Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 19:15

Cadenas électronique BDSM et selfbondage

 

Pour partir en laissant votre soumise attachée quelques heures, ou pour faire du selfbondage sans risque, ce cadenas programmable est une solution de jeux.

Cadenas électronique
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Cadenas électronique BDSM et selfbondage
par abcplaisir

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Par abcplaisir - Publié dans : Bondage entraves shibari - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 19:13

Rencontre avec une femme ronde dominatrice

L'histoire érotique d'une rencontre BDSM qui commence par du virtuel avec une cage de chasteté et finira par une rencontre réelle avec une femme ronde dominatrice.

Soumis Louis rêvait de soumission, de BDSM et recherchait une Maîtresse depuis des années. Elle lui est apparue comme un mirage, un soir sur le tchat de Fessestivites. Son approche étant très respectueuse et soignée, il réussit à attirer son attention. Ils se retrouvent régulièrement le soir sur le tchat pendant plus d’une semaine.

Désireuse de le tester, elle lui demande de commander sur ABCplaisir un cadenas à combinaison qui lui sera vendu sans la combinaison. Lors de la commande il devra préciser que c’est à Madame Maure de Fessestivites qu’il faut envoyer la combinaison. Comme elle ne lui demande pas d’argent, juste de dépenser quelques euros pour qu’ils puissent jouer tous les eux, Louis est rassuré, ce n’est pas du racolage, elle est bien une Maîtresse dans l’âme.

C’est ainsi que débute leur relation virtuelle. Il allume sa cam et pose son cadenas sur sa cage de chasteté, c’est une « Cage de chasteté Anneau sécur » qui est solide et facilite la toilette. Pendant près de dix jours, elle le « charcute » psychologiquement pour le rendre dingue d’excitation. Entre les effets de la cage de chasteté, son rêve de rencontrer sa Maîtresse et les provocations érotiques qu’elle lui fait, soumis Louis rampe déjà d’amour devant son PC tous les soirs.

Il ne sait pas grand chose d’elle, hormis qu’elle est très sympathique, très à l’écoute, qu’elle a 40 ans et recherche réellement son soumis d’amour. Elle ne cumule pas les rencontres, les soumis virtuels, sa recherche est sérieuse pour preuve, Madame Maure a modifié son annonce pour indiquer qu’elle a trouvé son soumis et qu’elle s’occupe de lui uniquement.

Le seul souci, est qu’il ne l’a jamais vue en cam, la seule chose qu’il a vue ce sont ses pieds sur la photo de son profil. Son imagination gambade grandement surtout qu’elle lui a indiqué être blonde, avoir les yeux bleues et une poitrine très généreuse. Madame Maure ne lui ment pas, mais elle ne lui dit pas tout. Elle ne lui parle pas de son complexe ni de son souci.

Après trois semaines d’échanges virtuels riches, basés pas uniquement sur le BDSM mais aussi les choses de la vie, lorsqu’elle lui propose de se rencontrer, soumis Louis frise l’attaque cardiaque. Il accepte avec plaisir en lui indiquant que ce sera un honneur pour lui que de la rencontrer et de la servir.

Oui mais voilà, les demandes et conditions de Madame Maure sont aussi originales que particulières. Il devra pour qu’elle vienne chez lui :

- Lui donner son adresse.

- Lui donner son numéro de portable

- S’entraver nu couché sur le dos avec des menottes en acier, les vraies vendues sur ABCplaisir. Ses mains devront être menottées dans son dos.

- Il devra avoir les yeux réellement bandés. S’il triche, elle repartira.

Le soir de la rencontre, il mettra un double de ses clés sous son paillasson pour qu’elle puisse entrer. Elle lui adressera un texto pour lui indiquer qu’elle va arriver. Il disposera alors de 5 minutes pour se mettre nu et réaliser tout ce qu’elle lui a ordonné. Soit il accepte ses conditions, soit leur relation est terminée, Madame Maure ne supporterait pas qu’il soit un fantasmeur et non pas celui qui désire être réellement son soumis attitré.

Soumis Louis est aussi perturbé qu’inquiet car cette façon de faire originale peut très bien cacher que, Madame Maure soit un travesti, ou carrément un escroc ayant pour objectif de le dépouiller. Son désir de soumission et son excitation pulvérisent la logique de prudence, il accepte toutes ses conditions malgré la peur.

LE VENDREDI SOIR A 21 HEURES

Tout est prêt et, comme prévu, Louis a mis un double des clés sous son paillasson devant la porte de son appartement. Un texto lui annonce qu’elle ne va pas tarder à arriver et qu’elle a bien trouvé l’adresse. Elle ne lui laisse que 5 minutes chrono pour se préparer et la recevoir selon ses conditions s’il n’a pas changé d’avis.....

Louis lui répond aussitôt par texto qu’il sera prêt à la recevoir comme demandé avant de s’allonger nu sur le sol après s’être bandé les yeux avec le bandage médical qu’elle lui a conseillé un soir dans leur discussion. Il ferme les menottes dans son dos puis finit de s’allonger comme demandé. Dans sa cage de chasteté, son sexe gonflé par l’excitation lui fait mal tant il est contrarié de ne pouvoir s’exprimer. Le bruit des clés dans la serrure le fait bondir de peur, et en même temps le rassure, elle est bien venue. Enfin, elle si ce n’est pas une arnaque ou un piège mortel.

- Bonsoir petit soumis !

- Bonsoir Maîtresse, bienvenue en mon humble logis.

Après avoir posé son manteau, son sac à main et un sac contenant quelques accessoires BDSM, Madame Maure entreprend de le rendre fou en faisant tomber et glisser ses longs cheveux blonds sur la poitrine nu de Louis puis sur son visage. Ce premier contact physique après 15 jours de chasteté le rend complètement dingue. Histoire de le pousser encore, elle attrape son sexe encagé, le tripote et l’agite.

- Mais tu es très excité à ce que je vois, qu’es-tu prêt à faire pour que ta Maîtresse t’accorde une pause de chasteté ?

- Tout ce que vous voudrez Maîtresse.

- J’aime les bonnes langues, celles qui se donnent tout à leur mission. Roule sur le ventre je vais t’offrir mes pieds à lécher pour commencer.

Madame Maure prend une chaise, retire ses talons puis présente ses pieds magnifiquement manucurés devant le visage de Louis. Il les embrasse, les lèche et s’investissant comme un fou dans cette première mission. Au bout d’un moment, elle lui ordonne de se remettre sur le dos et, surprise, lui pose une ceinture autour des cuisses qu’elle bloque l’une contre l’autre en serrant fortement. A la suite de quoi, elle s’attaque aux tétons de son soumis qu’elle malaxe en serrant de plus en plus fortement jusqu’à lui arracher de petits couinements.

- Ce sont des accélérateurs de langue ! Indique Madame Maure en posant des pinces à sein sur les tétons de Louis. Si tu ne t’appliques pas à me lécher la chatte, je tirerai sur la chaînette pour te motiver. Et si tu ne fais pas d’effort, ma cravache sur tes couilles saura te convaincre. Un soumis se doit d’exécuter correctement les ordres de sa Maîtresse.

- Bien Madame, mais je ferai de mon mieux, c’est promis ! Répond Louis pas très rassuré.

Madame Maure enjambe le visage de Louis puis lui ordonne de tirer la langue avant de se rapprocher pour qu’elle puisse juste l’effleurer. Son soumis tremble de désir, soulève la tête mais parvient à peine à la toucher.

- Tu pourrais faire un effort pour donner du plaisir à ta Maîtresse ! Indique Madame Maure en tapotant ses testicules avec sa cravache.

Louis tend sa tête comme un fou en s’appuyant sur ses coudes, sa Maîtresse s’amuse à le faire languir avant de décider qu’il est temps de passer aux choses sérieuse : s’asseoir sur son visage !

Madame Maure fait 1 mètre 65 pour 110 kilos, là est son souci et son complexe. Elle est une femme ronde, très ronde, les hommes ne sont pas attirés par son corps. C’est du moins ce qu’elle ressent et qui la bloque. A travers la domination, elle arrive à avoir quelques amants, hélas toujours de passage car ils ne souhaitent pas donner suite à leur relation. S’étant enrichie d’informations sur les effets phycologiques de la cage de chasteté, elle tente avec Louis de créer des effets de manques titanesques visant à le soumettre et à se faire aimer malgré son poids. La solitude lui pèse énormément et la pousse à ce type d’excès alors qu’elle ne rêve que de câlins.

Soudain, elle s’assoie sur le visage de Louis et lui donne sa chatte à lécher. Au milieu de son sexe si généreux, le visage du soumis disparaît presque entre les cuisses féminines de bonne taille. Il lape sans se poser de question jusqu’au moment où, en manque d’air, il se débat pour survivre.

- Qu’est-ce qu’il y a, elle n’est pas bonne ma chatte ?

- Oh si Maîtresse, il faut juste que je respire un peu de temps en temps !

Comprenant le problème, elle décide d’en jouer, à chaque fois qu’il a repris sa respiration, « il y retourne » bien volontiers et semble même s’en délecter. Soudain, Louis fait riper sa tête et lui fait une feuille de rose, et plonge sa langue le plus profondément possible en son anus. Agréablement surprise, elle s’assoie un peu plus et savoure les sensations, c’est une première pour elle. Au bout de quelques secondes, Louis en perdition s’agite, il a besoin de respirer. Elle lui laisse reprendre sa respiration et repose ses fesses sur le visage de Louis.

Cette fois, il réussit à caler son nez entre les deux montagnes de chair que représentent les deux hémisphères fessiers, l’anilingus dure donc beaucoup plus longtemps. Les mains de Madame Maure sont attirées par sa chatte, ou plus précisément son clitoris. D’une main, elle écarte ses chairs, de l’autre, elle entreprend de titiller son clitoris. Le plaisir ne tarde pas à pointer son nez, elle ruisselle littéralement de plaisir. Dans la dernière ligne droite, elle ripe sur le visage de Louis qui se retrouve dans un véritable marécage de sécrétions féminines. Lorsqu’elle implose, elle l’écrase encore plus, fait fontaine en libérant un flot de cyprine et un peu d’urine. Louis lape toujours avec autant de conviction jusqu’au moment ou, à court d’air, il se débat pour sa survie.

Madame Maure est un peu « cassée » dans sa jouissance par son attitude de désespéré. Elle l’engueule et claque ses précieuses avec sa cravache en tirant sur la chaîne des pinces à sein.

- Désolé Maître, mais il fallait que je respire, j’allais tomber dans les pommes. Hurle Louis.

- C’est vrai ça ?

- C’est juré Madame, revenez s’il vous plait, j’ai encore envie de vous donner du plaisir.

- Mets-toi sur le ventre ! Ordonne Madame Maure, et vient me lécher encore.

Allongée sur le dos à même le tapis du salon, elle écarte les cuisses et guide la tête de Louis en lui tirant les cheveux. C’est effectivement avec beaucoup de conviction qu’il replonge son visage dans les nymphes épanouies et trempées pour la dévorer. Ce serait encore mieux pour lui si les pinces à sein sur lesquelles il s’appuie ne lui massacraient pas les tétons. Ne le supportant plus, il fait une pause pour lui expliquer son souci, de bonne grâce, elle les lui retire, hélas trop vite, ce qui lui fait un mal de chien et le fait crier.

- Tais-toi et lèche ! Lui ordonne Madame Maure.

Louis se remet à l’oeuvre et la dévore avec beaucoup de conviction. Il veut la faire jouir encore, elle le sent vraiment motivé pour lui donner du plaisir. Pour lui prouver qu’il est prêt à tout pour sa Maîtresse, il se remet à lécher son anus et joue avec son nez comme si c’était une petite bite. Pour Madame Maure, le plaisir est grand, ses mains se remettent en chasse de son bouton magique et le titillent jusqu’à une nouvelle jouissance. Encore une fois, Louis lape tout sans rechigner mais comme c’est bien trop fort pour elle, elle finit par resserrer les cuisses pour se protéger de cette langue vorace.

- Tu as gagné le droit de jouir ce soir mais à mes conditions. Mets-toi à genoux devant moi. Ordonne Madame Maure.

Tant bien que mal, il parvient à se relever et à prendre la position demandée. Madame Maure retire la cage de chasteté et ouvre son chemisier dont elle fait jaillir ses seins généreux. Elle les lui donne à téter pendant qu’elle le masturbe. Même si la position est inconfortable, même si ce n’est pas sa propre main, l’excitation est telle qu’il ne tarde pas à jouir et à éjaculer dans les mains de sa Maîtresse.

- Tu ne m’as pas demandé la permission de jouir ! Pour ta punition, tu vas lécher mes mains vilain !

Écœuré, il s’exécute même s’il n’aime pas du tout ça. Il lèche aussi avec conviction chaque doigt pour effacer toutes les traces de son éjaculation. Elle le félicite et le libère des menottes à la seule condition qu’il ne retire pas le bandeau qu’il a sur les yeux. Il jure de respecter cette demande qui avait pour objectif qu’il remette sa cage de chasteté sur laquelle elle repose le cadenas.

- Je dois partir, tu vas te mettre à quatre pattes comme un bon chien et attendre sans bouger que je me rhabille correctement.

- Puis-je vous offrir un verre Madame ?

- Non, pas ce soir, la prochaine fois ! Lui répond Madame Maure avant de quitter les lieux en lui indiquant qu’il doit compter jusqu’à mille avant de retirer son bandeau.

.............................

Louis a respecté la dernière consigne avant de se jeter sur son ordinateur pour monter sur Fessestivites et la remercier de sa visite. Il conclue espérer qu’elle reviendra souvent car ce fut un plaisir pour lui que de la servir de sa langue.

Pour Madame Maure, c’est un rayon de soleil qui entre en son logis lorsqu’elle découvre ce message privé. Enfin un qui ne la rejette pas, qui n’a rien contre les femmes grosses car elle en est convaincue, il sait maintenant qu’elle est « difforme ».

A raison d’une fois par semaine et selon le même principe, à l’aveugle pour Louis, ils se retrouvent ainsi pendant un mois et demi. A chaque fois, Madame Maure est aussi heureuse que Louis. Ce ne sont plus des messages privés qu’il lui adresse via Fessestivites, mais des déclarations d’amour.

Le sentant tomber amoureux, très gênée elle décide d’arrêter de tricher et de se cacher, de lui cacher qu’elle est vraiment énorme, carrément « difforme » d’après elle. Ne se sentant pas de prendre sa voiture et de rentrer chez elle après s’être faite virer, elle lui propose de venir chez elle. « Alea jacta est » arrive ce qu’il arrive s’est dit Madame Maure.

En le voyant arriver les bras chargés de fleurs et avec une bouteille, Madame Maure a les larmes aux yeux. Elle angoisse terriblement à l’idée de sa réaction lorsqu’il la verra pour la première fois depuis le début de cette relation particulière.

L’estomac noué, elle ouvre la porte, se cache presque derrière pour le faire entrer. Lorsqu’il la voit pour la première fois, le visage de Louis n’affiche aucune réaction, hormis un grand sourire.

- Ceci est pour vous Maîtresse ! Lui indique Louis en souriant encore.

- Tu me trouves comment ?

- Très belle Madame ! Répond Louis spontanément.

- Ne te moques pas de moi s’il te plait ! Répond fermement Madame Maure dont les yeux deviennent noirs de colère.

- Vous avez un visage d’ange, des yeux à faire fondre la banquise et des cheveux à faire damner tous les saints. je vous aime Madame.

- C’est vrai, tu es sincère ? Tu ne dis pas ça pour me faire plaisir ? Je suis difforme tant je suis grosse, comment peux-tu m’aimer ?

- Madame, j’ai une faveur à vous demander !

- Tu veux partir c’est ça ? Demande Madame Maure s’attendant au pire tant elle est complexée.

- Puis-je vous embrasser ?

Les yeux de Madame Maure s’embuent de larmes à cette question, sa gorge se serre, elle ne peu plus parler. Louis a compris le problème de sa Maîtresse. Il pensait juste lui faire la bise sur les joues mais il va en être autrement, l’horrible mot « difforme » résonne encore dans sa tête.

Il prend alors la décision de ne pas attendre la réponse. Il pose les fleurs et la bouteille sur le sol dans l’entrée, pousse la porte qu’il claque et la prend dans ses bras pour l’embrasser sur la bouche. Madame Maure est comme privée de toute énergie, sans possibilité d’accepter, de refuser, de fuir ce baiser, elle a perdu pieds et se laisse embrasser et serrer contre lui.

Ce baiser dure longtemps, ce n’est pas « une pelle » qu’il lui roule, c’est une vraie déclaration d’amour.

- Alors c’est vrai, je te plais vraiment ? Mon corps ne te rebute pas ? Demande Madame Maure en essuyant ses yeux.

- Madame, je vous aimais avant de vous voir ! Maintenant, je vous aime encore plus. Est-ce suffisant comme réponse ? Conclue Louis en l’embrassant à nouveau avant de lécher ses larmes.

- Tu seras puni pour m’avoir embrassée sans ma permission ! Répond Madame Maure en essayant de retrouver une contenance digne d’une Maîtresse.

- Oui Maîtresse, mais ce soir, laissez-moi vous câliner librement. Laissez-moi libre de vous donner de l’amour et de la tendresse. Exceptionnellement, oubliez que vous êtes Maîtresse, vous me punirez plus tard ! Demande Louis en la serrant à nouveau dans ses bras.

Madame Maure fait un simple « oui » de la tête, elle s’attendait à tout sauf à ça. Louis ramasse les fleurs et la bouteille avant de la conduire dans son salon où il la prie de bien vouloir s’asseoir sur son canapé. Ayant repéré des verres dans le buffet vitré, il prend l’initiative d’en attraper deux et d’ouvrir la bouteille de champagne qu’il a emmenée pour les servir. Il lui tend un verre de champagne et porte un toast à leur rencontre. Les yeux dans les yeux ils trinquent et le boivent sans dire un mot.

Louis pose son verre, retire celui des mains de sa Maîtresse avant de s’agenouiller entre ses jambes pour lui faire un gros câlin tout sage en posant sa tête sur son gros ventre. Madame Maure ne sachant que dire se met à caresser ses cheveux. Louis se redresse et l’embrasse à nouveau. Il s’interrompt un instant pour lui glisser dans l’oreille, qu’un soumis aussi entreprenant devrait être sévèrement puni.

Madame Maure le repousse aussitôt, lui ordonne de se mettre intégralement nu et de s’allonger sur le tapis. Louis la regarde sans comprendre mais s‘exécute. Elle plonge la main dans son chemisier, retire la cage de chasteté puis, en le regardant droit dans les yeux, prend son sexe dans sa bouche pour lui faire une fellation.

- Mais madame, c’est à moi de faire ce genre de chose ! Crie presque Louis à son tour très gêné.

Madame Maure se redresse, lui met une gifle de principe avant de lui dire qu’une Maîtresse fait ce qu’elle a envie, sans avoir à demander à son soumis si cela lui plait ou non puis ajoute : « j’en ai envie depuis le début ».

.........................................................

Louis ne devait passer que la soirée, il y passera le week-end. Fessé pour avoir osé embrasser sa Maîtresse sans permission, il est ensuite puni en devant « la manger de partout ». Le dimanche soir, Madame Maure ne tient plus, elle retire la cage de chasteté de Louis, lui enfile un préservatif et le chevauche comme une damnée.

Ce câlin purement sexuel n’est que le premier d’une longue série. Ayant trouvé la f o r c e de faire appel à la chirurgie, Madame Maure s’est fait poser un anneau gastrique. Elle rayonne de bonheur, tout comme Louis qui n’est toujours pas gêné qu’elle ait quelques kilos en trop. Au contraire, il se plait à lui dire « j’aime quand il y a quelque chose à toucher », ce qui à chaque fois lui vaut une punition de principe.

TSM

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Faire des rencontres BDSM

Par abcplaisir - Publié dans : Chasteté homme et femme - Communauté : Chasteté
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 19:11

La honte d’un gilet jaune même pas casseur

 

Un gilet jaune soumis à une sévère Maîtresse se rend en couche à la manifestation aux Champs Élysée à paris. Une erreur fatale va lui faire vivre un enfer.

 

Lors de l’épisode 3 des gilets jaunes, mes convictions m’ont poussé à quitter mon confort pour les rejoindre. J’ai donc demandé à ma Maîtresse comme une faveur de me retirer ma cage de chasteté ce week-end là. Elle n’a rien voulu savoir. « Une punition est une punition, tu as pris une semaine de cage supplémentaire, assume » a été sa seule réponse.

Comme je m’étais engagé à rejoindre des copains, j’étais devant un conflit, non pas social mais personnel. Y aller et prendre le risque d’avoir des soucis, ne pas y aller et me faire traiter de dégonflé. Le souci de la cage de chasteté, une BON45 achetée sur ABCplaisir, c’est que pour faire pipi il faut s’asseoir. Ne pas le faire, c’est prendre le risque de mouiller son pantalon.

A ce problème de « position », s’ajoutait celui de prendre le risque d’être vu avec ma cage de chasteté. En effet, nous les mecs, on peut se soulager derrière un arbre ou une voiture sauf que là, avec des milliers de personnes autour de moi, pour la discrétion ...... Dépité, j’avais pris la décision de me faire porter pâle le vendredi, ainsi les copains me croiraient réellement malade.

Sauf que, avec mon salaire de misère, perdre une journée de travail risquait d’irriter sérieusement mon banquier et de créer un conflit social entre lui et moi. Sur ce coup là, aller manifester devant la banque n’aurait rien changé. Que faire ?

La solution m’a sauté aux yeux lors d’un de mes surfs sur Fessestivites en matant des photos. Il y a des soumis qui, sous cage de chasteté, mettent aussi des couches. Ce sont parfois leurs nurses qui imposent le dispositif de chasteté à leur « bébé » sous prétexte, qu’un bébé cela ne se masturbe pas. Je monte donc sur Abkingdom, un site dédiée aux ABDL pour collecter des informations pratiques.

J’ai donc passé une soirée entière à lire les forums, puis étudier dans la rubrique shopping les marques de couche. Il m’en fallait une qui ait une grande contenance tout en étant discrète. Après m’être brûlé les yeux sur l’écran pendant des heures, le souci des délais de livraison se sont posés. Nous étions mardi soir, il fallait à tout prix que je les ai avant le vendredi pour faire les tests. Sauf que, avec les barrages « des gilets jaunes » si la livraison était perturbée, je l’avais dans le ... l’os pardon. Les seules solutions pour être sûr de moi étaient donc la pharmacie ou le supermarché.

Le mercredi soir après ma journée de travail, la queue encagée entre les jambes, me voilà donc parti au supermarché plutôt qu’à la pharmacie pour cause de finances dépressives. J’ai bien failli abandonner l’idée de rejoindre les copains deux douzaines de fois. Dans le rayon et lors de mon passage en caisse, j’étais blême. C’était comme si tout le monde me regardait alors que je ne portais pas encore de couche. Et, comme il n’y a plus de sacs en plastique, j’avais prévu un sac à dos pour le retour.

J’ai eu l’air c.... le paquet de couche n’est pas rentré dedans, même si, j’ai pu m’y dissimuler tant j’avais honte. Juste avant de prendre le métro, j’ai bien failli baisser les bras, tant le courage me manquait. Finalement, je suis rentré à pieds sous la pluie ! Celui qui me dit que les soumis n’ont pas de c.... courage, je lui fais bouffer mes couches ! (Usagées faut pas déconner, je les ai payées en raclant les fonds de tiroir comme l’on dit).

Arrivé à la maison, pressé de les essayer pour voir si elle allait se voir, j’en ai mis une de suite. Ce n’est pas facile quand on n’a jamais mis ce truc. Une fois devant la glace, je me suis dit que finalement, avec mon pantalon de survêtement, cela devait passer inaperçu. J’étais sauvé.

De retour sur Abkingdom, je suis allé voir si certains avaient des astuces pour que cela ne se voit pas. Un body semblerait être une solution sauf que je n’avais plus de sous et que cette idée ne me séduisait pas du tout. Mon premier pipi couche fut très compliqué à faire. Même si je fais des trucs un peu fous comme du selfbondage, là, j’étais bloqué. Bloqué comme si j’avais honte et peur que l’on me voit volets fermés. Deux bières plus tard, j’avais la vessie prête à exploser et .... toujours impossible de la libérer. J’ai même essayé de me mettre un vibro sur la couche, en vain, à part faire « « criser » » Popaul dans sa BON45, je n’y arrivais pas. Il fallait à tout prix que je me débloque.

Ayant toujours un jeu de clé des menottes d’ABCplaisir et de mes cadenas au congélateur, j’ai donc décidé d’employer les grands moyens solitaires. J’ai sorti les chaînes, mes menottes et je me suis mis nu avec la couche comme seul vêtement. Pour trouver le courage, je me suis descendu une autre bière avant d’enchaîner mes chevilles que j’ai verrouillées sans tarder. J’ai mis la petite chaîne à ma taille que j’ai cadenassée, puis j’ai fixé le bout restant à mes chevilles pour me faire un Hogtied. Avant de changer d’avis, j’ai bloqué mes menottes dans les chaînes et j’ai entravé mes poignets. Si en temps normal j’aime me faire des plans de ce type, présentement, ce soir là le plan manquait de charme.

Le froid a fait cause commune avec les bières pour me martyriser. Et pour cause, je ne chauffe presque plus pour cause de pénurie de trésorerie. C’est donc en rampant comme un vers le glaçon emprisonnant les clés que j’ai eu une première fuite. Lorsque j’ai mis mes doigts dans le bol d’eau glacée, et retrouvé un glaçon à peine fondu, j’ai fini par craquer et ouvrir les vannes de la honte. Humm c’était chaud ça au moins.

Dix minutes plus tard, le glaçon sympathique m’a rendu les clés et j’ai pu me libérer. Le souci a été qu’en me levant, j’ai du rattraper la couche qui se faisait « la malle ». ce qui m’a fait plaisir, c’est qu’il n’y avait pas d’urine par terre malgré mon gigantesque abandon fasse à ma vessie en colère. Ce premier conflit social interne résolu, le syndicat moral a baissé les bras, j’en ai remis une autre pour affiner les réglages et recommencer pour « mieux voir » les sensations. Finalement, j’ai aimé la sensation du pipi couche et j’ai même dormi avec après avoir mangé une boite de petits pois.

Rassuré et après une autre tentative avec, en prime, une courageuse balade en ville avec une couche (vers 23 heures...) j’ai confirmé ma venue à la manifestation du samedi.

L’ERREUR FATALE

Dans mon sac à dos, je m’étais pris un saucisson et un morceau de gruyère avec une baguette de pain. Jusque là rien de gênant me diriez-vous, sauf que pour couper le saucisson j’avais pris mon petit cran d’arrêt. Il n’a rien d’une arme et il n’est pas plus gros qu’un petit opinel. Au fond de mon sac à dos, j’avais enroulé une couche de plus dans une serviette au cas où, j’aurais des fuites et la possibilité de trouver un endroit pour me changer. Une bouteille d’eau en plastique est venue compléter mon pique-nique.

A 9 heures j’étais au rendez-vous avec ma couche dissimulée sous mon pantalon de survêtement et un énorme pull-over qui descend bien dans le dos. Après les bises d’usage, nous voilà partis en métro pour sortir trois stations avant les Champs Elysées. A la sortie du métro, il y avait .... des bleus armés jusqu’aux dents. Tranquille, peinard, j’ouvre mon sac à dos en leur disant « pouvez fouiller les mecs, y a que d’la bouffe vue que les restos veulent pas de nous ».

Et là, trente secondes plus tard, j’avais le nez collé contre le mur, deux flics me fouillaient manu militari. Ma couche les a intrigué et sentir quelque chose de dur à l’intérieur encore plus. L’un d’eux s’est reculé d’un seul coup et a braqué son arme sur ma tempe en disant qu’au moindre geste j’étais mort.

- Tu caches quoi dans ton pantalon connard ?

Comprenant que c’était de ma cage de chasteté dont ils avaient peur, j’ai bien essayé de leur glisser doucement que c’était personnel. Essayez de demander de la discrétion à des flics, c’est inutile. Ils ne connaissent pas le mot. C’est vraiment un mot nouveau pour eux. Même si j’avais des envies de les fracasser, un flingue braqué sur soi, cela calme et motive pour donner des réponses claires. Par chance, mes copains étaient eux aussi malmenés par les bleus et n’ont pas entendu ma réponse. Le flic n’a pas hésité et m’a carrément palpé l’entrejambe à travers la couche.

Le flic brandissant mon cran d’arrêt m’a allumé grave, ses deux potos en costume m’ont embarqué comme si j’étais un terroriste. C’est à peine si j’avais les pieds qui touchaient par terre. Et là, dans le camion grillagé, je me suis fait un plaisir énorme : j’ai pissé dans un camion de flics. Il doit pas y en avoir beaucoup sur ABK qui peuvent se vanter de ça LOL. Bon, d’accord, j’étais quand même dans mes petits souliers, des baskets en l’occurrence.

Arrivé au poulailler, j’ai été conduit dans un bureau sinistre où il m’a été clairement indiqué que j’étais en garde à vue. Le flic m’a proposé pour gagner du temps de lui faire voir ce que j’avais dans mon pantalon. Comment dire.... ? Comment dire que j’étais gêné ? Pour éviter de gros soucis et la visite médicale sous contrainte physique, j’ai accepté. Ils avaient la main sur leur arme quand j’ai ouvert mon pantalon pour leur faire voir ma cage de chasteté dans une couche.

Rassurés et amusés, ils ont repris leur procédure : prénom du père, prénom de la mère et patati et patata...... Dans son procès verbal, mentionnant ma triste condition, j’ai tenu à ce qu’il indique que j’avais bien un saucisson et que sans un couteau, je n’aurai jamais pu le couper. Il en a convenu et l’a indiqué tout en me disant que je risquais d’être condamné. Après m’avoir fait retirer mes lacets, il m’a conduit dans une cellule où nous étions six.

L’HORREUR

Si la couche a tenu, et pour cause je n’ai plus osé boire. Dans l’après-midi, le flic est venu me chercher, m’a menotté avec des menottes même pas de chez ABCplaisir (MDR) pour m’emmener au tribunal pour une comparution immédiate. Le procureur a commencé par m’incendier avant de me donner la parole. Et là, pour limiter les dégâts, j’ai déballé toute la vérité, rien que la vérité.

- Monsieur le juge, je comprends que ma situation peut laisser à penser que j’étais venu pour me battre et être violent. Il n’en est rien. Si je porte une cage de chasteté qui n’est pas une arme, c’est parce que ma Maîtresse n’a pas voulu me l’enlever. Je ne peux le faire sans qu’elle me donne les clés, cela ne peut donc pas être une arme. (Rire du scribe, la nana qui tape sur son ordinateur). A cela se rajoute que le couteau que j’avais, n’était que pour couper le saucisson que j’avais dans mon sac et qui a été mentionné dans le procès verbal, indiquant son contenu.

- Et la couche ? A demandé le procureur amusé.

- Ben c’est parce que quand j’ai peur, j’ai des fuites urinaires. (Gros mensonge) Reconnaissez s’il vous plait que je n’ai pas le profil d’un casseur. Je suis innocent et surtout pas un criminel ou une personne agressive. C’était ma première manifestation.

- Bien, jeune homme, je vais vous charger d’une mission. Vous direz à votre Maîtresse que lorsqu’il y a une manifestation, elle vous garde avec elle et vous punisse pour de mauvaises intentions. Affaire suivante ! A indiqué le juge très amusé.

Le soir même j’étais libre, j’ai pu récupérer mon sac à dos et même la deuxième couche puis mon saucisson que j’ai mangé seul à la maison. Une semaine plus tard, j’avais un rappel à la loi sur la détention d’arme. OUF !

OUF mais les copains ont voulu savoir ce que j’avais dans le pantalon. Je leur ai indiqué de demander au juge.

...................

Ce texte est une fiction, je suis allé plusieurs fois manifester avec les gilets jaunes certes, mais pas à Paris et sans cage de chasteté ni couche.

TSM amusé qui a rebondi sur l’actualité et quelques fétichismes

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Par abcplaisir - Publié dans : Chasteté homme et femme - Communauté : Chasteté
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 19:10

La belle-fille surprise en plein selfbondage

Cette histoire érotique aborde les réactions d’un Maître découvrant que sa belle-fille fait du selfbondage puis des choses qui ne se font pas et méritent une fessée en plus d’une punition.

Suite à l’annulation d’un rendez-vous, mon après-midi de commercial était perdue. Ne pouvant rien faire de rentable de ce temps, j’ai décidé de rentrer à la maison. La voiture garée et le portail fermé, j’entre dans la maison et m’étonne que l’alarme de soit pas mise. Sur le coup, j’ai pensé que la fille de ma femme avait encore oublié.

Maud est une fille âgée de 23 ans qui se complait dans les études et qui trouve que vivre chez papa, maman est bien confortable..... Mais bon, c’est comme ça, j’ai pris la femme et la fille qui nous gêne quand même beaucoup dans nos activités intimes et BDSM.

Après avoir posé mon sac et mes clés, je me rends dans notre chambre pour me changer et enfiler une tenue adaptée au jardinage. Voir notre coffre à jouet BDSM ouvert puis une partie de nos accessoires et sextoys étalés sur le lit m’a surpris. Marie ne fait jamais ça, elle tient trop à préserver sa fille en lui cachant nos jeux ! Après réflexion, furieux, je pends les escaliers pour monter dans la chambre de Maud afin d’en savoir plus et surtout lui passer un savon car il ne pouvait y avoir qu’elle pour avoir fait ça !

Les clés de menottes récemment achetées sur ABCplaisir étaient posées dans le couloir. Elles sont facilement reconnaissables car j’ai monté un gros porte-clé dessus pour les trouver facilement dans la caisse à jouet. J’avance d’un pas décidé et les poings serrés bien décidé à incendier l’étudiante irrespectueuse. La porte de la chambre de Maud était ouverte, j’entre donc sans frapper et là, surprise !

Maud était quasiment nue, couchée sur le côté, avec un bandeau posé sur ses yeux, le bâillon bouche ouverte dans la bouche et les mains menottées dans le dos accrochées à une chaîne lui servant de string. Histoire de se donner un maximum de plaisir, cette garce avait aussi pris les pinces à sein qui faisaient un très bel effet sur sa poitrine généreuse.

Sa musique étant à fond comme d’habitude, elle ne m’a pas entendu arriver. Surpris, au lieu de l’incendier de suite, j’ai pris le temps d’apprécier ce spectacle érotique qu’elle m’offrait sans s’en rendre compte. La moquette étouffant mes pas, je l’ai contournée discrètement et, en m’approchant de son ordinateur, que vois-je ? Cette salope surfe sur Fessestivites avec notre compte !

Adieu notre intimité ! Mais ça, c’est la faute de Marie qui n’a pas fait attention et a enregistré le mot de passe sur le PC familial malgré mes mises en garde. Là, j’avoue que je suis de plus en plus furieux car elle a du voir les photos de sa mère en mauvaise posture.

La colère montant en moi a fait que je n’ai plus de remords ni ma retenue habituelle sur le respect de la discrétion et de la vie intime de la fi-fille délurée. Je consulte l’historique de son PC et constate que les photos de femmes soumises sexuelles et de selfbondage font parties de ses envies. Il n’y a pas que les photos d’ailleurs, elle a aussi regardé des vidéos y compris celle que nous avons postée et qui est réservée aux amis.

Sa putain de musique de malade crachant des insanités d’une vulgarité à faire rougir un régiment de parachutistes me cassant les oreilles, je la coupe et la regarde en me demandant ce que je dois faire. Maud a soudain peur, essaye de parler mais le bâillon ne l’aide pas. Pour commencer de la punir, je ne fais rien pour la rassurer et ne parle pas. Cette idiote tire sur les menottes comme si elle pouvait se libérer, réflexe bien inutile, les menottes d’ABCplaisir c’est du solide.

Je me lève de sa chaise de bureau pour aller chercher l’appareil photo. Maud se recroqueville et gémit en entendant mes pas en pensant sûrement que le « cambrioleur » pourrait avoir des envies.... Des envies j’en ai une oui, lui donner une bonne leçon de savoir vivre et de la punir. Une minute plus tard, quand j’entre dans sa chambre, elle n’a guère bougé, elle s’est rapproché des clés de la sortie en espérant ramper rapidement jusqu’aux clés. Sauf que les dites clés sont maintenant dans ma poche. Des photos j’en fais plein, de ses mûrs, de son bureau et surtout pas d’elle mais ça, elle ne peut le savoir. J’approche l’appareil de sa tête et le mets en mode rafale pour qu’elle entende bien le bruit.

Après avoir posé l’appareil sur son bureau, je retire le bandeau à velcro qu’elle n’a pas pu retirer en essayant de fuir. Ses yeux mouillés de larmes grands ouverts me fixent, je peux y lire l’angoisse et la honte.

- Alors salope comme ça, tu fouilles dans nos affaires ? Le respect de l’intimité des autres tu ne connais pas ?

Maud bouge les épaules en essayent de s’excuser mais avec le bâillon, si je comprends le sens de ce qu’elle veut dire, cela reste du yaourt.

- Et ça c’est quoi salope ? Tu fouilles le PC de la maison pour aller voir nos surfs et le navigateur pour aller y chercher nos mots de passe ?

La fautive se désespère et continue de pleurer. N’osant plus me regarder dans les yeux elle regarde la moquette, lui trouvant sûrement un grand intérêt. Je reprends l’appareil photo et lui fait croire que je prends quelques clichés de l’écran de son ordinateur.

- Que tu ais une vie sexuelle est normal. Que tu ais envie de faire du selfbondage je m’en tape, c’est ta vie et ton corps. Que tu fouilles dans nos affaires et notre intimité est un scandale. Je vais te laisser deux choix. Soit je te punis comme tu le mérites et crois moi tu t’en rappelleras toute ta vie, soit je dis tout à ta mère et lui fait voir les photos. J’ai fait aussi des photos de notre chambre avec tous nos jouets intimes posés sur le lit. Je vais te retirer le bâillon, cela te laisse le temps de réfléchir.

- Je suis désolée, j’ai honte, je suis une grosse conne, pardonne-moi s’il te plait ! Me demande Maud dès que je lui ai retiré le bâillon.

- Je te donne la punition que tu mérites et je garde ça pour moi en effaçant les photos ou je dis tout à ta mère et lui fait voir ce que sa fille a fait ?

- J’accepte mais ne lui dit pas, s’il te plait.

- Tu acceptes quoi ?

- Que tu me punisses....

- Que je punisse la vilaine fille ! Répète !

- Que tu punisses la vilaine fille ! Répond Maud d’une toute petite voix en baissant les yeux.

- Je vais te donner la fessée que tu mérites pour commencer !

- Nonnnn, pas ça..... supplie Maud.

Je l’attrape pas le bras et la soulève quasiment pour la coucher sur mes genoux pour lui donner la fessée méritée.

- Oh mais que vois-je tu t’es aussi mis le rosebud coeur de maman dans les fesses ! Mais putain, la gêne ne t’étouffe pas toi !

Et là, ma main et partie naturellement à la rencontre de son petit cul magnifiquement dessiné. Ce n’est pas une fessée plaisir ou érotique, non, ce sont de vraies claques appuyées qui s’abattent sur son fessier. Maud crie et essaye de mettre ses mains que je bloque aisément avant de continuer. En voyant la couleur de ses fesses devenir rouge foncé, je prends conscience qu’il est temps d’arrêter. C’est vraie que j’ai bien laissé aller ma colère sur le joufflu aussi joli soit-il. Maud pleure mais ne réagit plus. Aucune supplique et aucune demande de pardon ne vient conclure cette correction mais je ne peux lui expliquer qu’il est de tradition de remercier le Maître....

Comme elle ne me remercie pas,.... et ne s’excuse plus, l’envie de rajouter une petite touche de sadisme me vient. Je la fais glisser de mes genoux pour la déposer sur le sol. Son regard apeuré cherche à me sonder quand elle comprend que j’en ai pas terminé avec elle.

- Ne bouge pas je reviens !

Une idée m’a traversé l’esprit, compléter son selfbondage et rendre sa libération un peu douloureuse. Pour cela, j’ai besoin d’une chaînette et d’un cadenas que je vais chercher dans notre chambre. A mon retour, Maud n’a pas bougé, elle attend le verdict comme une condamnée. A la vue de la chaînette que je passe dans celle de ses pinces à sein, elle se met à supplier mais je n’en ai que faire. Je l’oblige à se pencher en avant et la fixe aux menottes de chevilles.

- Regarde, je vais être gentil avec toi, je vais remettre les clés où tu les avais mises et te laisser te libérer toute seule. Quand tu seras libre, tu prendras une douche parce que là tu pues la femelle, tu t’habilleras, tu iras tout ranger et viendra me faire un câlin. A partir de là, tout sera oublié. Amuse-toi bien !

Dans ses yeux, je peux lire la haine, mais la peur d’une autre punition lui interdit de formuler tout ce qu’il lui passe par la tête. Je la laisse donc en mauvaise posture en sachant qu’elle va déguster pour ramper jusqu’aux clés et qu’à chaque mouvement elle tirera plus ou moins sur les pinces accrochées à ses tétons.

Une heure plus tard Maud débarque dans le salon, ses yeux sont encore rouges, à mon avis pas autant que ses fesses que je n’ai pas épargnées.

- Je suis vraiment désolée, ce que j’ai fait est lamentable, je te demande de me pardonner. Murmure Maud les yeux baissés.

- Viens t’asseoir sur mes genoux, je crois qu’un gros câlin nous fera du bien à tous les deux.

- Tu me pardonnes ? Me demande Maud en appuyant sa tête contre mon épaule.

- Je pardonne quoi ? Il s’est passé quelque chose ?

- Ben je crois que tu as des photos qui le prouvent.

- Ah bon ? Je ne crois pas. Regarde toi-même !

Maud attrape aussitôt l’appareil et visionne les photos des murs de sa chambre.

- Mais tu ne m’as pas photographiée ?

- Non, te punir est une chose, t’humilier aux yeux de ta mère en est une autre que je ne ferai jamais !

- Pardon................... Crie ma belle-fille en se lovant dans mes bras pour me faire un câlin comme si j’étais son vrai père.

EPILOGUE

Maud et moi sommes devenus plus proches dans notre relation mais en tout bien tout honneur que l’on se rassure. Je lui ai proposé de me parler librement de sa sexualité que je pouvais comprendre en lui expliquant que mon but était de lui éviter les pièges et éventuellement de mauvaises rencontres. Elle était très gênée mais comme j’ai insisté sur le fait que je voulais juste être un garde-fou pas un censeur et encore moins quelqu’un qui la juge, elle a fini par accepter de me parler un peu.

Pour le selfbondage, je lui ai aussi proposé de m’adresser un texto codé quand elle en fait puis le même texto quand elle est libérée pour lui servir de sécurité. Ce qui m’a surpris le plus, c’est qu’elle le fasse et je me demande si elle n’a pas envie d’appeler à l’aide..... chose qui, finalement, me gênerait terriblement car c’est la fille de ma femme.

TSM

Scénario et idée de selfbondage

500 vidéos de selfbondage

Rencontres BDSM

Forum selfbondage

Matériel de selfbondage

Par abcplaisir - Publié dans : Le monde de la fessée - Communauté : La fessée
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Dimanche 13 janvier 7 13 /01 /Jan 19:08

Télé portation infernale une histoire érotique hard

« Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu ».

Cet email, Max l’envoie à tous ses amis d’Abkingdom et même sa famille en priant le ciel pour que l’on vienne le sauver. Le « windaube 10 » de son ordinateur a planté au plus mauvais moment. Si personne n’intervient dans les heures qui suivent, il risque fort d’être électrocuté.

Il a beau se battre avec son ordinateur, il n’y a qu’une infime partie des programmes qui fonctionne. Il a pu envoyer un email bien trop court. Il aurait voulu donner des informations supplémentaires mais, au moment où il voulait aller à la ligne pour expliquer sa situation, l’ordinateur a commencé à faire des bips. Max a donc fait partir son message incomplet en priant le seigneur pour que cela marche, que l’on vienne tant qu’il est encore temps.

Bloqué dans le microprocesseur, sa vessie a rendu l’âme, sa couche commence à fuir, il sait pertinemment qu’il ne pourra pas se retenir indéfiniment. Si son urine coule sur la carte mère, il y aura un arc électrique, ses molécules brûleront instantanément, sa vie s’arrêtera de la pire des façons : grillé !

Mais comment en est-il arrivé là ?

En 2021, les ingénieurs informatiques sont parvenus à téléporter un rat à travers la France. Envoyé de Marseille à Paris en quelques secondes, il n’a eu aucune séquelle de cette expérience.

En 2022, le gouvernement français et l’Europe débloquent des fonds colossaux, si la téléportation fonctionne, ce sera la fin de la crise pétrolière, de la pollution, des embouteillages et de bon nombre des accidents de la route.

En 2024, les premiers systèmes sont en vente sur le marché. Max ayant un gros salaire fait parti des premiers à s’équiper. Six mois plus tard, 20 % de la population a acheté la cabine et le système. En quelques minutes, on va de Londres à Paris, de Bruxelles à Marseille, des familles de retrouvent sans prendre l’avion, le train ou la voiture.

Dans le monde des rencontres, les choses évoluent également à vitesse grand V. On peut aller chez son amant vers 23 heures pendant que monsieur dort et revenir vers 1 heure du matin après avoir fait des galipettes. Ces évolutions touchent beaucoup de fétichistes comme le monde de la fessée, avec des fesseurs qui convoquent les « vilaines filles » en 3 clics, les Maîtresses qui convoquent leur soumis pour leur ménage et quelques punitions.

Les ABDL se retrouvent aussi en quelques clics, et c’est ce que Max a fait en fin de journée. Il s’est téléporté chez des amis DL qui le « dominent » par jeux. Lorsqu’il était chez eux, ils l’ont mis en couche et l’on fait boire deux énormes biberons d’eau avec un diurétique. Ils l’ont ensuite renvoyé chez lui avec son pantalon refermé par une chaînette et un cadenas à combinaison. Louise devait lui adresser la combinaison du dit cadenas vers 8 heures le lendemain.

Le soucis est, qu’arrivé chez lui, au coeur même de son ordinateur, au moment de reconstruire son corps molécule par molécule, son « windaube 10 » a planté. Il est donc virtuellement bloqué en couche dans son processeur. Etant en phase de reconstitution, ses organes et son cerveau fonctionnent, il ne restait plus au logiciel, qu’à lui redonner sa taille réelle dans le « décompresseur » installé dans son salon.

Sa couche commence vraiment à fuir, et, comme il n’y a pas de toilettes dans les ordinateurs, il risque d’être électrocuté.

.............................................

- C’est quoi cet email de ton ami d’enfance ? Demande Sam à sa femme ?

- Fais voir ?

Lorsque Mirabelle lit : « Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu », elle s’inquiète car son frère a encore du « déconner » avec son PC et sa nouvelle machine.

Pour s’assurer que ce n’est pas une blague, elle essaye de l’appeler sur son mobile puis sur son téléphone fixe. En vain, elle n’obtient aucune réponse. Elle lui adresse un email qui, lui aussi reste sans réponse.

- Qu’est-ce qu’on fait ? demande Sam ?

- On va aller voir ce qu’il lui arrive ! Répond Mirabelle.

- Je suis sûr que c’est une blague, ton « potos » nous ennuie.

- Peut-être mais je vais quand même aller voir.

La voiture de Mirabelle roule sans encombre, à onze heure du soir, les rues sont désertes. Lorsqu’elle arrive une heure plus tard devant chez son ami, sa voiture est garée dans son jardin. Elle sonne mais n’obtient aucune réponse. Elle tente encore en vain de téléphoner mais n’obtient aucune réponse. Elle prend son double de clés et entre chez son ami d’e n f a n c e, en criant « Coucou Max, c’est moi ».

Aucune réponse. Elle s’affole un peu, l’appelle encore en commençant à visiter sa maison en craignant le pire, qu’un accident soit arrivé. Il n’y a personne mais son sac est accroché dans l’entrée à côté de son téléphone mobile en charge.

- Max ne part jamais sans son téléphone ! Dit-elle à haute voix pour elle même avant de crier « putain tu es où, qu’est-ce qu’il t’arrive » ?

Affolée, elle retourne au salon et s’étonne de voir un paquet de couche posé à côté d’un pantalon et d’un slip puis un tee-shirt jetés sur le canapé. Par acquis de conscience, elle refait le tour de la maison, la salle de bain et les toilettes puis même sous son lit. Rien !

Mirabelle rappelle son mari, lui raconte que quelque chose ne tourne pas rond et lui demande de lui relire son email de détresse.

« Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu ».

- Ben écoute, redémarre son ordinateur, il y a peut-être un message qui s’affichera. Lui répond Sam pressé de retourner voir son film.

Elle redémarre donc l’ordinateur sans en comprendre l’intérêt. Après tout, que risque t’elle a le faire. Lorsque l’espèce de cage en métal se met à clignoter, Mirabelle s’affole et part se protéger derrière le mur de l’entrée. De la fumée commence à sortir de l’ordinateur, elle se bouche les oreilles et ferme les yeux quand des éclairs de lumière illuminent le salon.

- Oh putain de windaube 10 ! Crie soudain son ami dans le salon.

Mirabelle passe alors la tête par la porte pour voir ce qu’il se passe. Max est assis par terre à moitié nu, il semble mal en point. Oubliant sa peur, elle se précipite pour lui porter secours, il la rassure en lui disant qu’il va bien en lui tendant la main pour qu’elle l’aide à se relever.

- Tu te travestis maintenant ?

- Quoi ? Demande Max.

- Ben sauf erreur, le brésilien en dentelle que tu portes ne fait pas très viril.

Max se regarde et constate avec stupeur qu’elle a raison. Pire encore, que ce n’est pas ses jambes et que ses ongles de pieds sont vernis ! ! !

- Oh mon dieu, qu’est-ce qu’il m’arrive ?

Mirabelle ne comprenant pas est pliée de rire, pour elle, son ami s’est amusé et s’est travesti. Elle se moque de lui en lui disant qu’elle est « belle » comme ça.

Max ne rigole pas, il est même particulièrement affolé. Il n’a plus son sexe ! ! ! ! ! Son sexe a disparu !!!!!!!!!!!! Il plonge sans hésiter ni gêne sa main dans le brésilien et découvre avec stupeur qu’il a un vagin à la place de son sexe. Mirabelle toujours pliée de rire lui dit qu’il pourrait attendre qu’elle soit partie pour se masturber. Pour l’arrêter dans ses moqueries et son fou rire, il baisse le brésilien pour lui faire voir son entrejambe dépourvu de sexe masculin.

- Mais qu’est-ce que tu as fait ? Tu veux devenir une femme ?

- Mais non putain, je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Regarde mes jambes, ce ne sont pas les miennes ! J’ai une tronche de nana, franchement ?

- Eh non, mais qu’est-ce qu’il t’est arrivé en bas ?

- Je ne sais pas. J’ai fait de la téléportation pour aller me faire une nana que j’ai rencontrée sur le net ! Ment Max pour ne pas avouer la vérité. Et mon windaube 10 a planté quand je revenais à la maison. J’étais bloqué dans l’ordinateur et c’est pour ça que j’ai envoyé des emails de l’intérieur.

- Désolée mais je ne comprends pas tout de ton histoire. Tu me prends pour une conne ou quoi ?

Max explique à son ami qu’il s’est acheté le « téléporteur connecté » et qu’il a commencé à voyager comme ça. Il a même pu rencontrer des filles habitants à 500 kilomètres de chez lui avec cette nouvelle invention et revenir en moins d’une minute.

- Cela te fait quand même un très joli petit cul cette histoire !

-Arrête de te moquer de moi. C’est une vraie catastrophe. Je ne sais pas comment je vais pouvoir faire pour retrouver le bas de mon corps. Regarde de mon nombril jusqu’aux pieds, ce n’est pas mon corps. Il y a eu un bug, les molécules se sont mélangées avec celles d’une fille qui devait voyager comme moi. Elle doit avec mon sexe et mes jambes.

- Pour sûr, se retrouver avec une bite à la place de sa choune, cela va lui faire drôle LOL ! Cela doit être une expérience amusante ! Conclue Mirabelle en se remettant à rire.

......................................

Mirabelle repartie en son logis, Max passe une partie de la nuit à essayer de résoudre son problème, mais en vain, il ne trouve rien sur le net mentionnant ce genre d’incident. Devoir attendre le lundi pour prendre contact avec le SAV le traumatise. Anéanti, les yeux rouges, il va se coucher sans même penser à se tripoter ou mettre une couche. La situation horrible qu’il vit ne lui donne aucune envie de jouer à quoi que ce soit. Épuisé par toutes ces émotions, il finit par trouver le sommeil.

La lumière du jour filtrant à travers ses volets le réveille dans un lit trempé. Son premier réflexe est de plonger sa main entre ses jambes, non, ce n’était pas un cauchemar. Il est bien dans la m.... En plus, la fille à qui appartient le bas de ce corps souffre d’énurésie. Qu’elle horreur. Entre jouer avec les couches et être réellement incontinent il y a un monde.

Son café à peine avalé, il replonge sur le net à la recherche d’informations et surtout, en espérant trouver une solution. Ses amis DL l’appellent comme convenu pour lui donner le code du cadenas du pantalon qu’il aurait du porter sur sa couche. Quand il leur raconte ce qu’il lui arrivent, ils ne le croient pas.

- C’est trop gros ton délire Max, arrête tes conneries.

- Mais je vous jure, si vous voulez, on peut même faire une cam !

Aussitôt dit, aussitôt fait, Max allume sa webcam et leur fait voir qu’il ne ment pas. Encore une fois, on se moque de lui alors qu’il est désespéré. Ils vont même jusqu’à le traiter de « pisseuse ». Fou de rage, il leur raccroche au nez et coupe la cam.

Alors qu’il poursuit ses recherches sur internet, un liquide chaud s’écoule sur son fauteuil et le dessous de ses cuisses. « Et merde, je me pisse dessus » ! S’écrit Max avant de foncer aux toilettes. Si d’habitude il secoue sa verge pour faire tomber la goutte, là il est obligé d’utiliser du papier toilette. Alors qu’il vient de finir ses mixions, pour la première fois il regarde avec un intérêt coquin son entrejambe féminin. Ses doigts s’insinuent entre les lèvres et partent à la découverte de son vagin. Plus perturbé qu’excité, il décide de prendre une douche et découvre qu’effectivement, il a un très joli petit cul. « Enfin, elle a un très joli petit cul » se corrige mentalement Max. A peine sortie de la douche, il se met une couche pour surfer tranquille en espérant que l’incontinence soit un accident. Avant de se remettre à son ordinateur, il change ses draps et aère sa chambre.

........................................

De l’autre côté de la terre, une fille désespérée est assise au bord d’un pont. Ce sont des passants qui interviennent juste avant qu’elle ne saute dans le vide devant un TVG. Emmenée aux urgences psychiatriques par la police, elle leur raconte son histoire de téléportation et de son retour particulier. A l’hôpital, ils sont habitués à voir des choses et les folies des patients. Ils lui ont retiré son pantalon et sa couche après avoir coupé le cadenas en disant qu’elle avait de drôles de jeu.

La visite médicale confirme ses propos. Elle n’est pas folle, elle a bien le haut du corps d’une vraie femme, sauf qu’en bas ......

En bas elle a un sexe d’homme, des jambes poilues et des fesses à faire fuir un régiment de retour de mission. Lina était fière de son corps et de ses jambes à faire damner un saint. Là, elle a du emprunter les chaussures de son frère pour sortir. A 20 ans, ce qu’il, lui arrive est bien plus qu’un cauchemar, c’est la fin de sa vie de femme. Elle a, tout comme Max, réalisé une téléportation pour aller voir son petit copain, un savant partit huit jours pour gérer des conférences en Australie.

........................

Ce n’est que vers midi que Max interromps ses recherches. Il n’aura pas d’autres choix que d’attendre lundi pour contacter le SAV de son « téléporteur connecté ». Sans raconter toute son histoire en détail, il a ouvert des posts sur des forums informatiques. On l’a pris pour un fou, un troll, d’autres lui ont dit qu’il allait pouvoir se faire bai....

Effectivement, la fille à qui appartient le bas de son corps a des soucis d’incontinence. Lorsqu’il tousse à cause du paquet de cigarettes fumé en un rien de temps, il a de petites fuites. La curiosité du coquin prend le dessus un instant sur la sérieuses problématique qu’est la sienne. Il plonge sa main dans la couche et repart à la découverte des sensations. Petit à petit, son majeur trouve la « bonne façon » de jouer avec le petit bouton des plaisirs féminins.

La couche gênant ses mouvements, il l’ouvre pour avoir plus d’aisance et partir à la conquête de nouvelles sensations. Max apprécie grandement les caresses circulaires, son majeur s’agite de plus en plus, et dans la dernière ligne droite, ressemble à celui d’un parkinsonien. Son corps est pris de tremblements puis, en bas, d’agréables contractions qu’il ne peut contrôler et lui font tourner la tête.

Essoufflé et en nage, il vient de découvrir le plaisir féminin. Sa gourmandise l’incite à recommencer, et, chose magique, cela fonctionne encore. La deuxième fois, au moment de l’explosion des sens, un jet jaillit de son sexe, mouille son bureau et ses cuisses.

- Mon dieu que c’est bon ! Murmure Max.

Bien décidé à en découvrir plus, il bondit presque de sa chaise pour se rendre dans sa chambre. De son tiroir à malice, il sort un petit gode acheté sur ABCplaisir pour quand il s’amuse avec une de ses copines pour se le mettre en bonne place. Il se l’introduit avec d’infimes précaution par peur d’avoir mal. Il n’en est rien, c’est même très bon, son chaton trempé par sa lubrification naturelle ne demande qu’à le recevoir. Cette fois, étendu sur son lit, c’est à deux mains qu’il se donne du plaisir en agitant le gode et en s’acharnant sur le clitoris. La vague plaisir arrive, elle monte lentement comme si elle partait de ses reins avant d’exploser dans son ventre et entre ses cuisses.

A bout de souffre après cette jouissance paroxystique, il abandonne le gode et, vidé de toute énergie, reste allongé sur son lit. Le gode toujours logé en lui s’échappe naturellement, générant encore des sensations devenant trop fortes.

- Ouahou les filles, quelle chance vous avez ! Murmure Max tout seul affalé sur son lit.

..............................

Ce n’est qu’après un petit somme réparateur qu’il se lève pour reprendre ses recherches sur internet. Même si le plaisir féminin est merveilleux, Max est bien décidé à redevenir ce qu’il était : un homme entier !

Constatant que le lit est un peu mouillé, par sécurité il remet une couche. Le souci est qu’elles sont maintenant trop grandes pour lui. Plutôt que d’ajouter du scotch pour quelle tienne bien, il enfile son pantalon lui aussi devenu trop grand. Par chance, sa ceinture lui permet de résoudre ce problème de taille. Le frigidaire ressemblant au désert de Gobi, il décide de sortir pour aller s’acheter à manger.

- Et merde, mes chaussures sont aussi trop grandes ! Crie Max fou de rage.

Pour résoudre son problème de repas, Max commande des pizzas qu’il se fait livrer. Sortir comme ça n’est pas possible, il a peur que l’on remarque quelque chose même s’il met des claquettes trop grandes.

....................................

La pauvre Lina se désespère dans sa chambre d’hôpital. Son frère a accepté d’aller chez elle et de fouiller son ordinateur. Promis, il ne dira rien aux parents et n’ira pas voir les dossiers photos. Après avoir passé des heures sur son ordinateur, il se résout à contacter Paul son petit ami le savant. Au départ, il ne le croit pas, lui demande d’arrêter de dire des inepties et de fouiller le PC de sa chérie en l’insultant de tous les mots peu courtois. Pour lui, ce qu’il fait est ignoble.

Devant l’acharnement du frère de sa chérie, il finit par accepter de lui téléphoner. Les larmes et la voix de désespéré qu’il entend au téléphone suffisent à le convaincre qu’il y a un réel problème. N’arrivant pas à joindre sa chérie sur son mobile, il appelle l’hôpital indiqué. Lorsqu’on lui passe Lina qui n’arrive plus à parler tellement elle pleure, il lui promet de prendre le premier avion et de la rejoindre.

Avant de partir d’Australie, il passe quelques coups de téléphone à ses amis en France. Deux ingénieurs et un architecte informatique puis un de ancien pot du CNRS se lancent dans des recherches pour collecter des éléments.

TROIS JOURS PLUS TARD

Le service SAV de la société « Téléportons » a remonté l’information à sa direction. Ils ont bien deux cas de défragmentation / refragmentation qui n’ont pas fonctionné. Ces gens ne sont pas de fous, Max a accepté de recevoir un des représentants qui ne savait plus où se mettre tant il était gêné. Paul, le savant ayant remué ciel et terre, la société monopolise toutes ses compétences pour au moins, essayer de comprendre ce qu’il a bien pu se passer.

Les domiciles de Max et de Lina sont investis par les techniciens. Leurs ordinateurs et « téléporteur connecté » sont démontés et emportés au siège de la société pour une étude approfondie.

La société « Téléportons » prend en charge tous les besoins de Lina et de Max. Ils leur font livrer des repas à domicile, leur offre un ordinateur à chacun pour leur permettre de ne pas être coupé du monde. En parallèle, ils contactent tous leurs clients pour leur demander de ne pas utiliser le « téléporteur connecté » qui pourrait être dangereux et si besoin, qui sera rappelé puis transporté à leur frais.

..................................

CINQ JOURS PLUS TARD

La société « Téléportons » a trouvé où le bug c’est produit mais ne sait pas pour l’instant comment résoudre le problème. La médecine ne peut rien pour eux, il n’est pas possible de couper les corps en deux et de recoller les moitiés à chacun.

Lorsque l’avocat de Max a demandé à la société « Téléportons d’avoir les coordonnées de l’autre personne, cela lui a été refusé. Le simple fait qu’il leur dise qu’une simple annonce dans la presse lui suffirait à les avoir, les a convaincus de coopérer.

Lina qui accepte la rencontre est donc invitée à se rendre chez Max. C’est une limousine aux vitres tintées qui la dépose vers 21 heures, sa condition était qu’il fasse nuit pour ne pas être vue dans la rue. La chauffeur et la voiture attendaient plus loin pour ne pas attirer le regard.

Elle n’a pas eu à sonner, Max guettait par la fenêtre. Il lui a ouvert la porte immédiatement et l’a refermée aussitôt ne désirant pas être vu. S’ils n’avaient pas été vêtus, un passant aurait simplement pu imaginer deux personnes se retrouvant. Là, cette rencontre avait un but bien différent : faire se rencontrer « les moitiés ».

Bien décidée à mettre tout en oeuvre pour se faire pardonner, et surtout ne pas leur donner envie de se plaindre à la presse la société « Téléportons leur a fait livrer le repas par un traiteur et un carton de bouteilles de champagne grand cru.

- Bonsoir, je suis Lina.

- Bonsoir et bienvenue, je suis Max, comment va ma moitié ?

- Et la mienne ? Répond Lina en rigolant de cette façon de faire connaissance.

- Je suis ravi de faire votre connaissance malgré ces regrettables circonstances. Je vous sers une flûte de champagne ?

- Bien volontiers, je crois que j’en ai besoin plus que je n’ai soif.

Le service fait, le silence devient pesant, en fait, ils voulaient se rencontrer mais ne savent pas quoi se dire, se raconter.

- Vous pourriez prendre soin de mes pieds, le rouge à ongle ne ressemble plus à rien et marcher pieds nu n’arrange pas la chose. Dit Lina histoire de casser le silence trop pesant.

- Désolé mais je ne sais pas marcher avec des talons et encore moins vernir mes ongles ! Je dois avouer que je vous trouve très belle, j’aurai pu tomber sur une mamie. Finalement, dans mon malheur j’ai beaucoup de chance !

- Vous êtes aussi très charmant. Bon, le matin au réveil cela surprend en bas......

- Désolé mais je suis trop loin de ma moitié pour essayer de la contrôler. Pour sûr, en vous voyant dans le miroir de la salle de bain, mon bas ne peut rester de marbre.

- Je crois qu’il me faut une autre flûte de champagne car cette situation me gêne énormément. Lui dit Lina avant de lui indiquer que normalement, elle devrait avoir ses menstrues la semaine suivante.

- Je crois que j’ai aussi besoin d’une cruche de champagne ! Lui répond Max à deux doigts de s’étranger en comprenant ce qu’elle vient de lui indiquer.

C’est en consommant du champagne sans aucune modération en guise de courage, qu’ils abordent les problèmes de cette nouvelle vie que tout deux espèrent courte. La chance est avec eux sur un point, ils s’entendent à merveille, ils aiment tous les deux l’humour et ne sont pas farouches pour parler des choses de la vie.

- Je subodore que vous n’avez pas osé essayer, comment dire, la partie du bas qui est à moi ? Demande Max un peu « pompette ».

- Mais que croyez-vous ? Que les femmes n’ont pas de sexualité ? Qu’elles n’ont pas d’envie ? Et vous, qu’avez-vous fait de mon bas petit coquin ?

- Je crois que j’ai fait comme vous, j’ai essayé pour voir.

- Juste essayé ? Ne me mentez pas ! Allez, dites-moi tout, au point où nous en sommes, nous ne pouvons pas être plus intimes ! Lui répond Lina elle aussi un peu « pompette ».

- Ben, j’ai découvert que vous avez une immense chance de pouvoir jouir autant de fois que vous voulez ou presque.

- Et moi j’ai découvert qu’après avoir éjaculé, ben cela veut réellement plus marcher. C’est assez frustrant de ne pas pouvoir recommencer de suite.

- Et si nous passions à table ? Répond Max soudain gêné en se levant pour l’inviter à la cuisine.

- J’espère que vous ne m’en voulez pas trop pour les fuites urinaires. C’est vrai qu’avec l’énorme couche que vous portez, vous devez pouvoir tenir la journée. C’est quand même assez négligé comme façon de faire.

- Je n’ai pas trop d’expérience en la matière et je n’avais que ça sous la main. Répond Max rouge comme une pivoine.

- Vous n’aviez que ça ? Vous vous servez des couches pour quoi faire ? Demande Lina.

- Heu ...... J’aime bien en mettre la nuit, cela me rassure.

- J’ai quelques doutes sur l’honnêteté de cette réponse car vous êtes très gêné alors que moi je ne le suis pas. Quand on a un souci de santé, on fait avec, on apprend à le gérer. je suis sûre que vous me cachez quelque chose.

- Bon OK, je suis ABDL, j’aime bien jouer des fois avec des couches. Ca va, vous êtes contente ?

- Il n’y a pas de mal à se faire plaisir. Mais rassurez-moi, vous ne faites quand même pas tout dans la couche ?

- Non, non, juste pipi ! Répond Max toujours aussi gêné.

Le repas tout au champagne finit par avoir raison de leur pudeur. Ils se tutoient et s’envoient des vannes portant souvent sur le dessous de la ceinture.

- S’ils n’arrivent pas à résoudre notre problème, je ne pourrai jamais aller avec un homme. Je ne suis pas bisexuel et encore moins attiré par les hommes. J’ai bien peur d’être célibataire à vie et condamné à la masturbation. Avoue Max en servant le café au salon avant de s’asseoir dans le canapé à côté d’elle.

- Je suis comme toi, il n’y a que les hommes qui m’intéressent. On est mal barré tous les deux. Lui répond Lina.

- Après il ne nous resterait plus qu’une solution.

- Ah bon, laquelle ? Demande Lina.

- Nous mettre en couple.

- Ah, c’est une idée mieux que la mienne. Lui répond Lina.

- Moi j’envisageai de me jeter du haut de la tour Effel.

- Ah non, tu n’as pas le droit de faire ça à ma moitié. Lui répond Max horrifié.

- C’est vrai que ton idée de nous mettre en couple est bien meilleure que le grand saut. D’ailleurs, si tu n’y es pas opposé, nous pourrions essayer pour voir...... Lui lance Lina qui commence à s’exciter en s’imaginant des choses comme prendre une femme comme un homme.

- Heu, j’avoue que je te trouve très attirante et qu’en d’autres circonstances... mais là.... Répond Max très perturbé.

- Tu sais que cela n’est que ton propre sexe. Pas celui d’un autre homme. Conclue Lina en happant ses lèvres.

Les « deux hauts » s’accordent sans aucun souci, leurs mains gambadent à la découverte de l’autre pendant que les langues s’enroulent comme des serpents très joueurs. Lia a vraiment très envie de vivre cela au moins une fois. Elle sait qu’il n’osera pas si elle ne prend pas les choses en mains.

- Bien, allons prendre une douche, cela nous fera du bien. Lui indique Lina en le prenant par la main.

Très motivée, elle entreprend de le dévêtir lorsqu’ils entrent dans la salle de bain. Elle le dévore de baisers pour l’empêcher de parler. Un peu comme si une sorte de masculinité l’avait envahie. Lorsqu’elle entreprend de se dévêtir à son tour, Max perçoit quelque chose en bas, entre ses cuisses. Furtivement il glisse sa main et découvre qu’il mouille. Lorsqu’elle est nue et le rejoint sous la douche, il aperçoit son sexe tendu et gorgé de désir. Lina est bien décidée à ne pas le lâcher et à vivre l’expérience. Elle le caresse plus qu’elle ne le lave pour le rendre fou.

Tout penaud, il ose à peine la toucher, il a peur de toucher son propre sexe alors que ce n’est que le sien. La différence est grande quand il est sur un autre corps que le votre. Toujours décider à le v i o l e r s’il le faut, Lina caresse « son » entrejambe féminin, cet entrejambe qu’elle connaît si bien. Max perd rapidement la tête, il se laisse faire sans aucune possibilité psychologique de fuir. Conduit à sa chambre et presque jeté sur le lit, il devient la proie d’une furie. Elle le dévore de baiser et s’aventure même à titiller de sa langue son clitoris émergeant comme un bouton de rose.

La part de la féminité cachée en chacun pousse max à écarter encore plus ses jambes, à la laisser faire. Alors qu’il s’apprête à parler quand elle remonte du confluant de ses cuisses délicatement fuselées, Lina l’embrasse pour faire taire les éventuelles réfutations. Elle guide « sa » verge entre « ses » lèvres pour chercher la faille et s’y engouffre aussitôt. En sentant « sa » verge s’enfoncer en lui, Max ne sait plus gérer ses pensés contraires. D’un côté c’est très agréable, très bon, de l’autre très perturbant, même révoltant.

Lorsqu’elle entreprend des mouvement de va et vient, Max baisse les bras et muselle ses pensés masculines pour se concentrer sur les sensations divines éprouvées. Il se prend même à relever les jambes pour mieux s’offrir à « sa verge » tyrannique. « Tyrannique » car les sensations nouvelles quelle lui procure rasent toute gêne, le poussent à relever encore ses jambes pour mieux s’offrir. Il se met à couiner, puis à ahaner des « oui » sous ses asseaux de plus en plus virils.

Soudain, sa jouissance arrive tel un tsunami balayant tout sur son passage. Il perd totalement pieds, s’envole et crie un long « oui ». Son corps est pris de tremblements, ses muscles sembles bloqués quand ils ne convulsent pas. Au dessus de son visage, le souffle de Lina s’accélère en même temps qu’elle le serre de plus en plus fort dans ses bras et que ses coups de reins s’emballent.

Lina s’arrache soudain de lui puis remonte jusqu’à son visage en présentant « sa » verge à ses lèvres. Tant il est perdu dans son lâché prise, sans même réfléchir il ouvre la bouche et prend « sa » verge entre ses lèvres. Quand il prend conscience de ce qu’il fait, il est trop tard pour reculer, Lina s’est carrément couchée sur son visage. Elle éjacule dans sa bouche en grognant de plaisir. Il avale aussitôt « sa » semence pour la première fois de sa vie et garde « sa » verge en bouche également pour la première fois.

Lorsqu’elle se retire pour s’allonger repue contre lui, la première chose que dit Max très perturbé est « je viens de sucer un homme ».

- Non, tu viens de te sucer, cette partie de ton corps est à toi. Lui répond Lina avant d’ajouter ma chatte est très bonne !

- Ma bite aussi ! Lui répond au tac au tac Max

- Mon cul n’est pas mal non plus tu sais ?

- Heu, non, là c’est trop pour moi.

- On verra ça, on verra ça ! Lui répond Lina très taquine en l’embrassant.

- Et si on congédiait le chauffeur et que tu dormes là ?

- Je l’appelle de suite, tu as raison.

TROIS HEURES PLUS TARD

« Et merde, j’avais oublié ça » ! Pense Lina en se réveillant dans les draps mouillés. « On a oublié que je, enfin qu’il, pisse au lit.

UNE SEMAINE PLUS TARD

Les techniciens de la société « Téléportons » les contactent pour leur proposer un test. Max refusant de sortir de chez lui, les techniciens viennent installer chez lui un ordinateur et un « téléporteur connecté ». Lina est au siège de la société, ils vont tenter de les téléporter tous les deux en même temps en espérant que les corps de reconstruisent comme avant. C’est donc intégralement nus qu’ils entrent en même temps dans un « téléporteur connecté ».

Un compte à rebours est programmé pour que la téléportation se fasse aux deux endroits à la même seconde. Le corps de Max arrivent à la société et celui de Lina au domicile de Max comme prévu. Il n’y a aucun changement, chacun a toujours « le bas » de l’autre.

Les techniciens effectuent la même opération dans l’autres sens. Lina se retrouve au siège de la société, et lui chez lui. Hélas, cela n’a pas fonctionné. Lina s’effondre littéralement dans le « téléporteur connecté ». Elle pleure à chaudes larmes, « combien de temps va durer cet enfer » hurle Lina.

- Nous avons encore beaucoup de tests à faire, nous n’y arriverons pas du premier coup mais rassurez-vous, nous parviendrons à vous sortir de là. Lui assure l’ingénieur en charge de la gestion de cette catastrophe. J’ai d’ailleurs une idée, elle va prendre un peu de temps à mettre en place, mais j’ai bon espoir.

....................................

La suite est pleine de rebondissements et c’est à vous de l’imaginer ou vous pouvez la lire ici en Kindel (ebock) ou version

Tous les livres de TSM sont ici

Par abcplaisir - Publié dans : L'ABDL la régression - Communauté : Shibari bondage BDSM
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