Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 09:05

Nurse Nanou a monté sa crèche ABDL

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Résumé : Une histoire de Nurse, de crèche avec des menottes déclenchant une belle histoire d’Amour.

Ex épouse d’un ABDL, Nanou pleure sur son sort. La vie ne lui a pas permis de réaliser ses rêves de maman, l’amour de sa vie l’a quittée d’une longue et pénible maladie. Si au départ elle acceptait difficilement les fantasmes et fétichismes avoués de son époux, pendant sa maladie Nanou s’y est investie par amour. Au départ, ce n’était que pour lui faire plaisir, l’accompagner vers la fin qu’elle devinait en lui donnant du bonheur. Au fil du temps, elle prit goût à le dorloter, à le changer, à lui donner le sein et même à le gronder quand il ne prenait pas ses médicaments.

Sa triste maladie évoluant, elle a accédé à tous ses fantasmes et même fait un peu de BDSM, elle qui ne rêvait que de douceur. Oh il n’était pas très méchant ce BDSM, elle l’attachait un peu, lui mettait quelques petites fessées et prenait les choses en main quand il manquait d’énergie sous la couette. Et puis ce fut la fin et une longue période de deuil. Avant de partir, il lui avait fait promettre de refaire sa vie, elle avait promis parce que dans ces moments de désespoir on accepte bien des choses.

En regardant sa messagerie, un instant de curiosité la conduite sur Abkingdom, où elle découvre qu’il y a de nombreux MP. En suivant de fil de la discussion de son mari avec Paul34, elle découvre qu’ils échangeaient sur de nombreux sujets et que Paul essayait de soutenir son chéri dans sa si terrible épreuve. Ils semblaient très amis et c’étaient même rencontrés dans un salon du bâtiment et allaient prendre parfois un verre ensembles. Depuis le décès d’Henri, Paul avait adressé de nombreux messages de soutien à Nanou et lui avait proposé de l’aide plusieurs fois. Le dernier message la toucha énormément.

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Madame,

La perte d’un être cher est une épreuve bien difficile. J’étais présent et discret lors de la mise en terre de votre époux qui était un homme formidable. Il m’a informé de tout ce que vous avez fait pour lui dans sa dernière ligne droite, vous avez été une femme formidable. Si je peux vous aider en quoi que ce soit, n’hésitez pas à me contacter au 06 ....... Cela peut être pour monter une bouteille de gaz, arranger une prise, dépanner votre vieille Peugeot 605 si besoin ou bien d’autres choses. Comme nous demeurons l’un l’autre à deux pattés de maison, j’ai osé une fois vous laisser une carte de visite dans la boite à lettre, ma timidité ne m’ayant pas permis de sonner.

Sachez que je suis veuf et ne vous drague pas, cela serait ignoble de ma part !

Une femme de votre qualité et de votre générosité d’âme mérite de l’aide, vous aider est mon seul but. J’ai beaucoup de temps de libre, mes week-ends sont longs, venir faire la vidange de la voiture de mon ami Henri serait un loisir pour moi et un coup de pouce en souvenir du bon vieux temps.

Je ne vous écrirai plus et ne mettrai plus de carte de visite dans votre boite à lettre par respect car vous désirez peut-être tourner la page.

Chère Nanou, je vous prie d’agréer mes plus respectueuses et sincères salutations.

Paul

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Très touchée par ce message, Nanou pleure à chaudes larmes et ferme rapidement l’ordinateur. Deux jours plus tard, elle se reconnecte pour prendre le numéro de téléphone de Paul. Son coeur la pousse à rencontrer cet ami de son mari qu’elle ne connaissait pas. L’entretien téléphonique fut aussi difficile que délicat, tout comme de convenir d’un rendez-vous. C’est elle qui fit le premier pas en l’invitant à prendre un café le dimanche après-midi.

La rencontre fut tendue et sur un fond de tristesse mais il se passa quelque chose en eux. Paul ayant des mains d’or, il lui proposa de réparer le robinet de la cuisine qui fuyait. Il avait tout ce qu’il faut chez lui, une heure plus tard, le problème était réglé. Il est difficile d’imaginer qu’il puisse y avoir un transfert d’amitié, c’est pourtant ce qu’il se passa lors de ce premier contact. Pour le remercie de son aide et de sa gentillesse, elle l’invita à prendre l’apéritif puis à dîner tant leurs échanges étaient riches et sereins en cette fin de journée.

Un mois plus tard, lors d’un déjeuner offert par Nanou en remerciement du détartrage de son chauffe-eau, elle s’ouvrit à lui sur ses problèmes financiers. Elle ne voulait pas quitter leur maison mais n’arrivait pas à équilibrer ses comptes. Trouver un emploi à 45 ans sans aucun diplôme n’est pas aisé. Paul lui lança l’idée de monter une nurserie et de donner du bonheur à d’autres ABDL qui, comme lui, ne partagent pas leur fétichisme avec leurs épouses ou sont célibataires. Elle s’offusqua et lui répondit qu’elle n’était pas une prostituée, il dut lui expliquer que ce n’était pas du tout l’idée développée. Il fit le parallèle avec une infirmière libérale qui vient faire des toilettes et un particulier qui loue une chambre d’hôte. Ni l’un ni l’autre ne font de la prostitution. Ils louent un service et ne couchent pas avec le client ou le patient.

Cette idée fit son chemin, grandement aidée par un huissier de justice venu déposer un avis de saisie. Paul la soutient dans cette nouvelle épreuve, l’aide à négocier avec le créancier et lui avance 500 euros pour sortir de l’ornière, au moins provisoirement. Il l’aide à se déclarer en tant qu’auto entrepreneur et à s’organiser un peu sur ce qu’elle pourrait proposer pour essayer d’arrondir ses fins de mois. Le fait d’être déclarée rassure Nanou, c’est quelque chose d’officiel.

Dans un premier temps, elle ne fera que du baby-sitting pour adulte de 5 à 7, changement de couche, distribution d’un petit goûter. Il sera là pour la rassurer et la sécuriser les premières fois. Lors du passage du premier client, un AB adorable, elle constate qu’il lui manque beaucoup de matériel et d’accessoires pour que les rêves des ABDL puissent se réaliser. Lorsqu’il lui propose de l’aider financièrement, elle refuse n’ayant pas encore pu commencer à le rembourser. Paul lui fait part d’une idée originale qui la laisse sans voix !

- Nanou, je suis aussi un ABDL, ne l’oubliez pas, et si j’étais votre client, cela vous aiderait.

- Il est hors de question que tu me payes quoi que ce soit. Si je m’en sors un jour, cela sera grâce à toi qui m’aide tant.

- Je n’ai pas dit que je te payerai !

- A quoi penses-tu ?

- J’achète un body par exemple, tu me reçois comme un client, tu me changes, tu me mets le body puis me fait goûter et je repars comme un client, sauf que, je garde le boy sous mes vêtements en partant et que je te le ramène propre deux jours plus tard. Ce body sera alors à toi. J’aurai eu ma part de rêve avec l’accessoire qui me plait et toi tu auras gagné un body. Je ne t’aurai pas payée et en plus, si j’ai envie que tu me le prêtes, tu me le prêteras sans souci,

- C’est gentils mais ce n’est pas un body qui va changer grand chose. Je suis allée voir sur le net, les nurseries ont un matériel de folie.

- Je suis un bon bricoleur, et j’ai aussi beaucoup d’envies. Si je ne me suis pas acheté ou fabriqué du matériel c’est parce que seul chez moi, cela n’avait pas grand intérêt. Là, je vais m’éclater à fabriquer des choses, ensuite à les essayer tout en te rendant service. Elle n’est pas belle la vie ?

Nanou accepta la proposition de Paul, et pour le remercier de toute cette gentillesse lui ordonna de se coucher sur son canapé pour qu’elle lui mette une couche. Pris au dépourvu, il perdit toute sa superbe et devint rouge pivoine de honte.

- Allez, arrête de chipoter et montre tes fesses que je te lange pour la nuit ou tu vas prendre une fessée !

Paul n’en mena pas large, c’était la première fois que quelqu’un lui mettait une couche. Il ne demanda pas son reste et quitta les lieux sans trop tarder sous les yeux amusés de Nanou retrouvant toute son énergie.

...................

Rusé, Paul contacta ABCplaisir.com pour savoir s’il pouvait avoir une remise pour grosse quantité en produit ABDL. La réponse ne tarda pas. Oui si la commande est supérieure à 400 euros, non si c’est pour acheter une tétine et une culotte en plastique ou trois couches Crinklz. Par contre, si vous avez des projets de créations de donjon, crèches ou de grandes rencontres, n’hésitez pas à nous en parler, nous pouvons vous aider.

L’échange d’email ne dura pas avec ABCplaisir, Paul proposa d’en parler par téléphone. Devant de nombre de fantasmeurs faisant perdre du temps pour rien aux boutiques, la chose étant rare, le webmaster le contacta sans tarder. Informé du projet et de leur histoire, il décida de jouer le jeu. C’est ainsi que trois jours plus tard, Paul prit un rendez-vous chez Nurse Nanou en lui laissant entendre qu’il y aurait des surprises !

Il arriva chez elle le vendredi soir avec une gros carton ! Nanou très étonnée ouvrit grands les yeux en lui demandant ce qu’il se passait !

- Je t’avais dit que j’avais beaucoup d’envies, alors je me suis fait plaisir ! Si tu me sers un café avant d’ouvrir le carton, je ne pleure pas promis ! Dit Paul en rigolant.

Assis sur le canapé, il se délecta des mimiques de sa nurse, elle réagissait comme une gamine dans un magasin de jouet. La grenouillère cadenassable l’amusa beaucoup, tout comme les multiples culottes en plastique de couleur différente. Elle tiqua un peu quand elle ouvrit la boite deux paires de menottes et lui demanda qu’elle était le but de ce truc !

- C’est pour quand tu as de vilains bébés, une fois menottés ils sont tout simplement obligés d’être sages.

- C’est dans tes fantasmes d’être attaché ?

- Oui, j’adore me sentir obligé, je l’avoue ! Répondit Paul soudain très gêné.

- Et bien puisque tu es un gros vilain qui a fait des folies, tu vas être puni !

Attrapé par l’oreille, Paul fut invité à se mettre debout et à lui tendre ses poignets sur lesquels elle posa une des paires de menottes. Déculotté et rouge comme une pivoine, il la regarda s’asseoir sur le canapé sans comprendre. Tiré sur ses genoux, il comprit rapidement où elle voulait en venir. La fessée ne fut pas bien méchante, la peau des fesses du vilain bébé était à peine rose mais elle enflamma sa libido.

- Voilà ce que je fais aux garnements comme toi. Je vais reprendre ton éducation à zéro, tu as intérêt à être sage si tu ne veux pas en prendre d’autres.

Prestement redressé, il fut libéré et mis nu comme un vers. Le pauvre Paul ne savait plus où se mettre tant il était gêné.

- Tout ce matériel n’a pas été acheté pour rien ! Il va servir. Allonge-toi que je m’occupe de tes fesses autrement.

Jambes relevées comme un bébé, il n’osa même pas la regarder quand elle lui posa une grosse couche et un insert avant de lui poser une des culottes en plastique. Paul avait aussi pris deux bodys, elle lui enfila le modèle blanc avant de le coucher à nouveau sur le canapé pour le refermer entre ses jambes. Nanou étant très joueuse et taquine une fois lancée dans ses délires, elle lui imposa le grenouillère cadenassable qu’elle verrouilla aussitôt.

- Ah tu aimes te sentir obligé, tu vas être servi vilain ! Lève-toi et vient t’asseoir à table, c’est l’heure de goûter.

A peine assis, elle lui posa une paire de menottes à chaque poignet qu’elle fixa à la chaise avant de lui coller une serviette de bain autour du cou en guise de bavoir. De son frigidaire, elle sortit une magnifique tarte aux fraises maison dont elle coupa une grosse part.

- Regarde, je l’ai faite pour toi. Alors bébé va tout manger comme un grand s’il ne veut pas une seconde fessée.

- Tu peux pas, j’ai une couche.

- Sur les cuisses, la fessée c’est bien aussi. Tu veux essayer ?

- Non, non, merci ! Répondit Paul soudain moins fier.

La tarte terminée, elle lui imposa de boire deux biberons d’eau, n’ayant pas encore de grand modèle. Il peina pour terminer le second mais quand Nanou décide...... A la suite de quoi, elle lui colla la tétine pour adule trouvée dans le carton en lui ordonnant de la garder et d’être sage. Elle alluma la télévision et le planta là pour aller surfer. Une heure plus tard, l’envie d’uriner pointa son nez. Le problème de Paul fut que chez lui ou dans la rue, cela ne posait pas de problème mais devant Nanou...... La séance initiale est de 5 à 7, Nanou trop heureuse de tous ses cadeaux, oublia comme par inadvertance de consulter sa montre. Si bien que vers 19 heures 30, Paul était toujours menotté sur sa chaise et devant la télé quand un parfum de cuisine Provençale vint chatouiller ses narines.

Que mijotait Nanou ? Là c’est une question à double sens.

C’est aux alentours des 20 heures qu’il eut la réponse à cette question en la voyant arriver avec une grosse marmite fumante et un sourire coquin posé sur les lèvres. Elle fit deux voyages supplémentaires entre sa cuisine et le salon faisant aussi office de salle à manger pour dresser la table.

- Ce soir mon gros bébé, tu es invité à dîner par ta nounou. J’ai préparé une daube Provençale qui mijote depuis hier soir. On va se régaler. Comme tu as des problèmes pour manger les gros morceaux, ne t’inquiètes pas, je te les couperai tout petit et te les mélangerai dans la purée. Mon idée était de te faire un tuperware mais j’ai changé d’avis. Nous allons dîner et m’occuperai encore de toi après manger car j’ai aussi une surprise pour toi.

Paul était à la fois gêné et aux anges, bien que le côté AB poussé ne l’amusait pas vraiment. Il joua le jeu et apprécia la daube digne d’un grand chef référencé au guide Michelin tout en regrettant fortement d’avoir un biberon d’eau en guise de vin rouge.

- Est-ce que quelqu’un t’attend ce soir ? Demanda Nanou à la fin du repas.

- Non, personne hélas ne m’attend depuis 9 ans demain. Répondit Paul d’une voix triste.

- Alors c’est à mon tour de te faire une surprise. Tu vas rester ici cette nuit, je t’ai préparé une chambre particulière. J’aimerai que tu me fasses confiance et que tu ne me poses pas de question. Tu ne le regretteras pas, promis.

Paul acquiesça d’un simple geste de la tête, aucun son ne pouvant sortir de sa gorge serrée. Nanou le libéra enfin des menottes pour lui retirer la grenouillère et le changer. Elle lui remis un change complet et un insert après lui avoir fait une toilette avec du lait de bébé. Le body fermé, la grenouillère lui fut enfilée sans toutefois être cadenassée. Elle le fit asseoir et lui fit un gros gâté en le prenant dans ses bras comme le ferait une maman. Il n’y eut aucun geste déplacé de l’un et de l’autre, juste une grande tendresse et des regards chargés d’affection.

- Maintenant je vais te faire la suite de ta surprise, s’il te plait, laisse-moi faire et ne me pose pas de question.

Paul fit « oui » d’un simple geste de la tête mais fut grandement étonné qu’elle lui pose un bandeau sur les yeux. Invité à se lever, il fut guidé dans l’immense appartement vers une chambre médicalisée attenante à celle de Nanou. Il se laissa guider pour être couché sur le lit avant d’être entravé par des sangles Segufix. Elle lui retira son bandeau en lui demandant de garder les yeux fermés avant de refermer sur son front une sangle maintenant la tête.

- Tu peux ouvrir les yeux maintenant gros bébé, j’ai quelque chose d’important à te dire.

Paul prit conscience de la situation en un instant mais découvrit aussi les yeux larmoyants de Nanou.

- Voilà, je t’explique ! Dit-elle en contenant des sanglots dans sa gorge. A la fin, Henri délirait, arrachait ses vêtements, ses couches, se blessait ou tombait du lit. Dans le cadre du maintient à domicile des personnes en fin de vie, l’assurance à financé cette chambre et le matériel. J’étais obligée de l’attacher la nuit car pour dormir je prends des somnifères. Ce qui fait que quand il entrait en crise je ne l’entendait pas ou trop tard. J’ai essayé de m’en passer mais le médecin m’a indiqué que si je ne me protégeais pas, il ferait hospitaliser mon mari.

Aujourd’hui, ce matériel ne me sert à rien, tu m’as indiqué aimer être attaché, contraint ou obligé. J’ai lu deux de tes histoires érotiques sur le site. A la fin de chaque histoire tu as indiqué quelles étaient fictives mais que ce serait un rêve pour toi de vivre cette expérience au moins une fois.

Je n’ai rien à t’offrir en échange de tous les services que tu me rends et tout le soutien que tu m’apportes. Malgré toute la douleur que j’ai eu en entrant dans cette chambre fermée depuis presque cinq ans, j’ai décidé de t’offrir ton rêve. Ce soir tu dormiras attaché et en couche comme dans tes fantasmes un peu fous. Je le faisais à mon mari par obligation, aujourd’hui je te l’offre avec plaisir et mon coeur n’ayant que ça à t’offrir.

Nanou déposa un baiser sur le front de Paul et se leva. Leurs yeux mouillés se croisèrent un instant avant qu’elle éteigne la lumière.

EPILOGUE

La nurseries a vue le jour et a fonctionné seulement quelques temps car aujourd’hui Nanou et Paul vivent ensembles sous le même toit.

TSM

Note de l'auteur : cette histoire est fictive, toute ressemblance avec des personnages ayant existé ne serait qu’un pur hasard 

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Par abcplaisir - Publié dans : Les histoires érotiques - Communauté : Shibari bondage BDSM
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