Comment la cage de chasteté est entrée dans notre couple
Les confessions érotiques d'une femme qui a découvert et s'amuse de plus en plus avec la cage de chasteté de son mari.
La cage de chasteté est entrée dans notre couple il y a quelques années suite à une rencontre dans un club libertin. Une femme s’amusait avec la cage de chasteté de son mari au bar. Elle était
assise sur un tabouret et lui debout à côté d’elle, se laissait tripoter sans bouger. Dans les yeux de cet homme il y avait tellement d’amour que je les ai trouvés beaux à voir. Je me suis donc
approchée d’eux et j’ai engagé la conversation. Ils m’ont expliquée que leur plaisir était que madame s’amuse dans un coin câlin et qu’il la regarde s’amuser. J’insiste en disant qu’ils étaient
beaux dans cette complicité, de toute évidence ils étaient follement amoureux l’un de l’autre. De but en blanc elle m’a demandée si j’acceptais d’être la récompense de son mari.
Sa question m’a surprise comme vous vous en doutez. Amusée, elle m’a simplement dit que si je lui accordait le droit de me lécher le chaton, ce serait pour lui un honneur et un plaisir pour elle
de le voir faire. Ces gens étaient si courtois, si gentils, si souriants que je me suis prêtée à leurs jeux. L’homme s’est agenouillé, a soulevé ma robe de soirée et s’est mis à me lécher avec
une extrême douceur. Mon mari trouvait cela très amusant. Dans notre complicité féminine, elle a vu que j’avais envie de lui demander la même chose et m’a proposée, si je le souhaitais, de
demander à mon soumis de lui faire la même chose.
Mon mari n’était pas encore soumis, mais il s’est prêté au jeu du moment bien volontiers. Il s’est agenouillé à son tour devant cette femme qui s’est avancée sur le tabouret pour se faire brouter
le chaton. Jack affichait une belle érection et a commencé à se masturber en la léchant. Aussitôt, elle lui a indiqué qu’elle ne lui avait pas donné la permission de se branler. Il s’est arrêté
immédiatement et s’est excusé. Soudain, cette inconnue s’est excusée de s’être permise de donner un tel ordre à mon mari. Je lui ai répondu qu’il n’y avait aucun problème et que je n’étais
absolument pas fâchée. Elle lui a alors indiqué que cette erreur mériterait une semaine de chasteté mais que ce n’était pas à elle de décider. Ce qui m’a amusée, c’est que mon mari bandait comme
un âne et respecte cet ordre donné par une inconnue.
Lors de cette soirée, je n’ai pas trouvé « chaussure à mon pied » c’est plus l’ambiance érotique qui m’amuse dans un club libertin que de me faire sauter. Sur le chemin du retour, nous avons
reparlé de cette expérience et de ce couple qu’il trouvait lui aussi magnifique dans leur complicité. En rigolant je lui ai indiqué qu’il avait été puni d’une semaine de chasteté par cette
inconnue et que cette idée me plaisait bien. Il m’a répondu narquois et très provocateur que nous n’avions pas de cage de chasteté. La première chose que j’ai faite en arrivant à la maison c’est
d’allumer l’ordinateur pour en trouver une. Il voulait jouer et cela m’amusait.
J’ai bien vu que cela le perturbait de me voir lui chercher une cage de chasteté. J’ai trouvé mon bonheur sans me ruiner sur ABCplaisir, en plus, comme c’était les soldes j’en ai profité pour
changer notre magic wand massager, le notre ayant rendu l’âme. Tout cela m’avait excitée. Je me suis allongée sur le canapé et je lui ai demandé de s’occuper de moi. Alors qu’il ouvrait son
pantalon pour me faire l’amour, je lui ai rappelé qu’il était puni et privé de sexe pour une semaine. Paul n’avait pas l’air très décidé a être sage. Je suis allée chercher la paire de menottes
que nous utilisons parfois pour nous amuser sauf que cette fois, c’est lui qui allait les avoir. Cela l’a rendu dingue d’excitation ! Il m’a dévorée le chaton comme jamais.
Avec mon pied, je m’amusais à titiller son sexe pendant qu’il me broutait avec beaucoup de conviction. Comme il me connaît bien, Paul est arrivé à ses fins, traduction, me faire jouir et me
donner envie de plus « viril » que sa langue. Lorsqu’il m’a dit que je ne pourrai pas me passer de sa bite, sa vulgaire provocation m’a agacée. Je lui ai simplement répondu « on verra ». Lorsque
la cage de chasteté est arrivée, nous l’avons essayée le soir même. Le plus difficile fut de parvenir à la mettre, il s’est mis à bander de suite.
Une fois posée après une demi-heure de galère, le rendre dingue était mon envie du moment. J’ai joué avec sa cage de chasteté et son sexe comme la pire des allumeuses. Je la touchais,
j’embrassais ses testicules, j’ai même sucé la cage comme si c’était un sexe. Comme nous étions couchés sur le lit, j’ai enjambé son visage pour profiter de sa langue très habile. Dans la
position du 69, j’ai continué de jouer avec ce nouveau sextoy pendant qu’il officiait. Il faisait des bonds de plaisir sur le lit. Jamais un 69 ne lui avait donné ces sensations. Pour le magic
wand massager, nous avions pris le gros modèle, j’avais de mon côté, une envie folle de l’essayer. Paul s’est occupé de tout et de moi. Il l’a désinfecté puis, m’a faite grimper aux rideaux
plusieurs fois de suite avec le magic et ses doigts taquins et visiteurs décidés à me fister.
Là où il a trouvé la soirée soudainement moins amusante, c’est quand il a compris que je voulais qu’il garde la cage de chasteté. Je n’ai pas baissé la garde, j’ai joué la « salope » câline qui
cherche à obtenir quelque chose. Il a finit par céder en maugréant. Une fois la lumière éteinte, je me suis lovée contre lui et j’ai entretenu le feu qui couvait en lui. Le lendemain matin, à
l’heure où le sexe masculin s’acharne à vouloir nous montrer le ciel, ce fut plus délicat. Je me suis occupée de lui en lui faisant des tonnes de câlins, je l’ai dévoré de bisous en jouant en
même temps avec ses tétons. Il adore ça. J’ai du insister un peu pour qu’il la garde en lui indiquant que cela me ferait très plaisir. Paul a accepté.
Comme nous étions samedi, dans les négociations, nous avons convenu que je lui retirerai le dimanche soir. Régulièrement, j’allais le toucher, le provoquer, ce qui m’a valu quelques « noms
d’oiseaux ». Je suis parvenue à le rendre dingue plus d’une fois rien qu’avec de simples câlins. Le soir même, en rentrant du cinéma, rebelote. 69, bisous partout, et même analingus chose qu’il
ne me fait pas trop en temps normal. Là, de par son excitation démesurée, cela ne lui a pas posé de problème, bien au contraire. Mon amoureux m’a dévorée les fesses et entre les fesses avec une
conviction étonnante.
Lorsque nous avons repris le 69 à mon initiative, je me suis amusée avec le magic wand sur sa cage de chasteté. Il était comme fou ! Il me léchait les orifices avec une passion débordante, il
aspirait et s’acharnait sur mon clitoris avant de retourner voir mes « cavernes ». Au bout d’un moment, j’ai joui comme une malade à en lui écraser le nez tant j’avais envie de lui en moi.
Epuisés mais repus tous les deux même si lui n’avait pas joui, nous n’avons pas tardé à nous endormir lovés l’un contre l’autre. Il m’a murmuré un « je t’aime salope » en me serrant très
fortement dans ses bras comme à nos débuts.
Le dimanche fut presque identique au samedi. Le savoir sous cage de chasteté m’amusait et devenait une nouvelle aire de jeu. Comme cela m’excitait, j’ai eu envie de remonter sur Fessestivites que
nous avions un peu délaissé. Dans les milliers de vidéos je suis allée fouiner sur les vidéos chasteté, Paul est venu en voir avec moi. Il était aussi excité que moi en les visionnant. L’envie de
jouer encore m’a titillée. Je lui ai laissé le fauteuil du bureau pour regarder les vidéos debout derrière lui,..... pendant que mes mains jouaient avec ses tétons. Il devenait dingue, tirait ma
tête pour me faire des bisous, il me caressait les mains comme un gamin amoureux.
Si je n’étais absolument pas Maîtresse, l’envie de profiter un peu de la situation m’a traversée l’esprit. Quand il est décidé, Paul fait de très bons massages. Quand il est décidé seulement. Là,
j’ai obtenu de suite qu’il me masse le dos en prétextant qu’il me faisait souffrir. Lorsque nous faisons ça, nous mettons les coussins du canapé sur la table du salon et une serviette pour les
protéger. Je me suis mise nue et étendue sur le ventre pour qu’il me masse. Il ne s’arrêtait plus ! Je me suis retournée et lui disant que je voulais qu’il me masse aussi devant. En d’autres
temps il aurait râlé et bâclé ce massage là. Présentement, cela ne lui a pas posé de problème. J’ai eu aussi envie de sa bouche entre mes cuisses, il m’a de suite brouté le chaton à même la table
du salon.
Le week-end, Paul travaille souvent sur ses dossiers ou regarde la télévision. Là, il était plus proche de moi et bien plus câlin. Ses attentions surprenantes pour un simple sextoy m’ont
surprise. J’ai poussé ensuite le vice jusqu’à lui demander de me faire couler un bain. Il s’est exécuté sans sourciller.
Pendant mon bain, j’ai tenu à ce qu’il reste avec moi et qu’il me tienne compagnie. Nous avons parlé de tout et de rien avant de revenir sur sa cage de chasteté. Il m’a avouée que finalement,
c’était très excitant. Que ce truc le travaillait et lui rappelait son sexe presque en permanence. Bien décidée à le rendre heureux, je lui ai fait de la place dans la baignoire pour qu’il me
rejoigne. Il bandait dans sa cage sous l’eau chaude pendant que je lui lavais la tête ! ! !
Après le repas, il m’a aidée à débarrasser la table et à mettre la vaisselle dans le lave vaisselle, chose qu’il ne fait jamais. Toutes ces évolutions, ses attentions, ses mots doux m’ont motivée
à jouer encore avec sa cage de chasteté parce que cela faisait longtemps que nous n’avions pas passé un week-end aussi agréable. Le soir même, fidèle à mes engagements, j’ai ouvert le cadenas et
retiré la cage de chasteté pour lui faire une gâterie bien méritée. Sa verge était belle, turgescente comme on dit dans les histoires érotiques. Elle vibrait sous mes mains et ma langue, j’avais
envie d’elle en moi. Pour l’avoir je l’ai eue, mais pas longtemps ! Il a explosé presque de suite ! J’ai râlé f o r c é m e n t, en lui disant qu’il aurait pu attendre un peu.
Sous la menace de lui remettre la cage de chasteté une semaine non stop, il a accepté (chose surprenante) de me faire minette et de me fister pour me faire jouir. D’habitude, ce truc ne le
branche pas, là, c’est passé tout seul encore une fois. Bon, je ne lui ai pas demandé de lécher « ses restes », juste de me brouter le clitoris mais il est quand même descendu un peu plus bas.
Depuis cette première expérience, il porte très souvent sa cage de chasteté et sur des périodes plus longues. Je ne suis pas une dominatrice au sens propre du terme, mais je m’amuse beaucoup avec
ce sextoy. Je le menace par exemple d’ajouter des jours de chasteté s’il n’est pas sage ou s’il ne m’aide pas. Il s’y est habitué et moi aussi, j’aime me lover contre lui dans son dos et plonger
mes mains sur son devant quand il est encagé.
J’ai voulu tester un truc que j’ai vu sur les vidéos. La fille mettait un gode ceinture à la taille de son mari sous cage de chasteté et se faisait prendre. Il est devenu dingue en plein. Il
avait le geste de me faire l’amour, les étreintes, les bisous qui vont avec mais il ne sentait rien en bas. Même si c’était bon, je n’ai pas trop aimé la sensation du gode, cela n’a aucun rapport
avec son sexe que j’aime tant. Je ne me sers de ça qu’en guise de « punition ». Il dit détester mais à chaque fois, il coule tellement à travers sa cage que l’on doit mettre une serviette sur les
draps. Comme je ne jouis pas avec un gode ceinture, il doit évidement me faire jouir avec sa langue ou le magic wand massager.
Le gode qui se met dans la bouche vu sur les vidéos m’a tenté aussi. On en a acheté un sur ABCplaisir en même temps que la nouvelle cage de chasteté de la Louve qui est trop belle. Ce n’est pas
le gode qui est divin, ce sont les yeux de mon mari à quelques centimètres de mon chaton quand il agite sa tête pour me prendre avec ce truc remplaçant son sexe. Ce gode et en même temps le magic
wand sous ses yeux, c’est trop top pour le rendre fou.
TSM
NOTE DE L’AUTEUR
Ce témoignage n’est pas fictif, il m’a été raconté par une cliente et son mari que j’ai eu l’immense plaisir de recevoir lors d’un des pique-niques de rencontres que j’organise l’été. Les noms
ont été changés et ce témoignage que j’ai rédigé a été publié avec leur accord. Il est à peu prés fidèle à ce qu’ils m’ont raconté.
PHRASE AJOUTEE A LA DEMANDE DE MADAME :
Comme indiqué, je ne suis pas Maîtresse, juste une femme un peu dominante par jeu même si ces jeux me plaisent de plus en plus.