai pleuré de rage en pensant que tôt ou tard ma femme allait me découvrir attaché, féminisé et en couche avec tous mes délires. Ce fut bien pire !

Je commençais à avoir froid et mes tétons me faisaient payer le fait que cela durait trop longtemps et qu’à chaque mouvement, je les écrasais. Mes tentatives d’auto libération étant vaines, j’ai essayé de trouver une position qui ne soient pas trop inconfortable. Le froid cela donne envie d’uriner, je n’ai jamais autant pissé que cette nuit là. Si je n’ai pas vu le soleil se lever à cause de la cagoule, j’ai bien senti à la température ambiante que l’heure de ma condamnation avançait.

Quand j’ai entendu comme le glas, le bip du cadenas électronique maintenant mon short au dessus de ma couche, j’ai pu savoir l’heure. Il était 11 heures 30. Normalement, à cette heure, j’aurai du être libre, avoir déjeuné et être en train de prendre ma douche. Au lieu de ça, j’attendais couché par terre dans le salon sans rien pouvoir faire d’autre que de maudire ce putain de site fessestivites qui donne trop d’idées et d’envies. J’ai aussi maudit ABCplaisir car leurs menottes sont de trop bonne qualité.

Une bonne heure plus tard, mon téléphone portable a sonné plusieurs fois ainsi que le téléphone fixe. Même si j’avais une cagoule d’isolation BDSM d’ABCplaisir sur la tête, je savais qui s’acharnait ainsi pour me joindre.

……………………… ;

En désespoir de cause, Lisa a contacté son frère qui est un psychiatre aussi fou que ses patients. Pour ma femme, il ne pouvait que m’être arrivé un accident. Le docteur Maboule (c’est le surnom que je lui ai donné) a donc fait sauter sa pause déjeuner pour aller la chercher et la ramener à la maison.

Elle s’est mise à hurler quand elle m’a vu.

Elle s’est précipitée sur moi pour me serrer dans ses bras. (en écrasant mes pinces à sein)

Elle a incendié son frère qui ne faisait rien. (Même à travers la cagoule j’entendait tout)

Elle a essayé de me libérer en vain.

Elle a incendié son frère qui était plié de rire.

Les cris de ma femme se sont arrêtés presque d’un seul coup. Le docteur Maboule parlait et rigolait. Il n’avait trouvé pas très logique que des clés soient accrochées au lustre du salon ainsi que ma tenue un peu particulière. C’est lui qui a testé les clés qu’il avait trouvées sur tous mes cadenas et qui m’a retiré ma cagoule.

Le docteur Maboule a alors expliqué à ma femme ce qu’il m’arrivait réellement. A son cabinet, les patients lui racontent beaucoup de choses. Les explications de cet abruti ont été très médicales version psy démonté par trois boites de valium. J’ai du lui dire où se trouvaient les autres clés pour qu’il puisse me libérer, cette question a été la première dés plus gênantes.

Alors qu’il me libérait et que ma femme pleurait, le docteur Maboule a continué de commenter les fétichismes et mes jeux comme pour la rassurer. Je doute que cela l’ai convaincue mais ce que je peux affirmer c’est que Freud à côté de lui ne devait être qu’un débutant. Tout y est passé ! Mon besoin de me féminiser, cette part de féminité cachée qui .... puis la couche en référence à un soi-disant traumatisme de mon e n f a n c e.

Lisa ne pleurait plus, mais au fur et à mesure des savantes explications, son visage se décomposait. Elle semblait me prendre pour un extraterrestre ou un grand malade bon pour la camisole.

Comment ai-je pu vivre avec lui dix ans et me rendre compte de rien ? Fut une de ses questions récurrentes.

Le docteur Maboule s’est excusé de ne pas pouvoir ouvrir le coffre électronique posé sur le bureau du salon et de ne pas savoir à quoi correspondait les clés qui étaient à l’intérieur. J’étais encore féminisé, en couche assis par terre et très mal à l’aise. J’ai alors répondu « joker » en pensant que cela suffirait.

Lisa ne l’a pas entendu comme ça, elle s’est levée pour venir me secouer comme une malade en criant que je devais tout avouer et qu’au point où elle en était, plus rien ne l’étonnerait dans mes débilités.

- C’est pour ne jamais te tromper ma chérie !

- Tu te fous de ma gueule en plus ? A hurlé Lisa en m’envoyant une gifle d’une puissance que je ne lui connaissais pas.

Le docteur Maboule est intervenu sans tarder pour attraper sa soeur bien décidée à passer ses nerfs sur moi. C’est là que je leur ai annoncé que je portais effectivement une cage de chasteté par amour de ma femme.

Il y a eu un gros blanc et un gros mensonge.

Je lui ai expliqué que j’avais d’énormes envies sexuelles et que, pour ne pas me masturber en son absence, j’enfermais les clés de ma cage de chasteté dans un coffre électronique. Elle y a cru et le docteur Maboule aussi MDR. Il a même ajouté encore une fois sa science sur les besoins sexuels différents des hommes que certains cherchaient à contenir.

Le « frèro Maboule » rassuré nous a laissé régler cette histoire privée et intime (tu parles) pour retourner à son cabinet. je suis sûr qu’il est allé consulter un de ses confrères pour se remettre de cette aventure et qu’il a envie d’essayer tout ça si ce n’est pas déjà fait !

Lise, qui d’habitude est « coincée du cul » a tenu à m’accompagner à la salle de bain. Après dix ans de mariage, dans le couple la pudeur c’est, en principe, envolée. Sauf que là, j’étais très gêné. C’est donc devant ma femme que j’ai retiré le soutien-gorge en premier, ils n’avaient pas vu les pinces à sein. En me voyant souffrir comme jamais, elle a rigolé. Je peux vous affirmer que porter des pinces à sein douze heures, quand on les retire, les yeux coulent même si on n’est pas une mauviette.

Quand j’ai retiré les collants féminins, elle était aussi amusée et n’a pu se retenir de me dire que j’étais très belle comme ça. Lorsque j’ai retiré la couche, elle n’a pas aimé l’odeur mais elle est restée pour voir la cage de chasteté. Et là, elle a découvert les oeufs vibrants et le plug vibrant que j’avais dans les fesses. Son premier geste a été de mettre sa main devant sa bouche en me regardant comme si j’arrivais de la planète Mars.

Lisa m’a ordonné de retirer tout ça puis de me doucher et de rester nu pour aller la rejoindre. Si la douche fut salutaire à mon corps, tout comme un passage aux toilettes, dans ma tête je m’attendais à une demande de divorce ou à une obligation de soins psychiatriques ou les deux. Connaissant ma femme qui est connue pour avoir une main de fer dans les agences bancaires qu’elle dirige, puis aussi un peu à la maison, je ne savais pas à quoi m’attendre mais la discussion à venir ne pouvait pas bien se passer. C’est donc comme un gamin pris en flagrant délit et nu comme un vers que je me suis rendu au salon voir « la commandante ».

- Mets-toi à genoux devant moi ! M’a ordonné Lisa à mon arrivée.

- Pardon ?

- Tu as très bien entendu. Alors si tu ne veux pas que je demande le divorce en expliquant, bien sûr, les motifs à ta famille, il est préférable pour toi de jouer profil bas. Malgré les informations scientifiques de mon frère, il y a un certain nombre de choses que je viens de comprendre toute seule. Tu rêves d’être soumis et que je sois ta Maîtresse. J’aurai du me méfier quand, il y a quelques années, tu m’as parlée de ces fantasmes et délires, quand tu voulais m’attacher pour faire l’amour. En fait, tu voulais me donner envie de le faire sur toi. Vrai ou faux ?

- C’est vrai chérie que j’ai quelques fantasmes.

- QUELQUES ? M’a répondu Lisa en criant ! Alors tu vas tout me raconter de A à Z de ce qu’il t’est arrivé aujourd’hui en détail. Je veux vraiment tout savoir et que tu ne me caches rien.

- C’est très gênant chérie !

- Découvrir avec mon frère, mon mari attaché habillé en femme avec une couche et d’autres bricoles n’est pas gênant pour moi ?

- Si, j’en conviens et je m’excuse chérie. Pardonne-moi s’il te plait.

- Raconte-moi tout et arrête de m’appeler chérie, pour le moment ta chérie elle a envie de te mettre des baffes et de divorcer.

Aux pieds du mur, ou plutôt, ceux de ma femme qui avait l’air aussi aimable que le mur de Berlin en pleine guerre froide, j’ai donc dévoiler presque tous mes fantasmes et petits délires. Je lui ai expliqué que le selfbondage avait été une alternative pour moi, me permettant d’assouvir mes envies sans jamais la tromper comme font souvent d’autres hommes moins respectueux.

- Ah, tu as des informations aussi sur ça en plus de toutes tes idées aussi farfelues les unes que les autres ? Et tu sais ça comment ?

Et « Mer... » j’avais trop parlé. Je lui ai donc parlé de Fessestivites où j’avais vu des annonces de mecs cherchant à jouer en toute discrétion. Elle a voulu voir le site et que je me connecte avec mon pseudo. La première chose qu’elle a regardé ce sont mes messages privés. Comme il n’y en avait pas, elle m’a demandé si je les avais effacés. Ma réponse a été simple et convaincante : « comment aurais-je pu le faire en étant attaché » ?

Lisa a consulté l’historique de mon navigateur, puis demandé de lui faire un thé pendant qu’elle étudiait « tout ça ». Ma demande de me vêtir a été refusée, elle me trouvait bien à poil et se moquait royalement que je sois gêné. A mon retour avec son thé, elle m’a envoyé préparer le repas du soir. En clair, elle voulait surfer en paix.

- Met du champagne au frais ! M’a crié ma femme.

Alors que je mettais les petits plats dans les grands, que j’essayais de faire le meilleur des dînés que je n’avais jamais préparé, j’ai eu l’impression d’être observé. Lorsque je me suis retourné, j’ai vu ma femme appuyée contre le chambranle de la porte en train de fumer une cigarette, chose rare. Son regard amusé m’a à peine rassuré.

- Tu sais chéri, que tu as une femme qui est peut-être prête à écouter tes fantasmes sans les juger ? M’a lancé Lisa comme ça, comme si cette conversation était tout à fait normale avant d’ajouter que le tablier de cuisine mettait bien mes fesses en valeur.

Et là, elle a attrapé le tablier de cuisine et me l’a mis en me disant de nous servir le champagne et de la rejoindre lorsque mon plat serait dans le four. Autant dire que je me suis posé des milliers de questions. Brûlant d’impatience, je n’ai pas tardé à servir le champagne même s’il n’était que 17 heures. Vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur du bureau, elle a attrapé sa flûte en me disant « trinquons à notre nouvelle vie ».

- Bon, par où commencer ? Disons que sur l’ordinateur j’ai compris à tes surfs que tu ne cherchais pas à me tromper. La fonction recherche sur les forums m’a permise de découvrir que, d’après toi, les soumis avaient beaucoup de chance d’être malmenés par leurs Maîtresses. Que les Keyholder, mot nouveau pour moi, étaient considérées comme des reines et que tu en rêves. A partir de ce soir, je vais donc être une reine à tes yeux et garder les clés de ta cage de chasteté.

- Chérie, tu sais, entre les écrits fantasmagoriques et la réalité, les internautes écrivent...

- Ne me coupe pas la parole. Ce que je n’ai pas aimé lire DU TOUT, c’est que tu estimes que je suis une femme coincée et en plus, tu oses le dire à tout le monde sur ce putain de site ! Nonobstant le respect que tu me dois et la discrétion qui sied à mes fonctions professionnelles, tu oses également me décrire physiquement dans une de tes histoires érotiques en indiquant « ma banquière » est sévère. Ah tu rêves que je sois sévère, cela ne va pas être un problème, nous allons commencer par un mois de chasteté.

- Chérie, un mois c’est énorme, je ne tiendrai jamais !

- Mais si, il y en a qui sont chastes bien plus longtemps. Va me chercher tous tes jouets, j’ai bien dit tous, si tu en oublies ne serait-ce qu’un et que je le découvre, ce sera deux mois de chasteté. File !

Toujours à poil, hormis le tablier de cuisine, je suis donc parti chercher mes accessoires bricolés, mes sextoys et mes couches puis ma culotte en plastique avec les deux autres paires de collants. Dans ma tête c’était Hiroshima.

- Il manque le soutien-gorge ! A crié ma femme quand j’ai tout posé par terre.

- Il est dans le panier à linge ! Me suis-je excusé.

- Ma flûte de champagne est vide, est-ce normal ?

- Non chérie, je vais de suite en chercher.

A mon retour, Lisa m’attendait toujours vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur sans culotte et jambes écartées. Elle testait le petit magic wand et semblait le trouver à son goût. Mon coeur s’est emballé y compris dans ma cage de chasteté !

- Mais c’est bon ce truc ! Pourquoi ne m’en as tu pas parlé ?

- Je n’ai pas osé !

- Tu voulais le garder pour toi avoue ! Allez, fait-toi pardonner, j’ai envie de ta langue là ! M’a indiqué ma femme en désignant son intimité.

Jamais je n’aurai cru ma femme capable de cette attitude. Je la croyais coincée et là, elle se masturbais sous mes yeux. D’un claquement de doigts, elle a réitéré son ordre de lécher son intimité. Je me suis donc agenouillé pour oeuvrer comme demandé, en étant très gêné même si j’avais rêvé de cette situation. J’avais mon sexe sous cage de chasteté et ma langue jouait les phallus pendant que juste sous mes yeux, elle titillait son clitoris avec le magic wand massager.

Lisa a pris un pied d’enfer en plaquant ma tête contre son intimité chahutée et parfumée par son excitation qui me semblait démesurée. Comment se pouvait-il qu’elle s’éclate alors que pour moi, notre couple était sur la sellette. J’avais souvent rêvé de cette situation et là, elle ne me faisait rien, je n’avais aucune excitation.

- Humm, c’était bien bon, va me faire couler un bain, j’ai vraiment besoin de me détendre. Ensuite tu mettras la table avec des bougies. Nous allons fêter notre nouvelle vie.

EPILOGUE

Lisa est devenue gynarchiste, elle m’aime toujours autant mais autrement. Personne ne sait rien de notre vie, extérieurement, rien n’est affiché. Elle n’a pas souhaité que je l’appelle Maîtresse. Je suis sous cage de chasteté 24/24 sauf pendant les vacances ou quand Madame a des envies. Le côté ABDL ne la branche pas du tout, sauf la nuit.

Il faut que je vous parle de mes nuits !

Quand Madame a des envies, soit elle se fait brouter le minou ou me laisse la prendre, c’est aléatoire. Par contre, nous faisons chambre à part à cause de mes ronflements. Elle a instauré un rituel que nous fassions câlin ou pas. Tous les soirs sans exception, je dois aller me coucher dans la chambre d’amis où les entraves sont installées à demeure. Je dois me mettre en couche et m’entraver pour la nuit. C’est Lisa qui vient me libérer ou, le week-end, qui pose le cadenas électronique en calant l’heure de son petit déjeuner au lit.

Moi je vous le dis, nos femmes ne sont pas aussi prudes que nous le pensons !

TSM

NOTE DE L’AUTEUR

Ce récit est une oeuvre de pure fiction. Par conséquent toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

Scénario et idée de selfbondage

500 vidéos de selfbondage

Rencontres BDSM

Forum selfbondage

Matériel de selfbondage

Par abcplaisir - Publié dans : Les histoires érotiques - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Lundi 27 août 1 27 /08 /Août 17:07

Un nouveau site d’histoires érotiques avec du hard vient de voir le jour.

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De qualité mais souvent très Hard ou sans consentement, ces histoires érotiques et romans de plaisirs interdits sont OBLIGATOIREMENT réservées aux adultes avertis.

Si vous téléchargez des histoire de la zone rouge, attention, c’est vraiment Hard et EXTREME tout en étant réaliste. Vous êtes prévenus.

HARD MAIS DE QUALITE

L’écriture est soignée, agréable à lire et coule sous les yeux. Vous n’aurez pas les yeux brûlé par un orthographe défaillante. Il n’y a pas non plus de langage SMS, d’abréviation, c’est du vrai français.

LES SUJETS DES HISTOIRES EROTIQUES

Les histoires érotiques de plaisirs interdits sont classées par thème. On y trouve du BDSM, de la fessée, du selfondage, des textes gays et de l’ABDL. Il y a une rubrique extrême mais réaliste où on y trouve du sans consentement et du v i o l.

LES BESOINS DE DISCRETION DES INTERNAUTES

Les besoins de discrétion des internautes sont pris en compte car certains pourraient hésiter à avoir ce type de lecture sur leur ordinateur. Plaisirs interdits a pensé à vous.

1)° Une fois que vous avez acheté une histoire, vous pouvez la lire x fois quand vous voulez et vous n'êtes pas obligé de l'enregistrer sur votre PC.

2°) Même les banques ne peuvent pas savoir que vous achetez un ou des histoires érotiques HARD.

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Si vous aimez les histoires érotiques de qualité, complètes, soignées, avec du sans consentement et du hard, vous allez être servi sur Plaisirs-interdits.com

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Par abcplaisir - Publié dans : Les histoires érotiques - Communauté : Shibari bondage BDSM
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Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 11:04

Mon Maître m’a piégée pour m’apprendre l’uro


J’ai 40 ans, je suis très soumise, j’aime l’humiliation, le sexe sur commande et être sa chose. Il y a un deux mois environs, un matin il m’a appelée en m’ordonnant de me mettre à quatre pattes pour le rejoindre aux toilettes. J’ai immédiatement pensé que j’avais fait une bêtise et m’attendais à me faire punir. Au lieu de ça, quand je suis arrivée aux toilettes comme demandé il était assis sur les WC et m’a ordonnée de lécher la goutte. J’ai refusé, il insisté en me promettant une sévère punition si je ne m’exécutait pas en me disant que ce n’était qu’une goutte et que je n’allais pas faire de cinéma pour si peu.

Ecœurée et furieuse je me suis donc avancée et pris son sexe dans ma bouche. J’ai cru vomir mais je l’ai fait. Quand il m’a demandé comme c’était, j’ai répondu que c’était dégueulasse et très salé. Il m’a traitée de menteuse en me promettant une punition, avant de me conduire par les cheveux au salon en me guidant sur le canapé, où il voulait m’installer sur l’accoudoir pour être fessée au paddle. Les larmes aux yeux, j’ai fini par céder en lui disant qu’il était injuste. En guise de réponse, il m’a répondue que j’aggravais mon cas avant de m’expliquer.

- Après avoir fait pipi, je suis allé me laver ! Je suis retourné m’asseoir sur les toilettes avec ma bite savonnée et rincée, elle était donc propre. D’habitude tu l’aimes ma bite mais là tu avais décidé qu’elle serait dégueulasse. Tu m’as donc menti.

Le ciel m’est tombé sur la tête, je ne savais pas quoi dire. Il a voulu que je m’excuse et m’a demandé combien de coups de paddle méritait mon mensonge. Sachant comment il fonctionne, j’ai répondu 4 comme les quatre lettres du mot « pipi » en espérant qu’il s’en tiendrait là sans trop y croire quand même. Il m’a particulièrement surprise quand il m’a dit « d’accord » en rajoutant qu’il était clément parce qu’il m’avait piégée. Il n’a pas été trop sévère lors de cette fessée car le paddle me démonte les fesses à chaque fois. Là je n’ai même pas eu de marque. Il m’a ensuite prise dans ses bras et fait un gros câlin. Pour me faire pardonner, je me suis glissée entre ses jambes pour lui faire une gâterie comme il aime.

La goutte, je m’y suis mise finalement sans presque m’en rendre compte car il m’a refait le coup plusieurs fois, ce qui m’a permis de découvrir que ce n’est pas si mauvais que ça. Au fil du temps, il est allé plus loin dans sa domination avec ce type d’humiliation. Un soir, après m’avoir fouettée pour le plaisir en enroulé comme j’aime, il m’a prise sauvagement et conduite au plaisir divin. A la site de quoi, il m’a emmenée à la salle de bain puis obligée à m’étendre dans la baignoire avant de m’uriner dessus. C’était chaud, c’était bon, j’étais sa chose et là, j’ai pris la goutte et même un peu plus sans même qu’il me le demande. Sa réaction m’a surprise car, il n’a pas voulu que je me lave la bouche et m’a embrassée comme ça. Après son baiser fougueux, il m’a expliquée qu’il assumait totalement ce qu’il m’imposait. Non pas qu’il soit attiré par ça, mais pour m’accompagner où il désire m’emmener : l’abandon total. Et pour finir, il m’a lavée avec beaucoup de douceur en m’indiquant qu’il était fier de moi. J’étais sur un nuage !

La semaine suivante, il est arrivé me prendre et à uriner en moi dans la salle de bain, j’ai cru défaillir de plaisir. Le soir même, il m’a indiquée avoir bu beaucoup d’eau pour que son champagne doré soit bon en me laissant le choix d’essayer de le boire libre ou attachée. Je lui ai demandé de me faire un peu de fouet avant, pour m’aider à me mettre « dedans » puis de m’attacher. Il a été très doux au fouet, je voyais bien qu’il faisait tout pour m’allumer me rendre folle. Je me suis retrouvée à genoux contre lui avec les mains menottées bloquées derrière ses jambes. Quand il a sorti son sexe, je l’ai pris en bouche mais il ne se passait rien. Il a continué de me fouetter en appuyant ses coups un peu plus fort. Accrochée à ses jambes, j’en arrivais presque à oublier ce qu’il avait prévu quand un premier jet est arrivé. Attachée et accrochée à lui en même temps qu’il me fouettait, j’ai réussi à le boire sans souci. C’était chaud et presque sans goût. Cela a duré longtemps, car il y allait par toute petite dose, en continuant de me fouetter, tout en tenant ma tête plaquée contre lui par les cheveux.

Quand il a eu terminé de vider sa vessie, il m’a libérée et embrassée avant de me conduire sur le lit, en m’indiquant qu’il y avait une surprise sous l’oreiller et que je pouvais l’attraper. Il avait acheté un magic wand massager et l’avait branché pour que je le teste. C’était ma récompense ! Et là, il a pris sa chienne en levrette façon doggy en lui accordant le droit de jouer avec son nouveau jouet. Il a presque été obligé de me réanimer tant je suis partie loin.....

Depuis je n’ai plus besoin d’être attachée pour le boire même si je préfère me sentir contrainte.

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Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 10:06

Suspension ABDL autobondage

Suspension_ABDL_auto_bondage.jpg

Cela faisait longtemps que je fantasmais à l’idée d’un selfbondage associant couches et suspension. J’ai trouvé le moyen de ressembler à une marionnette entravée ! RIRE

Le plan :

1°) Ice-timer :

Suspendu à la poutre du garage avec les clés accrochées par 2 ficelles par sécurité. Un long bout de ficelle dépassait du glaçon emprisonnant les clés pour que je puisse l’attacher à la poutre. Les clés des menottes resteraient suspendues devant moi, je n’aurai qu’à saisir la ficelle pour les attr a p e r.

2°) Suspension par l’entrejambe

Deux chaines accrochées en U. Pour que les chaines ne soient pas blessantes, j’ai ajouté de l’isolant à tuyau là où j’allais m’asseoir. Asseoir entre guillemet car s’asseoir sur deux chaines tendues n’est pas réellement une position assise.

3°) Sécurité anti chute

Pour être sûr de ne pas tomber quand je serai suspendu debout par l’entrejambe, j’ai ajouté une ceinture que j’ai fixée aux chaînes afin qu’elle ne glisse pas. Cette ceinture m’enserrerait au niveau de la poitrine dans les chaînes donc chute en avant ou en arrière impossible.

Le point 2 et 3 donne un peu l’impression d’un harnais pour personne qui travaille en hauteur sauf que le mec qui lave par exemple les vitres des immeubles n’a pas une ceinture qui bloque ses chevilles.

4°) fixation des menottes.

J’ai fixé les menottes à une des chaines avec un cadenas. Placée en hauteur, je ne pourrai qu’attendre la fonte de la glace pour retirer mes pinces à seins.

RÉSUMÉ DE MON SCÉNARIO

Tout était prêt, je m’étais mis un joli plug maintenu par une ficelle me faisant comme un string, puis deux couches pour les fuites bien sur mais aussi pour diminuer la douleur entre les jambes car être suspendu par là une paire d’heure pouvait rapidement devenir douloureux.

J’étais tranquille en termes de sécurité car j’avais mis sur la table de la cuisine un papier indiquant que j’avais besoin d’aide pour que ma femme me découvrire si mon plan foirait.

A la dernière minute, j’ai sorti le ice-timer que j’ai attaché à la poutre à côté des chaînes puis j’ai retiré l’échelle. J’étais excité comme une puce, alors quand j’ai choisi les pinces à sein, je n’ai pas pris les plus gentilles en prenant celles lestées par des poids. Hummm mais un peu aie aie aussi, mais je n’y ai pas pris garde. Je me suis mis un bâillon bien serré j’ai pris la ceinture pour les chevilles et je suis monté sur le tabouret pour enjamber les chaînes sur lesquelles je me suis assis avec beaucoup de précaution pour bien les placer sur la couche avec mes précieuses au centre.

Quand j’ai voulu bloquer mes chevilles, j’ai bien failli tomber la tête en avant. OUF loupé, enfin sauvé. J’ai donc bloqué mon buste dans les chaînes avec la ceinture pour ma sécurité puis, en relevant les jambes je suis parvenu tant bien que mal à bloquer mes chevilles. Après un dernier ajustement des chaînes entre mes jambes puis un dernier coup d’œil de contrôle des risques et danger possibles, j’ai poussé le tabouret avant de bloquer mes mains dans les menottes fixées en hauteur. Comme toujours, j’ai testé la fiabilité de mon dispositif.

Il s’est avéré fiable et efficace mais finalement pas très confortable. Fermer les yeux pour me replonger dans mes fantasmes et délires s’est avéré une priorité. La première goûte d’eau tombant du ice-timer m’a fait peur. Oui, je sais c’est idiot mais j’avais complètement zappé que l’eau glacée allait me tomber dessus. En fait, j’étais tellement concentré sur la sécurité et le confort de mon entrejambe que j’ai fait une erreur de débutant.

Pour éviter les gouttes d’eau glacée, j’ai essayé de me pencher en avant le plus possible, sauf que les pinces lestées accrochées à mes tétons se sont mises à balancer et que les protections isolantes fixées aux chaînes passant entre mes jambes écrasaient un peu mes testicules. J’ai donc basculé mon corps vers l’arrière mais la goûte suivante est gentiment tombée sur ma poitrine avant de couler sur mon ventre. Brrr, c’était froid. Le regard fixé sur le ice-timer me semblant après coup trop gros, j’ai essayé de ruser pour éviter les goûtes glacées. Le problème était qu’en me balançant pour les éviter, les pinces lestées accrochées à mes tétons profitaient également de mes mouvements. De fait, mes neurones ne se concentraient plus sur le plaisir généré par l’auto bondage mais sur les douleurs et les goûtes froides. Je me suis détesté !

La position que j’ai finie par adopter était penchée en arrière mais tête penchée en avant. Les goûtes tombant sur le devant de mon crâne me semblaient moins froides. Mon esprit commençait à oublier les goûtes et mes neurones coquines s’enflammèrent. Un couple dominateur m’avait entravé dans mon garage pour me punir de ne pas avoir pu résister à l’envie d’uriner après des heures de SM. Puis, histoire de s’amuser, avait invité quelques amis, j’étais l’attraction. Pour s’amuser ils accrochaient des trucs à mes tétons ou me faisait boire histoire de tester l’efficacité de la couche… En clair des délires fantasmagoriques d’un mec en self bondage qui divague en attendant sa libération.

Au bout d’un moment, cette position est devenue inconfortable et quand j’ai voulu soulager mon dos, les chaînes se sont insérées entre mes fesses comme un string malgré la couche et se sont resserrées sur mon sexe. De fait, le plug m’empalait profondément et mon service trois pièces commença à réagir sous la pression. Le Popaul se mit au garde-à-vous mon délire s’orienta sur une pseudo sodomie. Sauf que mes tétons ne voulant plus jouer se rebellèrent un peu. La compil des sensations anales et la pressions sur mon sexe me permirent de transcender un peu la douleur mais les goûtes castraient un peu les fantasmes. L’envie d’uriner est venue, je me suis laissé aller dans la couche prévue à cet effet sauf que compressée et malmenée la dite protection ne fut pas très efficace. L’urine se mit à couler sur ma jambe ce qui me permit de constater qu’en bougeant, j’ai fait craquer les bandes adhésives. Hormis bouger légèrement le bassin pour m’auto empaler plus rien ne pouvait me permettre de m’évader psychologiquement. C’est en m’auto empalant que j’ai attendu que le ice-timer libère les clés. J’étais épuisé, en sueur et j’aurai bien aimé faire une pause, mais la seule façon d’essayer d’oublier les pinces à seins lestées était de poursuivre. Je devais ressembler à une chatte en chaleur qui se frotte….

Lorsque les clés sont tombées devant mon visage, j’ai pu en un rien de temps libérer mes mains puis mes tétons. OUAOUFFFF ! Pour atténuer la douleur générée par l’afflux s a n g uin trop rapide j’ai plongé ma main dans la couche pour me branler. Non pas que je voulais jouir mais pour m’aider à transcender la douleur. La chose étant commencée,….. mes neurones réellement très embrumés m’ont presque f o r c é à aller jusqu’au bout. Lorsque la jouissance est arrivée, tout mon corps s’est mis à convulser. J’ai cru absorber le plug tant mon anus pris de spasmes s’ouvrait et se fermait. C’était titanesque et si je n’avais pas mis la ceinture autour de mon buste, je serais tombé.

Suspendu dans mon garage je n’irai pas jusqu’à dire que j’étais inanimé mais presque. Vidé de toute énergie, je suis resté un moment ainsi peut-être ai-je un peu dormi mais j’étais comme d r o g u é. Les mouvements pour me libérer totalement furent délicats, la couche explosée ne protégeait plus rien mais je suis parvenu sans trop souffrir à remettre les pieds sur terre.

Ecrivaillon

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Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 09:05

Nurse Nanou a monté sa crèche ABDL

Nurse_Nanou_a_monte_sa_creche_ABDL.jpg

Résumé : Une histoire de Nurse, de crèche avec des menottes déclenchant une belle histoire d’Amour.

Ex épouse d’un ABDL, Nanou pleure sur son sort. La vie ne lui a pas permis de réaliser ses rêves de maman, l’amour de sa vie l’a quittée d’une longue et pénible maladie. Si au départ elle acceptait difficilement les fantasmes et fétichismes avoués de son époux, pendant sa maladie Nanou s’y est investie par amour. Au départ, ce n’était que pour lui faire plaisir, l’accompagner vers la fin qu’elle devinait en lui donnant du bonheur. Au fil du temps, elle prit goût à le dorloter, à le changer, à lui donner le sein et même à le gronder quand il ne prenait pas ses médicaments.

Sa triste maladie évoluant, elle a accédé à tous ses fantasmes et même fait un peu de BDSM, elle qui ne rêvait que de douceur. Oh il n’était pas très méchant ce BDSM, elle l’attachait un peu, lui mettait quelques petites fessées et prenait les choses en main quand il manquait d’énergie sous la couette. Et puis ce fut la fin et une longue période de deuil. Avant de partir, il lui avait fait promettre de refaire sa vie, elle avait promis parce que dans ces moments de désespoir on accepte bien des choses.

En regardant sa messagerie, un instant de curiosité la conduite sur Abkingdom, où elle découvre qu’il y a de nombreux MP. En suivant de fil de la discussion de son mari avec Paul34, elle découvre qu’ils échangeaient sur de nombreux sujets et que Paul essayait de soutenir son chéri dans sa si terrible épreuve. Ils semblaient très amis et c’étaient même rencontrés dans un salon du bâtiment et allaient prendre parfois un verre ensembles. Depuis le décès d’Henri, Paul avait adressé de nombreux messages de soutien à Nanou et lui avait proposé de l’aide plusieurs fois. Le dernier message la toucha énormément.

.................................................

Madame,

La perte d’un être cher est une épreuve bien difficile. J’étais présent et discret lors de la mise en terre de votre époux qui était un homme formidable. Il m’a informé de tout ce que vous avez fait pour lui dans sa dernière ligne droite, vous avez été une femme formidable. Si je peux vous aider en quoi que ce soit, n’hésitez pas à me contacter au 06 ....... Cela peut être pour monter une bouteille de gaz, arranger une prise, dépanner votre vieille Peugeot 605 si besoin ou bien d’autres choses. Comme nous demeurons l’un l’autre à deux pattés de maison, j’ai osé une fois vous laisser une carte de visite dans la boite à lettre, ma timidité ne m’ayant pas permis de sonner.

Sachez que je suis veuf et ne vous drague pas, cela serait ignoble de ma part !

Une femme de votre qualité et de votre générosité d’âme mérite de l’aide, vous aider est mon seul but. J’ai beaucoup de temps de libre, mes week-ends sont longs, venir faire la vidange de la voiture de mon ami Henri serait un loisir pour moi et un coup de pouce en souvenir du bon vieux temps.

Je ne vous écrirai plus et ne mettrai plus de carte de visite dans votre boite à lettre par respect car vous désirez peut-être tourner la page.

Chère Nanou, je vous prie d’agréer mes plus respectueuses et sincères salutations.

Paul

.........................................................

Très touchée par ce message, Nanou pleure à chaudes larmes et ferme rapidement l’ordinateur. Deux jours plus tard, elle se reconnecte pour prendre le numéro de téléphone de Paul. Son coeur la pousse à rencontrer cet ami de son mari qu’elle ne connaissait pas. L’entretien téléphonique fut aussi difficile que délicat, tout comme de convenir d’un rendez-vous. C’est elle qui fit le premier pas en l’invitant à prendre un café le dimanche après-midi.

La rencontre fut tendue et sur un fond de tristesse mais il se passa quelque chose en eux. Paul ayant des mains d’or, il lui proposa de réparer le robinet de la cuisine qui fuyait. Il avait tout ce qu’il faut chez lui, une heure plus tard, le problème était réglé. Il est difficile d’imaginer qu’il puisse y avoir un transfert d’amitié, c’est pourtant ce qu’il se passa lors de ce premier contact. Pour le remercie de son aide et de sa gentillesse, elle l’invita à prendre l’apéritif puis à dîner tant leurs échanges étaient riches et sereins en cette fin de journée.

Un mois plus tard, lors d’un déjeuner offert par Nanou en remerciement du détartrage de son chauffe-eau, elle s’ouvrit à lui sur ses problèmes financiers. Elle ne voulait pas quitter leur maison mais n’arrivait pas à équilibrer ses comptes. Trouver un emploi à 45 ans sans aucun diplôme n’est pas aisé. Paul lui lança l’idée de monter une nurserie et de donner du bonheur à d’autres ABDL qui, comme lui, ne partagent pas leur fétichisme avec leurs épouses ou sont célibataires. Elle s’offusqua et lui répondit qu’elle n’était pas une prostituée, il dut lui expliquer que ce n’était pas du tout l’idée développée. Il fit le parallèle avec une infirmière libérale qui vient faire des toilettes et un particulier qui loue une chambre d’hôte. Ni l’un ni l’autre ne font de la prostitution. Ils louent un service et ne couchent pas avec le client ou le patient.

Cette idée fit son chemin, grandement aidée par un huissier de justice venu déposer un avis de saisie. Paul la soutient dans cette nouvelle épreuve, l’aide à négocier avec le créancier et lui avance 500 euros pour sortir de l’ornière, au moins provisoirement. Il l’aide à se déclarer en tant qu’auto entrepreneur et à s’organiser un peu sur ce qu’elle pourrait proposer pour essayer d’arrondir ses fins de mois. Le fait d’être déclarée rassure Nanou, c’est quelque chose d’officiel.

Dans un premier temps, elle ne fera que du baby-sitting pour adulte de 5 à 7, changement de couche, distribution d’un petit goûter. Il sera là pour la rassurer et la sécuriser les premières fois. Lors du passage du premier client, un AB adorable, elle constate qu’il lui manque beaucoup de matériel et d’accessoires pour que les rêves des ABDL puissent se réaliser. Lorsqu’il lui propose de l’aider financièrement, elle refuse n’ayant pas encore pu commencer à le rembourser. Paul lui fait part d’une idée originale qui la laisse sans voix !

- Nanou, je suis aussi un ABDL, ne l’oubliez pas, et si j’étais votre client, cela vous aiderait.

- Il est hors de question que tu me payes quoi que ce soit. Si je m’en sors un jour, cela sera grâce à toi qui m’aide tant.

- Je n’ai pas dit que je te payerai !

- A quoi penses-tu ?

- J’achète un body par exemple, tu me reçois comme un client, tu me changes, tu me mets le body puis me fait goûter et je repars comme un client, sauf que, je garde le boy sous mes vêtements en partant et que je te le ramène propre deux jours plus tard. Ce body sera alors à toi. J’aurai eu ma part de rêve avec l’accessoire qui me plait et toi tu auras gagné un body. Je ne t’aurai pas payée et en plus, si j’ai envie que tu me le prêtes, tu me le prêteras sans souci,

- C’est gentils mais ce n’est pas un body qui va changer grand chose. Je suis allée voir sur le net, les nurseries ont un matériel de folie.

- Je suis un bon bricoleur, et j’ai aussi beaucoup d’envies. Si je ne me suis pas acheté ou fabriqué du matériel c’est parce que seul chez moi, cela n’avait pas grand intérêt. Là, je vais m’éclater à fabriquer des choses, ensuite à les essayer tout en te rendant service. Elle n’est pas belle la vie ?

Nanou accepta la proposition de Paul, et pour le remercier de toute cette gentillesse lui ordonna de se coucher sur son canapé pour qu’elle lui mette une couche. Pris au dépourvu, il perdit toute sa superbe et devint rouge pivoine de honte.

- Allez, arrête de chipoter et montre tes fesses que je te lange pour la nuit ou tu vas prendre une fessée !

Paul n’en mena pas large, c’était la première fois que quelqu’un lui mettait une couche. Il ne demanda pas son reste et quitta les lieux sans trop tarder sous les yeux amusés de Nanou retrouvant toute son énergie.

...................

Rusé, Paul contacta ABCplaisir.com pour savoir s’il pouvait avoir une remise pour grosse quantité en produit ABDL. La réponse ne tarda pas. Oui si la commande est supérieure à 400 euros, non si c’est pour acheter une tétine et une culotte en plastique ou trois couches Crinklz. Par contre, si vous avez des projets de créations de donjon, crèches ou de grandes rencontres, n’hésitez pas à nous en parler, nous pouvons vous aider.

L’échange d’email ne dura pas avec ABCplaisir, Paul proposa d’en parler par téléphone. Devant de nombre de fantasmeurs faisant perdre du temps pour rien aux boutiques, la chose étant rare, le webmaster le contacta sans tarder. Informé du projet et de leur histoire, il décida de jouer le jeu. C’est ainsi que trois jours plus tard, Paul prit un rendez-vous chez Nurse Nanou en lui laissant entendre qu’il y aurait des surprises !

Il arriva chez elle le vendredi soir avec une gros carton ! Nanou très étonnée ouvrit grands les yeux en lui demandant ce qu’il se passait !

- Je t’avais dit que j’avais beaucoup d’envies, alors je me suis fait plaisir ! Si tu me sers un café avant d’ouvrir le carton, je ne pleure pas promis ! Dit Paul en rigolant.

Assis sur le canapé, il se délecta des mimiques de sa nurse, elle réagissait comme une gamine dans un magasin de jouet. La grenouillère cadenassable l’amusa beaucoup, tout comme les multiples culottes en plastique de couleur différente. Elle tiqua un peu quand elle ouvrit la boite deux paires de menottes et lui demanda qu’elle était le but de ce truc !

- C’est pour quand tu as de vilains bébés, une fois menottés ils sont tout simplement obligés d’être sages.

- C’est dans tes fantasmes d’être attaché ?

- Oui, j’adore me sentir obligé, je l’avoue ! Répondit Paul soudain très gêné.

- Et bien puisque tu es un gros vilain qui a fait des folies, tu vas être puni !

Attrapé par l’oreille, Paul fut invité à se mettre debout et à lui tendre ses poignets sur lesquels elle posa une des paires de menottes. Déculotté et rouge comme une pivoine, il la regarda s’asseoir sur le canapé sans comprendre. Tiré sur ses genoux, il comprit rapidement où elle voulait en venir. La fessée ne fut pas bien méchante, la peau des fesses du vilain bébé était à peine rose mais elle enflamma sa libido.

- Voilà ce que je fais aux garnements comme toi. Je vais reprendre ton éducation à zéro, tu as intérêt à être sage si tu ne veux pas en prendre d’autres.

Prestement redressé, il fut libéré et mis nu comme un vers. Le pauvre Paul ne savait plus où se mettre tant il était gêné.

- Tout ce matériel n’a pas été acheté pour rien ! Il va servir. Allonge-toi que je m’occupe de tes fesses autrement.

Jambes relevées comme un bébé, il n’osa même pas la regarder quand elle lui posa une grosse couche et un insert avant de lui poser une des culottes en plastique. Paul avait aussi pris deux bodys, elle lui enfila le modèle blanc avant de le coucher à nouveau sur le canapé pour le refermer entre ses jambes. Nanou étant très joueuse et taquine une fois lancée dans ses délires, elle lui imposa le grenouillère cadenassable qu’elle verrouilla aussitôt.

- Ah tu aimes te sentir obligé, tu vas être servi vilain ! Lève-toi et vient t’asseoir à table, c’est l’heure de goûter.

A peine assis, elle lui posa une paire de menottes à chaque poignet qu’elle fixa à la chaise avant de lui coller une serviette de bain autour du cou en guise de bavoir. De son frigidaire, elle sortit une magnifique tarte aux fraises maison dont elle coupa une grosse part.

- Regarde, je l’ai faite pour toi. Alors bébé va tout manger comme un grand s’il ne veut pas une seconde fessée.

- Tu peux pas, j’ai une couche.

- Sur les cuisses, la fessée c’est bien aussi. Tu veux essayer ?

- Non, non, merci ! Répondit Paul soudain moins fier.

La tarte terminée, elle lui imposa de boire deux biberons d’eau, n’ayant pas encore de grand modèle. Il peina pour terminer le second mais quand Nanou décide...... A la suite de quoi, elle lui colla la tétine pour adule trouvée dans le carton en lui ordonnant de la garder et d’être sage. Elle alluma la télévision et le planta là pour aller surfer. Une heure plus tard, l’envie d’uriner pointa son nez. Le problème de Paul fut que chez lui ou dans la rue, cela ne posait pas de problème mais devant Nanou...... La séance initiale est de 5 à 7, Nanou trop heureuse de tous ses cadeaux, oublia comme par inadvertance de consulter sa montre. Si bien que vers 19 heures 30, Paul était toujours menotté sur sa chaise et devant la télé quand un parfum de cuisine Provençale vint chatouiller ses narines.

Que mijotait Nanou ? Là c’est une question à double sens.

C’est aux alentours des 20 heures qu’il eut la réponse à cette question en la voyant arriver avec une grosse marmite fumante et un sourire coquin posé sur les lèvres. Elle fit deux voyages supplémentaires entre sa cuisine et le salon faisant aussi office de salle à manger pour dresser la table.

- Ce soir mon gros bébé, tu es invité à dîner par ta nounou. J’ai préparé une daube Provençale qui mijote depuis hier soir. On va se régaler. Comme tu as des problèmes pour manger les gros morceaux, ne t’inquiètes pas, je te les couperai tout petit et te les mélangerai dans la purée. Mon idée était de te faire un tuperware mais j’ai changé d’avis. Nous allons dîner et m’occuperai encore de toi après manger car j’ai aussi une surprise pour toi.

Paul était à la fois gêné et aux anges, bien que le côté AB poussé ne l’amusait pas vraiment. Il joua le jeu et apprécia la daube digne d’un grand chef référencé au guide Michelin tout en regrettant fortement d’avoir un biberon d’eau en guise de vin rouge.

- Est-ce que quelqu’un t’attend ce soir ? Demanda Nanou à la fin du repas.

- Non, personne hélas ne m’attend depuis 9 ans demain. Répondit Paul d’une voix triste.

- Alors c’est à mon tour de te faire une surprise. Tu vas rester ici cette nuit, je t’ai préparé une chambre particulière. J’aimerai que tu me fasses confiance et que tu ne me poses pas de question. Tu ne le regretteras pas, promis.

Paul acquiesça d’un simple geste de la tête, aucun son ne pouvant sortir de sa gorge serrée. Nanou le libéra enfin des menottes pour lui retirer la grenouillère et le changer. Elle lui remis un change complet et un insert après lui avoir fait une toilette avec du lait de bébé. Le body fermé, la grenouillère lui fut enfilée sans toutefois être cadenassée. Elle le fit asseoir et lui fit un gros gâté en le prenant dans ses bras comme le ferait une maman. Il n’y eut aucun geste déplacé de l’un et de l’autre, juste une grande tendresse et des regards chargés d’affection.

- Maintenant je vais te faire la suite de ta surprise, s’il te plait, laisse-moi faire et ne me pose pas de question.

Paul fit « oui » d’un simple geste de la tête mais fut grandement étonné qu’elle lui pose un bandeau sur les yeux. Invité à se lever, il fut guidé dans l’immense appartement vers une chambre médicalisée attenante à celle de Nanou. Il se laissa guider pour être couché sur le lit avant d’être entravé par des sangles Segufix. Elle lui retira son bandeau en lui demandant de garder les yeux fermés avant de refermer sur son front une sangle maintenant la tête.

- Tu peux ouvrir les yeux maintenant gros bébé, j’ai quelque chose d’important à te dire.

Paul prit conscience de la situation en un instant mais découvrit aussi les yeux larmoyants de Nanou.

- Voilà, je t’explique ! Dit-elle en contenant des sanglots dans sa gorge. A la fin, Henri délirait, arrachait ses vêtements, ses couches, se blessait ou tombait du lit. Dans le cadre du maintient à domicile des personnes en fin de vie, l’assurance à financé cette chambre et le matériel. J’étais obligée de l’attacher la nuit car pour dormir je prends des somnifères. Ce qui fait que quand il entrait en crise je ne l’entendait pas ou trop tard. J’ai essayé de m’en passer mais le médecin m’a indiqué que si je ne me protégeais pas, il ferait hospitaliser mon mari.

Aujourd’hui, ce matériel ne me sert à rien, tu m’as indiqué aimer être attaché, contraint ou obligé. J’ai lu deux de tes histoires érotiques sur le site. A la fin de chaque histoire tu as indiqué quelles étaient fictives mais que ce serait un rêve pour toi de vivre cette expérience au moins une fois.

Je n’ai rien à t’offrir en échange de tous les services que tu me rends et tout le soutien que tu m’apportes. Malgré toute la douleur que j’ai eu en entrant dans cette chambre fermée depuis presque cinq ans, j’ai décidé de t’offrir ton rêve. Ce soir tu dormiras attaché et en couche comme dans tes fantasmes un peu fous. Je le faisais à mon mari par obligation, aujourd’hui je te l’offre avec plaisir et mon coeur n’ayant que ça à t’offrir.

Nanou déposa un baiser sur le front de Paul et se leva. Leurs yeux mouillés se croisèrent un instant avant qu’elle éteigne la lumière.

EPILOGUE

La nurseries a vue le jour et a fonctionné seulement quelques temps car aujourd’hui Nanou et Paul vivent ensembles sous le même toit.

TSM

Note de l'auteur : cette histoire est fictive, toute ressemblance avec des personnages ayant existé ne serait qu’un pur hasard 

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